Fantômes Nordiques et Au-Delà

Article

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 10 décembre 2018
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Disponible dans ces autres langues: anglais

La vision la plus connue de l'au-delà nordique est celle du Valhalla, la salle des héros où les guerriers choisis par les Valkyries festoient avec le dieu Odin, racontent les histoires de leur vie et s'affrontent en préparation de la bataille finale du Ragnarök, la fin du monde et la mort des dieux. Cette image est aussi profondément associée aux croyances nordiques de l'époque viking (c. 790-1100) que celle des funérailles vikings, au cours desquelles un bateau est transformé en bûcher, le cadavre étant entouré de trésors, puis enterré ou incendié.

Ces descriptions proviennent d'ouvrages préservant la mythologie nordique et d'autres types de littérature (ainsi que de preuves matérielles) qui montrent que l'enterrement de bateaux et de navires cercueils, ou leur mise à feu sous forme de bûcher, existait bel et bien, et ces images ont été popularisées dans les médias (plus récemment par des séries télévisées telles que Vikings et The Last Kingdom). Les âmes scandinaves avaient cependant plusieurs destinations possibles dans l'au-delà et les bateaux, en raison de leur coût élevé, semblent avoir été rarement enterrés ou brûlés. Un Viking - ou tout autre guerrier scandinave - pouvait s'attendre à se réveiller au Valhalla après sa mort, mais pas le fermier ou le tisserand qui n'avait jamais manié l'épée ou la hache. Toutefois, ce à quoi ils s'attendaient précisément n'est pas clair.

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Gudrun & Ghost, Laxdale Saga
Gudrún et le fantôme, Saga de Laxdæla
Andreas Bloch (1860-1917) (Public Domain)

La religion nordique était pleinement intégrée à la vie des gens et il n'existait pas de croyances dogmatiques sur le fonctionnement des dieux, sur la manière de les vénérer ou sur la destination de l'âme après la mort. Les rituels religieux étaient pratiqués en privé dans les maisons ou lors de fêtes en plein air et les Nordiques n'ont laissés aucun écrit. Il est donc difficile de reconstituer aujourd'hui les croyances nordiques telles qu'elles auraient été pratiquées avant et pendant l'ère viking.

En outre, le concept nordique de l'"âme" était très différent de la façon dont il est compris aujourd'hui ou de la façon dont il était compris par les chrétiens aux 8e-12e siècles. L'âme avait quatre composantes et sa destination dans l'au-delà pouvait varier entre une existence continue dans sa tombe, hanter son ancienne maison, l'un des royaumes des divinités ou d'autres possibilités encore.

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Les parties de l'âme

La conception nordique de l'âme comprenait quatre aspects qui constituaient une personne à part entière :

  • Hamr - L'apparence physique d'une personne qui, cependant, pouvait et devrait changer. Le hamr pouvait être manipulé pour changer de forme, par exemple, ou pouvait changer de couleur après la mort.
  • Hugr - La personnalité ou le caractère d'une personne qui se perpétue après la mort.
  • Fylgja - Le totem ou l'esprit familier d'une personne, qui lui est propre et qui reflète son hugr; une personne timide peut avoir un cerf comme fylgja, tandis qu'un guerrier aura un loup.
  • Hamingja - la réussite inhérente d'une personne dans la vie, considérée comme une qualité (ou un esprit protecteur) qui était à la fois causée par le hugr d'une personne et qui le formait ; le hamingja d'une personne était transmis au sein de la famille, pour le meilleur ou pour le pire.
Les Nordiques pensaient que le hugr d'une personne passait dans le corps d'un parent nouveau-né, le hamingja continuait dans la famille et le fylgja cessait d'exister après la mort.

