Dix Célèbres Pirates et Corsaires Français

Article

Mark Cartwright
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 17 novembre 2021
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Disponible dans ces autres langues: anglais

La piraterie vit l'implication d'hommes et de femmes de nombreuses nationalités différentes au cours des siècles, mais l'un des groupes les plus importants de l'époque médiévale et du début de l'ère moderne était celui des pirates français, qui terrorisaient l'Atlantique, les Caraïbes et l'océan Indien. Les écrivains français préféraient souvent utiliser les termes de flibustier et de corsaire pour désigner ceux qui opéraient au nom de la couronne, et nous présentons ici dix de ces personnages qui marquèrent les annales des crimes en mer.

Battle between the Confiance and Kent
Bataille entre le Confiance et le Kent
Teddy Seguin (Public Domain)

Eustache le moine (m. 1217)

Eustache (alias Eustache Busket) avait auparavant été membre d'un monastère bénédictin à Boulogne, mais il quitta la simplicité de la vie monastique pour servir le comte de Boulogne. Eustache n'obtint rien d'autre qu'une mauvaise réputation, à tel point qu'il fut recherché comme criminel, ce qui l'amena à fuir et se vouer à une vie en mer en tant que corsaire. Avec ses origines ecclésiastiques et l'amour des pirates pour les surnoms, il n'est pas surprenant qu'Eustache ait été connu sous le nom du "Moine Noir". En tout cas, il trouva un métier dans lequel il excellait, et il se constitua rapidement un équipage qui n'était pas trop regardants sur l'identité de leurs employeurs. Au cours de la première décennie du 13e siècle, Eustache était au service du roi Jean d'Angleterre (r. 1199-1216), et c'est pourquoi il attaquait les navires français, l'Angleterre et la France étant alors en guerre. L'ancien moine attaquait parfois les navires anglais, mais le roi Jean était généreux et indulgent; Eustache avait même sa propre résidence majestueuse à Londres.

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LE ROI D'ESPAGNE ÉTAIT PLUTÔT CONTRARIÉ D'AVOIR PERDU SON TRÉSOR AZTÈQUE ET ORDONNa LA PENDAISON DE JEAN FLEURY.

Eustache prit le contrôle des îles Anglo-Normandes pour en faire sa base de départ pour des raids le long de la côte française et sur la Seine. Eustache connut un tel succès et ses compétences en matière de navigation étaient telles que des rumeurs circulèrent selon lesquelles le "moine noir" connaissait la magie et pouvait rendre son navire invisible lorsque cela était nécessaire. Il perdit son refuge dans les îles de la Manche après avoir changé de camp et rejoint les Français. Folkestone fut saccagée et les navires anglais attaqués afin de débarasser la Manche en vue d'une invasion française de l'Angleterre. Eustache trouva la mort lorsque son propre navire fut abordé au large de Sandwich, dans le Kent, son équipage fut aveuglé par les Anglais qui leur jetèrent de la chaux en poudre au visage. Eustace fut promptement exécuté sans la moindre compassion.

Jean Fleury (m. 1527)

Jean Fleury (alias Florin) était originaire de Normandie et s'était spécialisé dans l'attaque des flottes de trésor et des navires marchands espagnols lorsqu'ils atteignaient l'Atlantique Est. Travaillant pour le comte de Dieppe, Fleury rôdait dans les eaux des Canaries et des Açores et il réussit à capturer deux navires espagnols en provenance des Amériques au large du cap Saint-Vincent, au Portugal, en juin 1523. C'était la première fois que quelqu'un capturait un navire au trésor espagnol, et la richesse que celui-ci contenait était incroyable. Il y avait trois coffres de lingots d'or, 500 livres de poussière d'or, 680 livres de perles, des coffres de lingots d'argent et plusieurs caisses d'émeraudes, dont une énorme pierre de la taille de la paume d'une main. Il y avait aussi une énorme collection d'art et d'objets religieux arrachés à la civilisation aztèque par les Conquistadores, et même une ménagerie d'animaux sauvages exotiques comprenant des jaguars, des singes et des perroquets.

