Les Chiens et leurs Colliers en Mésopotamie Ancienne

Article

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 15 janvier 2018
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Disponible dans ces autres langues: anglais

Parmi les nombreuses contributions à la culture mondiale attribuées à la Mésopotamie, on trouve un objet si familier aux gens du monde moderne que peu d'entre eux se questionnent sur son origine: le collier de chien. Dans l'Antiquité, de la Chine à Rome, les chiens sont représentés dans des œuvres d'art au bout d'une laisse attachée à un collier.

Le collier de chien faisait tellement partie intégrante de la vie quotidienne des gens que même les chiens des dieux sont représentés avec un collier et une laisse, une relation qui apparaît pour la première fois dans l'art de l'ancienne Mésopotamie. De même que les chercheurs débattent de l'origine du chien et de sa première domestication, il est difficile d'affirmer avec certitude que les habitants de la Mésopotamie furent bel et bien les premiers à inventer le collier. Il est probable, voire très probable, que le collier - tout comme la relation des hommes avec les chiens à proprement parler - se soit développé indépendamment dans de nombreuses régions différentes à des époques différentes. Quoi qu'il en soit, en ce qui concerne la représentation du collier dans l'art ancien, les plus anciennes proviennent de Mésopotamie.

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Man & Dog Plaque, Sippar
Plaque représentant un homme et son chien, Sippar
Osama Shukir Muhammed Amin (Copyright)

En Mésopotamie, les chiens étaient très appréciés en tant que protecteurs, guérisseurs et compagnons des dieux. La déesse guérisseuse Gula était toujours représentée avec un chien, tout comme Inanna, l'une des divinités les plus populaires du panthéon mésopotamien, si ce n'est la plus populaire. Des images, des amulettes, des statues et des gravures de chiens étaient régulièrement produites pour diverses raisons, et dans la plupart d'entre elles, le chien porte un collier. De nos jours, le simple fait que le propriétaire d'un chien mette un collier et une laisse à son ami est la répétition d'une pratique qui remonte à des milliers d'années, à une autre époque et dans un autre lieu. Bien que le collier pour chien d'aujourd'hui soit fabriqué dans des matériaux différents, la conception de base reste inchangée et, semble-t-il, la relation essentielle entre les hommes et leurs chiens aussi.

Cette relation est bien établie en Mésopotamie dès 3300 avant notre ère, dans la région méridionale connue sous le nom de Sumer. Dans son livre L'Histoire commence à Sumer, l'orientaliste Samuel Noah Kramer examine 39 "inventions" dans l'histoire de la région, parmi lesquelles les premières écoles, les premiers proverbes et dictons, les premiers messies, les premières histoires de Noé et du déluge, la première chanson d'amour, le premier aquarium, les premiers précédents juridiques dans les affaires judiciaires, le premier récit d'un dieu mourant et ressuscité, les premiers chants funéraires, les premiers parallèles bibliques et les premières idées morales.

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Les Sumériens inventèrent également le temps: leur système de comptage sexagésimal (basé sur le chiffre 60) donna naissance à la minute de 60 secondes et à l'heure de 60 minutes. Ils divisèrent également la nuit et le jour en périodes de 12 heures, fixèrent une limite à la "journée de travail" avec une heure de début et de fin, et établirent le concept de "jours de congé" pour les vacances. Bien que Kramer ne cite pas le collier de chien parmi ses "inventions" et qu'il n'existe aucun document officiel établissant l'invention, il est évident, d'après les œuvres artistiques et littéraires, que les Sumériens appréciaient les chiens et utilisaient des colliers assez tôt dans leur histoire.

Les chiens dans la littérature

Bien avant que le célèbre Ésope (c. 620-564 av. J.-C.) n'écrive ses fables, les Sumériens étaient déjà rompus à ce genre. Kramer souligne la place prépondérante du chien dans ces histoires, en écrivant que "le chien vient en premier, puisqu'il est mentionné dans quelque 83 proverbes et fables" (124). En fait, Ésope (ou le compilateur inconnu que nous connaissons sous ce nom) aurait probablement recueilli des fables grecques et sumériennes antérieures plutôt que de composer lui-même quelque chose d'original. La célébrité d'Ésope repose entièrement sur les efforts des imprimeurs du XVe siècle pour trouver des textes à publier grâce à la nouvelle invention de la presse à imprimer. La première édition anglaise des Fables d'Ésope fut publiée par William Caxton en 1484 afin de fournir au public des lectures inspirantes. Les Sumériens avaient déjà atteint cet objectif quelque 3 000 ans plus tôt grâce à des histoires telles que Pourquoi le chien est soumis à l'homme et Le chien de concours.

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La plupart des fables les plus connues attribuées à Ésope sont en fait d'origine sumérienne, y compris la célèbre maxime du "chien dans la mangeoire".