Ces parties de l'âme pouvaient ou non être dirigées vers une même destination après la mort. Il est prouvé que les Nordiques croyaient en la réincarnation : le hugr passait dans le corps d'un nouveau-né de la famille, tandis que le hamingja continuait dans la famille et que le fylgja semble avoir cessé d'exister à la mort de la personne. Les dieux ne portaient aucun jugement sur la destination finale d'une âme ; pour la plupart, il semble que l'âme allait là où elle allait. Le grand héros-dieu Baldr se rend au pays gris de Hel, sous la terre, et non au Valhalla, et même les dieux ne peuvent le ramener. Les sagas nordiques elles-mêmes se contredisent souvent lorsqu'elles présentent leur vision de l'au-delà et du pouvoir des dieux.

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La difficulté de comprendre les croyances nordiques à l'époque moderne tient au fait que les Scandinaves de l'âge des Vikings n'ont laissé aucune trace écrite (à l'exception d'inscriptions en runes, principalement sur des pierres runiques) jusqu'à leur interaction avec le christianisme et leur éventuelle conquête spirituelle par celui-ci (vers les 10e-12e siècles). Avant le christianisme, la religion nordique était transmise oralement mais, par la suite, les chrétiens nordiques, comme le mythographe islandais Snorri Sturluson (1179-1241), ont consigné par écrit, de manière structurée, les sagas et croyances changeantes. L'expert Preben Meulengracht Sørensen écrit :

L'outil le plus important de l'église était le livre. Celui-ci était révolutionnaire, car il permettait de conserver et de transmettre des connaissances provenant de régions et d'époques éloignées. La connaissance ne dépendait plus de la compréhension et de la mémoire des individus, et le changement n'était plus, comme dans la culture orale, une conséquence naturelle de la communication. (Sawyer, 222)

Des écrivains comme Sturluson ont préservé les croyances nordiques mais ont omis certains détails qui survivent à partir de fragments d'œuvres runiques pré-chrétiennes, par des preuves physiques provenant de tombes, ou auxquels il est fait allusion dans d'autres œuvres de l'ère chrétienne. Ces omissions suggèrent aux chercheurs que d'autres détails ont pu être modifiés, exagérés ou omis par des scribes chrétiens ultérieurs qui trouvaient les croyances et les pratiques nordiques déplaisantes.

Prose Edda
Edda en prose
Unknown (Public Domain)

Les royaumes de l'au-delà

Ce schéma se retrouve dans les descriptions des royaumes de l'au-delà qui ont été préservées par ces scribes. Il est probable que la religion dynamique et vivante des Nordiques présentait une vision plus complète, mais on ne peut plus le dire en raison de la lentille chrétienne à travers laquelle la plupart des croyances nordiques ont été transmises. En bref, il y avait cinq destinations possibles pour une âme nordique après la mort :

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  • Valhalla
  • Folkvangr
  • Hel
  • Le royaume de Rán
  • Le tumulus

Valhalla - la salle des héros. Lorsqu'un guerrier viking mourait, son âme était censée se rendre dans la salle d'Odin, où il ou elle retrouvait ses vieux amis, discutait, buvait et se battait en vue de la bataille finale des dieux au Ragnarok. L'expert H.R. Ellis Davidson écrit :

Malgré l'image de Snorri d'un Valhalla exclusivement masculin, il y a des raisons de croire que les femmes aussi avaient le droit d'entrer dans le royaume d'Odin si elles subissaient une mort sacrificielle. Elles aussi pouvaient être étranglées, poignardées et brûlées après leur mort au nom du dieu. (150)

Folkvangr - "Le champ du peuple", présidé par la déesse de la fertilité Freyja. Les contes nordiques font peu mention de Folkvangr, mais Freyja est généralement décrite comme bienveillante, généreuse et gentille, et l'on pense donc que ce royaume reflète sa personnalité.

Hel - Une terre grise sous la terre dans le monde de brouillard de Niflheim, gouvernée par la déesse Hel et où la majorité des âmes vont. Le royaume de Hel n'a aucune corrélation avec la conception chrétienne de l'enfer, mais la déesse du même nom qui personnifie ce royaume est probablement un ajout chrétien car pour les périodes pré-chrétiennes, la croyance en elle n'est pas attestée.