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Headdress of Motecuhzoma II
Coiffe de Moctezuma II
Jonathan (Copyright)

La nouvelle de la prise de Fleury ne tarda pas à se répandre, et les pirates et corsaires de toutes nationalités partirent à la recherche de butins de ce genre. Entre-temps, Fleury fut capturé par une flotte basque en 1527. Les capitaines refusèrent son pot-de-vin de 30 000 ducats pour sa libération et livrèrent le pirate le plus recherché d'Europe à Charles Quint, empereur du Saint-Empire (r. 1519-1556). Comme on pouvait s'y attendre, le roi d'Espagne était plutôt contrarié d'avoir perdu son trésor aztèque et ordonna la pendaison de Fleury.

Jean Lafitte (c.1780 - c.1820)

Jean Lafitte fut contrebandier, corsaire et pirate. Il quitta la France pour la Nouvelle-Orléans à un jeune âge et mit en place une activité de contrebande prospère en s'appuyant sur son entreprise de forgeron. Passant à la piraterie vers 1810, Lafitte s'installa dans la baie isolée de Barataria. Il capturait des navires et vendait leurs cargaisons, souvent des esclaves, à des marchands véreux de la Nouvelle-Orléans. La grande flotte de Lafitte et sa bande internationale de pirates, de corsaires et de contrebandiers firent des ravages dans le golfe du Mexique pendant une décennie. Capturé et libéré sous caution, Lafitte ne resta pas les bras croisés à attendre d'être jugé.

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Portrait of Jean Lafitte
Portrait de Jean Lafitte
Rosenberg Library, Galveston (Public Domain)

Lafitte opéra alors un revirement complet et devint, au lieu d'être une véritable plaie pour les autorités de la Nouvelle-Orléans, leur ultime sauveur. Dans la guerre de 1812 (juin 1812 à février 1815), les États-Unis s'opposèrent à l'Espagne, à la Grande-Bretagne et à leurs alliés. Le général Andrew Jackson (1767-1845) était chargé de défendre la Nouvelle-Orléans contre une attaque britannique, et il accepta sagement l'offre d'aide de Lafitte. Les hommes de Lafitte et les 16 canons de leurs navires furent organisés en unités d'artillerie et baptisés les Baratarians. Les États-Unis remportèrent la bataille de la Nouvelle-Orléans en 1815 et, en guise de remerciement, le président américain accorda le pardon à Lafitte. Mais Lafitte ne résista pas longtemps à l'appât du gain de la piraterie et reprit sa vie d'avant, cette fois à Galveston, au Texas. Les autorités américaines envoyèrent des navires contre lui, mais en 1821, Lafitte rasa Galveston, navigua vers l'horizon et ne fit plus jamais parler de lui.

François Le Clerc (m. 1563)

François Le Clerc, originaire de Normandie, était un pirate qui menait de front des attaques corsaires. Il fournit également l'argent nécessaire pour que d'autres capitaines suivent son exemple. Son approche risquée n'était pas sans prix: Le Clerc se blessa à un bras et perdit une jambe en combattant les Anglais en 1549. Au moins, il gagna un titre aristocratique en récompense de sa bravoure. Les Espagnols étaient une autre cible de prédilection et ils surnommèrent le Français Pié de Palo ou "Jambe de Bois".

En 1553, Le Clerc fit des ravages dans les eaux américaines, attaquant les ports de la mer des Caraïbes et notamment Hispaniola. De retour en France, Le Clerc mit à sac Las Palmas dans les îles Canaries. Il retourna dans les Caraïbes l'année suivante avec une flotte de huit navires et fit un raid sur Santiago de Cuba en 1554. L'attaque et les 30 jours de pillage qui suivirent furent si dévastateurs que Santiago ne redevint jamais la capitale de Cuba et fut remplacée par La Havane. En 1562, Le Clerc se retourna contre son propre pays et se rangea du côté d'une force d'invasion anglaise, attaquant les navires français sans distinction. Comme on pouvait s'y attendre, Le Clerc mourut au combat, cette fois contre les Espagnols aux Açores en 1563.

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Capture of the Galleon by Howard Pyle
Capture du galion par Howard Pyle
Howard Pyle (Public Domain)

Capitaine Le Picard (actif de 1685 à 1688)

Le capitaine Le Picard commença sa carrière de pirate en tant que membre des boucaniers français sous le commandement de François Grogniet (m. 1687) qui attaquèrent le Panama en 1685. Finalement, à la tête de son propre groupe de pirates, Le Picard s'empara de Grenade en 1686. Outre la rançon habituelle, il exigea la libération de cinq associés pirates alors détenus par le gouverneur de Panama, mais sa demande fut ignorée. En représailles, Le Picard ordonna que 20 Espagnols capturés soient exécutés et que leurs têtes soient envoyées au gouverneur avec une note indiquant que si les cinq pirates n'étaient pas libérés, 90 autres captifs seraient exécutés de la même manière. Cette fois, le gouverneur libéra les hommes et paya 10 000 pesos d'argent pour que Le Picard libère ses propres prisonniers espagnols.