Dans la première fable, un chien aboie contre un lion qui s'approche d'un village et est attaqué par lui, tandis que le renard se blottit à proximité en faisant semblant d'être effrayé. Le renard déclare sournoisement que si l'on fait semblant d'être humble et que l'on montre de la peur, on peut marcher facilement avec les lions. Le chien de l'histoire est cependant le héros, car il montre ses véritables intentions en protégeant les gens contre le lion.

Dans La chienne de concours, une chienne de race a des chiots et se plaint à son ami bâtard qu'ils ne gagneront jamais de prix à cause de la lignée de leur père. Le bâtard répond: "Que j'aie des chiots fauves ou des chiots bringés, j'aime mes petits". La chienne de concours est ainsi présentée comme superficielle, car elle n'apprécie ses chiots que pour le prestige qu'ils peuvent lui apporter, alors que le bâtard, le chien commun, aime ses petits inconditionnellement.

La plupart des fables les plus connues attribuées à Ésope sont en fait d'origine sumérienne, y compris la célèbre maxime du "chien dans la mangeoire", qui fait référence à quelqu'un qui refuse de profiter d'une expérience, mais qui ne permet pas non plus à d'autres d'en profiter. Bien que les colliers de chien ne soient pas spécifiquement mentionnés dans ces fables, on suppose qu'ils étaient utilisés - en particulier s'il y avait des expositions canines comme le suggère la fable ci-dessus - et ils sont clairement représentés dans l'art.

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Colliers et amulettes

Le collier de chien figure dans presque toutes les représentations de chiens dans l'art mésopotamien. Des inscriptions de la période Ur III (2047-1750 av. J.-C.) décrivent une caravane entrant dans la ville et comprenant des chiens et leurs maîtres. L'érudit Paul Kriwaczek note que "les images montrent de grandes créatures ressemblant à des mastiffs; la nourriture qu'ils consommaient suggère qu'ils étaient presque aussi lourds que les hommes qui s'occupaient d'eux" (144). Ces chiens étaient retenus par des colliers et des laisses épais, très probablement en cuir, mais les images ne permettent pas de savoir comment ils étaient fabriqués ou décorés.

Assyrian Huntsmen with Hounds
Chasseurs assyriens à chiens
Osama Shukir Muhammed Amin (Copyright)

D'autres images, cependant, présentent une image plus claire. Un pendentif en or représentant un chien, actuellement conservé au Museum of Fine Arts de Boston (États-Unis), date d'environ 3300 avant notre ère et a été trouvé dans la ville sumérienne d'Uruk. Il s'agit d'un chien avec un large collier qui semble décoré de rayures. Le chien semble appartenir à la race des Saluki, avec une queue frisée et de grandes oreilles, ce qui n'est pas surprenant puisque le Saluki est attesté en Mésopotamie comme une race populaire à cette époque. Un sceau cylindrique datant d'environ 3000 ans avant notre ère, trouvé près de Ninive, montre clairement un Saluki et la nature intime de ces sceaux suggère l'importance du chien.

La petite amulette en or devait représenter un chien de la classe supérieure de la ville, dont le propriétaire la portait probablement pour se protéger. Les chiens étaient associés à Gula, la déesse de la guérison, et étaient souvent invoqués sous forme de statuettes, d'amulettes et de figurines pour se protéger des menaces surnaturelles ou naturelles.

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Les chiens de Nimroud

Parmi les meilleurs exemples de cette pratique figurent les célèbres figurines connues sous le nom de "chiens de Nimroud", provenant de l'ancienne cité de Kalhu (connue depuis le XIXe siècle sous le nom de Nimroud) en Mésopotamie. Il s'agit de cinq figurines de chien découvertes en 1951-1952 par l'archéologue Max Mallowan (époux de la célèbre auteure de romans policiers Agatha Christie). Ces statuettes de chien représentent le concept mésopotamien de magie et de protection magique. Les Mésopotamiens croyaient que les hommes collaboraient avec les dieux pour maintenir l'ordre contre les forces du chaos. Les humains s'occupaient des tâches pour lesquelles les dieux n'avaient pas le temps, et en retour, les dieux leur donnaient tout ce dont ils avaient besoin dans la vie.

Dog Figurine from Nimrud
Figurine de chien de Nimroud
Metropolitan Museum of Art (Copyright)

Le panthéon mésopotamien comptait de nombreux dieux, et même si l'un d'entre eux ne voulait que le bien d'une personne, un autre pouvait être offensé par ses pensées ou ses actions. En outre, il fallait se défendre contre les fantômes, les mauvais esprits et les démons, qu'ils aient été envoyés par les dieux ou qu'ils aient agi de leur propre chef. Les Mésopotamiens développèrent donc des charmes, des amulettes, des sorts et des rituels de protection, dont les statuettes de chien.