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Les haugbui et draugr sont les cadavres de personnes réanimés, non pas des esprits éthérés mais des êtres surnaturels puissants sous forme physique qui gardent jalousement leurs anciennes possessions ou terrorisent leur famille.

Le royaume de Rán - Parfois appelé les grottes de corail de Rán. Rán était une géante, mariée à Ægir le géant et seigneur de la mer, qui vivait au fond de l'océan. Le royaume de Rán était illuminé par l'immense trésor qu'elle avait pris aux marins pris dans son filet et noyés, et les âmes de ces marins restaient avec elle.

Le tumulus - L'âme du défunt pouvait également rester là où le corps était enterré et était alors connue sous le nom de haugbui (tumulus), un "habitant du tumulus", qui ne quittait pas la tombe. L'âme pouvait également rester dans la région après la mort mais quittait le tertre pour causer des problèmes aux vivants. Cette entité était connue sous le nom de draugr ou d'aptrgangr (qui signifie "celui qui va après" ou "celui qui va encore"), c'est-à-dire "celui qui marche après la mort".

Deux types de fantômes

Les haugbui et draugr sont les figures centrales des fantômes qui apparaissent dans la littérature nordique. Les autres esprits mentionnés sont des entités élémentaires ou des divinités, mais les haugbui et les draugr sont les cadavres de personnes réanimés - pas des esprits éthérés glissant sur des champs ou descendant des escaliers, mais des êtres surnaturels puissants sous forme physique qui gardent jalousement leurs anciennes possessions ou terrorisent leur famille ou leur communauté.

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Les haugbui ne faisaient de mal à personne, sauf si leur tombe était dérangée. Ces âmes étaient profondément attachées à la région où elles se trouvaient et se contentaient d'y rester, comme dans le cas du guerrier Gunnar Hamundarson de la saga islandaise Njal's Saga (XIIIe siècle). À un moment donné, Gunnar est exilé pendant trois ans pour un crime commis sous la contrainte. Il accepte sa punition et se prépare à partir mais, alors qu'il s'éloigne, il se retourne et regarde sa ferme, réalise à quel point il l'aime et rentre chez lui.

Gunnar est ensuite tué lors d'une attaque par les mêmes ennemis qui l'avaient forcé à commettre le crime précédent. Il est enterré avec ses biens dans un monticule sur sa propriété et une nuit, la porte de la tombe est trouvée ouverte. Gunnar est vu regardant la lune et il "était joyeux, avec un visage joyeux". (Saga de Njal, ch. 78). La porte du tmonticule servait à apporter des offrandes de nourriture à l'âme car on pensait que les morts avaient toujours faim. Un certain nombre d'histoires et de légendes comportent ce détail de la porte ouverte de la tombe et du haugbui à l'intérieur. H.R. Ellis Davidson écrit :

Il est fait mention d'une porte dans le monticule, afin que les hommes puissent y entrer, et de figures en bois conservées à l'intérieur. L'idée que le mort se reposait à l'intérieur de son tumulus comme dans une habitation se retrouve à plusieurs reprises dans les sagas islandaises... On trouve parfois l'idée plaisante d'amis enterrés dans des tumulus voisins et conversant entre eux. (154)

Le haugbui n'était dangereux que si son monticule (et ses biens funéraires) était menacé. Le draugr, quant à lui, était malveillant et quittait le monticule pour faire des ravages - en tuant des gens, des animaux et en détruisant des biens. L'une des histoires les plus connues de draugr provient de la Saga islandaise de Grettir (13e-14e siècle). Dans cette histoire, un fermier du nom de Thorhall a du mal à garder ses serviteurs sur sa propriété ; ils ne cessent de partir, prétendant que sa maison est hantée. Il finit par engager un grand païen du nom de Glam, qui affirme ne pas avoir peur des esprits et qui tient parole en s'occupant des moutons et d'autres tâches.

Un jour de Noël, Glam est retrouvé mort dans les champs (apparemment parce qu'il avait mangé de la viande le jour de jeûne la veille). Il est trop lourd pour que les gens puissent le déplacer facilement et, de plus, ils veulent faire la fête ; son corps est donc laissé dehors pendant quelques jours. Lorsqu'il est finalement enterré, il n'y a pas beaucoup de cérémonie, car il était païen, mais il ne reste pas enterré longtemps. Peu de temps après, Thorhall a plus de mal qu'avant à garder de l'aide dans sa ferme, car Glam, devenu surnaturellement grand et fort avec une peau "bleue comme l'enfer", tue les troupeaux, brise des objets et rebondit sur le toit en position assise.

Un berger qui accepte de travailler pour Thorhall disparaît et est retrouvé mort dans le cimetière, le cou et tous les os brisés. Un autre serviteur qui est resté à la ferme pendant des années est retrouvé dans la grange dans un état similaire et le bétail de Thorhall est tué et mangé. La nouvelle des problèmes de Thorhall avec le fantôme finit par atteindre le héros Grettir Asmundson qui propose ses services.

Grettir the Hero, Grettir's Saga
Le héros Grettir, Saga de Grettir
Unknown (Public Domain)

Grettir attend dans la salle du fermier et, après quelques nuits, Glam apparaît. Le héros et le draugr se battent dans la salle et à l'extérieur jusqu'à ce que Grettir ne coupe la tête de Glam. Thorhall et Grettir brûlent alors le cadavre de Glam et " ensuite, ils ont rassemblé ses cendres dans la peau d'une bête et l'ont enterrée là où les pâturages à moutons étaient les plus rares, ou les chemins des hommes " (Saga de Grettir, ch. 35). Thorhall va alors raconter à ses voisins ce qui s'est passé et où les cendres sont enterrées afin que l'endroit soit évité.

L'histoire contient un certain nombre de motifs que l'on retrouve dans d'autres histoires sur les draugr :

  • Glam n'est pas chrétien et méprise les préceptes chrétiens.
  • Il n'est pas enterré correctement.
  • C'est un cadavre réanimé d'une force et d'une taille énormes.
  • Il se nourrit d'animaux et de personnes.
  • Sa peau est bleue (parfois les draugrs sont noirs ou blancs ou verts).
  • On ne peut le tuer qu'en lui coupant la tête.
  • Les cendres doivent être brûlées et laissées à la mer ou enterrées loin des gens.

Les histoires comme celle-ci soulignaient souvent l'importance des rites funéraires appropriés en mettant en garde contre le danger très réel de créer un draugr alors qu'on pourrait tout aussi bien avoir un gentil haugbui pour voisin. Si Glam avait été enterré correctement, même s'il n'était pas de confession chrétienne, il serait probablement resté en paix.

Mais ce n'était pas toujours le cas. Dans l'histoire de Hrapp, tirée de la saga Laxdæla (13e siècle), une bonne femme dont le mari est tyrannique observe tous les rites funéraires appropriés et est toujours hantée par le draugr de l'homme après sa mort. Hrapp exige qu'il soit enterré dans le salon de sa maison, debout, afin qu'il puisse surveiller tous ses biens et ses serviteurs. Bien que cela soit fait selon ses spécifications, il continue de hanter la famille et "a tué la plupart de ses serviteurs lors de ses apparitions fantomatiques" (chapitre 17). Pour mettre fin aux hantises, la famille doit déterrer son cadavre et l'emmener "dans un endroit près duquel le bétail est le moins susceptible de se promener ou les hommes de se déplacer" (chapitre 17).