Le chercheur Jeremy Black note que les statuettes de chiens assis ou debout étaient souvent créées en tant qu'amulettes ou statuettes protectrices, sans être associées à un dieu ou une déesse spécifique, ce qui reflétait la nature forte, fiable et protectrice du chien. Les statuettes, telles que celles découvertes par Mallowan, étaient souvent peintes de couleurs vives et enterrées de part et d'autre de la porte d'un palais ou d'une maison pour éloigner les dangers.

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Protecteurs, guérisseurs et guides

Une collection de chiens, correspondant à la description de Black, fut découverte dans la ville de Ninive au XIXe siècle par le célèbre archéologue Austen Henry Layard. Le pouvoir de ces figurines, même si elles ne portent pas d'inscription spécifiant une divinité, provenait des dieux. La puissante Ishtar (également connue sous le nom d'Inanna), déesse de l'amour, de la passion, de la guerre et de la fertilité, était représentée avec ses chiens tenus en laisse et, comme indiqué précédemment, Gula était toujours représentée en compagnie de son chien et, finalement, la déesse fut représentée sous la forme d'un chien assis, avec un collier, faisant face à un suppliant.

Model Clay Dogs from Nineveh
Statuettes de chiens en argile de Ninive
Osama Shukir Muhammed Amin (Copyright)

Le chien fut associé très tôt à Gula et à la guérison, mais sa présence est clairement attestée au cours de la période Ur III. Il avait été noté que le chien se guérissait en léchant ses blessures et que sa salive était donc considérée comme une propriété médicinale (une croyance qui s'est avérée fondée à l'époque moderne). Dans le cas d'Inanna/Ishtar, ses chiens étaient considérés comme ses compagnons et ses protecteurs et, comme elle était souvent invoquée pour sa protection, ses chiens acquirent la même réputation. L'inclination naturelle des chiens à protéger leur maître est à l'origine de cet aspect des chiens des déesses.

Les chiens ne se contentaient pas de soigner et de protéger dans la vie, ils aidaient aussi à passer de l'existence terrestre à l'au-delà. On pensait que les enfants, en particulier, étaient accompagnés dans leur voyage vers le pays des morts par les esprits des chiens. Ces chiens étaient considérés comme des compagnons familiers et enjoués qui facilitaient la transition des enfants, mais aussi comme de féroces gardiens qui les protégeaient contre les mauvais esprits et les démons.

Colliers et races de chiens

Cet aspect protecteur du chien se reflétait dans le collier mésopotamien. Quels qu'aient été les premiers colliers - très probablement des cordes - avant la période d'Ur III, ils sont déjà représentés comme d'épaisses bandes de cuir, généralement ornées d'une manière ou d'une autre. Ils protégeaient la gorge du chien et, attachés à une laisse, protégeaient les autres des agressions canines.

À en juger par les représentations sur les amulettes, les inscriptions et les figurines, ces colliers semblent avoir été dotés d'une boucle, sans doute faite d'un matériau de haute qualité pour les produits haut de gamme et d'un matériau moins cher pour les pièces plus modestes, à laquelle était attachée une laisse. Comme il n'y avait pas de fermoir en métal, ces premières laisses étaient faites de corde ou de tissu solide, voire de bâtons dentelés (comme ceux utilisés plus tard dans l'Égypte ancienne).

Comme il n'y avait pas d'agrafes métalliques, ces premières laisses étaient faites de corde ou de tissu solide, voire de bâtons dentelés.

Les colliers de corde étaient encore utilisés pendant la période Ur III et sans doute plus tard. Une plaque en terre cuite de Borsippa, datée de 2000 à 1600 avant notre ère, montre un homme marchant à côté d'un grand chien puissant qui porte un collier en corde avec des glands. La corde semble être enroulée deux fois autour du cou du chien et attachée à l'arrière, l'extrémité longue servant de laisse et l'extrémité courte se terminant par le gland ornemental. Cette méthode semble être similaire à la laisse coulissante couramment utilisée de nos jours.

L'orientaliste Wolfram von Sodden a noté que trois races de chiens ont été identifiées avec certitude dans l'ancienne Mésopotamie: le lévrier, le danois et le mâtin, et que ces trois races auraient nécessité un collier solide et une laisse substantielle pour être contrôlées. Le saluki, également d'origine mésopotamienne, aurait eu besoin de la même chose.

Le collier permettait non seulement de contrôler et de dresser le chien, mais il protégeait également la gorge, pouvait porter le nom du chien et donnait probablement - du moins dans la classe supérieure - des indications sur le propriétaire. Les sceaux-cylindres mésopotamiens - petits tampons d'impression utilisés pour authentifier l'identité d'une personne par écrit - représentent souvent des chiens munis d'un collier en compagnie de leurs maîtres, et il n'est pas déraisonnable de supposer que ces sceaux décrivent des relations réalistes, y compris l'utilisation du collier.

Le collier de chien en tant qu'objet d'art

En Mésopotamie, le collier de chien aurait peut-être inspiré le bijou "collier de chien", (ou choker) expression de la haute couture et de la richesse. La reine Puabi ou Pû-abi d'Ur (vers 2600 av, J.-C.) est la figure royale la plus connue à porter le bijou "collier de chien", qui était devenu un bijou standard pour les femmes à cette époque. Ces colliers étaient faits d'or et de lapis-lazuli, mais ce travail du métal de haute qualité semble avoir été réservé aux humains, car aucun collier de chien d'un tel raffinement n'a encore été découvert.

On trouve cependant dans l'art des représentations de chiens portant des colliers aux motifs complexes. Il est tout à fait hypothétique que de véritables colliers de chien soient à l'origine du collier, mais l'hypothèse est probable étant donné que les chiens, et leurs colliers, faisaient partie intégrante de la vie quotidienne des gens. Après tout, tout art a une origine, et le collier pourrait avoir été conçu à partir de colliers de chiens.

Le pendentif en forme de saluki mentionné ci-dessus semble avoir le même motif sur le collier que le pendentif ou, du moins, est similaire. Une statuette votive de chien de Lagash (datée entre 1894 et 1866 av. J.-C.), actuellement conservée au musée du Louvre, présente également un collier aux motifs complexes. Cette statuette, un magnifique bougeoir, est faite de stéatite et était dédiée à la déesse Ninisina, l'un des anciens noms de Gula lorsqu'elle était une divinité régionale de la ville d'Isin. Il avait été offert "pour la vie de Sumu-El, roi de Larsa" et fabriqué par un médecin de Lagash, probablement comme cadeau sacrificiel à la déesse en remerciement de sa guérison.

Silver Dogs from Bactria
Chiens argentés de Bactriane
RMN / Franck Raux (Copyright)

Un autre exemple intéressant de collier de chien dans l'art mésopotamien du Louvre est la paire de deux chiens en argent portant des colliers hachurés datant du IIIe au IIe millénaire avant notre ère et provenant de Bactriane, en Asie centrale. Les chiens mesurent 4 cm de long et sont percés d'un trou vertical. On pense qu'ils ont pu être portés comme pendentifs sur un collier ou comme épingles décoratives pour fixer une cape ou une tunique. La tige métallique passait par une extrémité du tissu, puis par le trou du chien en argent, et se fixait à une autre extrémité du tissu.

Les cols de ces chiens semblent être ornés, mais le même motif s'étend du milieu du dos jusqu'à la moitié de la queue. Peut-être s'agit-il du dessin du collier ou peut-être l'artiste était-il simplement intéressé par une sorte de symétrie marquée entre l'avant et l'arrière de ses pièces. Il est intéressant de noter que deux autres pendentifs en forme de chien, découverts à Suse, sont de conception similaire. Ils datent du 4e millénaire avant notre ère, l'un en or et l'autre en argent, tous deux avec des colliers qui ressemblent aux chiens de Bactriane.

Conclusion

Il est impossible de prouver que le collier de chien a inspiré le désormais célèbre bijou "collier de chien", mais il est clair que les chiens constituaient un aspect important de la vie mésopotamienne et un sujet fréquent dans la peinture et la sculpture. Ils ne sont pas toujours mentionnés de manière positive, il y avait des déclarations désobligeantes sur le fait qu'une personne était "un chien" à l'époque, tout comme aujourd'hui, mais la preuve irréfutable est que le chien était hautement considéré et jouait un rôle important dans la vie quotidienne des gens.

L'attention portée au collier des chiens dans l'art en est une preuve supplémentaire, tant au niveau du collier original que de l'effort de l'artiste pour le rendre avec précision. L'uniformité des représentations de colliers suggère qu'il s'agit de représentations de véritables chiens portant leur collier et non d'une licence artistique. Le collier de chien de l'ancienne Mésopotamie reflétait la croyance des gens que, dans la mesure où ils pouvaient se le permettre, leur ami canin méritait bien un article vestimentaire respectable ainsi que d'être immortalisé dans l'art le portant.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2018, janvier 15). Les Chiens et leurs Colliers en Mésopotamie Ancienne [Dogs & Their Collars in Ancient Mesopotamia]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1175/les-chiens-et-leurs-colliers-en-mesopotamie-ancien/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Les Chiens et leurs Colliers en Mésopotamie Ancienne." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le janvier 15, 2018. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1175/les-chiens-et-leurs-colliers-en-mesopotamie-ancien/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Les Chiens et leurs Colliers en Mésopotamie Ancienne." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 15 janv. 2018. Web. 26 avril 2024.

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