Une fois cela fait, et sans avoir à couper la tête de Hrapp, les apparitions cessent. Cette histoire aurait donné des conseils sur la façon de traiter un fantôme indiscipliné, mais elle souligne également l'importance d'apprécier les objets matériels sans en devenir obsédé. Contrairement à Gunnar, qui aime sa ferme et ses possessions et en est heureux dans l'au-delà, Hrapp veut continuer à contrôler ce qu'il avait autrefois possédé. L'insistance de Hrapp à garder le contrôle, au lieu de lâcher prise, le transforme en un esprit maléfique et il incarne une autre caractéristique commune des draugr : la jalousie envers les vivants et tout ce dont ils peuvent encore jouir.

Valhalla
Le Valhalla
Emil Doepler (Public Domain)

Conclusion

L'image populaire du guerrier viking qui méprise la mort, confiant dans sa place aux tables du Valhalla, est contrastée par la vision de la mort qu'avaient la plupart des Scandinaves de l'époque pré-chrétienne, qui la voyaient comme une tragédie. La mort était la perte de tout ce que l'on avait connu et, s'il existait une vie après la mort, c'était le royaume gris et lugubre de Hel, avec ses hauts murs et ses portes épaisses. L'experte Kirsten Wolf note :

Le poème eddique Hávamál (Les dits du Très Haut), qui est considéré comme l'expression des sentiments d'un certain nombre de gens du peuple en Norvège et en Islande à la fin de l'ère viking, méprise les croyances mystiques, comme celles d'une vie future. Selon ce poème, la mort est la plus grande calamité qui puisse arriver à un homme ; la mauvaise santé et les blessures sont meilleures. Même un homme boiteux peut monter à cheval, un homme sans mains peut conduire des troupeaux, et un homme sourd participer à une bataille ; il vaut mieux être aveugle que brûlé sur le bûcher funéraire. (214)

De plus, comme nous l'avons noté, il semble qu'aucune raison n'ait été donnée pour qu'une âme aille dans un royaume plutôt qu'un autre après la mort, sauf dans le cas du Valhalla (et il n'est pas clair si la croyance en ce royaume était vraiment répandue). Après la montée du christianisme dans les régions scandinaves, l'au-delà païen a été remplacé par la vision du jugement du dieu chrétien et des royaumes du paradis, du purgatoire et de l'enfer. Selon Wolf, le christianisme a présenté aux Scandinaves "un dieu juste et équitable qui n'était pas soumis au Ragnarök mais régnait à travers l'éternité. Il leur donnait des réponses fermes aux questions sur la mort, la vie après la mort et le but de tout cela" (223).

Avec le temps, les croyances chrétiennes se sont mêlées aux préceptes païens antérieurs et, bien que les gens aient pu se sentir plus confiants quant à leur destination après la mort, ils craignaient toujours les morts qui les avaient précédés. Les rites funéraires, comme le fait de bander la tête du cadavre pour qu'il ne puisse pas voir où il allait être enterré (et ne puisse donc pas retrouver son chemin), se sont poursuivis à l'ère chrétienne et la peur des morts agités a influencé la perpétuation d'autres rituels similaires.

Le christianisme a peut-être apporté aux Nordiques une vision plus sûre de l'au-delà, mais ils restaient fermement convaincus qu'il ne fallait pas prendre de risques avec les fantômes. Les images et les talismans d'Odin et de Thor ont continué à être utilisés pour se protéger des esprits pendant une bonne partie de la période chrétienne en Scandinavie, ce qui suggère une confiance dans les anciennes façons de gérer la spiritualité, même si les gens ont accepté un nouveau modèle de vie après la mort.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2018, décembre 10). Fantômes Nordiques et Au-Delà [Norse Ghosts & the Afterlife]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1290/fantomes-nordiques-et-au-dela/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Fantômes Nordiques et Au-Delà." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le décembre 10, 2018. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1290/fantomes-nordiques-et-au-dela/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Fantômes Nordiques et Au-Delà." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 10 déc. 2018. Web. 26 avril 2024.

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