NOBLE NORMAND, HUGUENOT ET INGÉNIEUR MILITAIRE de talent, JEAN LE VASSEUR, Se REBELLa ET CRÉa SON PROPRE MINI-ÉTAT.

L'année suivante, les pirates français mirent à sac Nicoya (Nicaragua) et Guayaquil (Équateur). Comme précédemment, les captifs furent torturés pour révéler l'emplacement de leurs objets de valeur cachés, et les autorités espagnoles furent une fois de plus incitées à verser une nouvelle rançon importante par l'envoi de quelques têtes. La stratégie macabre fonctionna une deuxième fois, et Le Picard reçut cette fois 42 000 pesos et poursuivit son chemin. Après avoir ciblé des colonies au Mexique, Le Picard connut une mauvaise passe lorsque sa flotte fut endommagée par une tempête et qu'il dut traverser la jungle du Costa Rica, un voyage épouvantable qui entraîna la dissolution de son groupe de pirates.

François Levasseur (actif de 1642 à 1652)

François Levasseur était un cas étrange car il était fonctionnaire nommé en 1642 par les autorités françaises pour déloger les Anglais et gouverner l'île de la Tortue dans le nord-ouest d'Hispaniola (Haïti et la République dominicaine modernes). Issu de la noblesse normande, huguenot et ingénieur militaire de talent, Levasseur se rebella et créa son propre mini-État, déclarant une indépendance totale. Avec sa force de 100 hommes, il construisit une impressionnante forteresse, le Fort de la Roche, qui comptait plus de 40 canons pour sa défense. Perché sur les falaises qui dominent le port, Levasseur construisit son palais personnel au cœur de sa forteresse. Les Espagnols envoyèrent une flotte de six navires pour déloger le Français, mais son château était bien conçu et ses canons rendaient le port imprenable.

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Vasseur's Fortress, Tortuga
Fort de la Roche de Levasseur, île de la Tortue
Unknown Artist (Public Domain)

Les boucaniers de toutes nationalités furent encouragés à établir leur base sur l'île de la Tortue, et pendant la décennie suivante, Levasseur fit fortune grâce à sa part des pillages qui lui parvenait dans ce qui devint le plus important havre de pirates des Caraïbes. Pourtant, le pouvoir absolu semble l'avoir conduit à la folie absolue et le règne de Levasseur devint de plus en plus troublé. Il interdit les services catholiques, brûla l'église de l'île de la Tortue et exila son prêtre. Le règne du Français est connu pour ses épisodes cruels, comme la détention de prisonniers dans une cage en fer appelée "Petit enfer", car elle était si exiguë que l'occupant ne pouvait pas se tenir debout. Levasseur n'eut que ce qu'il méritait lorsqu'en 1652 il fut poignardé à mort par deux membres de son propre entourage.

François L'Olonnais (vers 1630-1668)

Si l'on devait dresser une liste des pirates les plus notoires et les plus sadiques, quelle que soit leur nationalité, François L'Olonnais y figurerait sans peine. De son vrai nom Jean-David Nau, L'Olonnais était un flibustier opérant depuis l'île de la Tortue. Il était si cruel avec ses captifs qu'on l'appelait le "fléau des Espagnols". La plupart des pirates se contentaient de dépouiller les navires de leur cargaison, mais L'Olonnais ne faisait aucun prisonnier, que ce soit en mer ou lors de ses raids sur le continent espagnol. Ceux qui restaient en vie après une bataille étaient exécutés par décapitation, mais beaucoup devaient d'abord subir diverses tortures. Le boucanier utilisait le chevalet sur ses victimes avant de les découper avec son coutelas et de lécher le sang de la lame. Le pirate fou coupa même les lèvres d'un capitaine, tandis qu'un autre captif eut le cœur arraché que L'Olonnais commença à manger par la suite.

François L'Olonais
François L'Olonnais
Unknown Artist (Public Domain)

En 1667, L'Olonnais mit à sac Maracaibo (Venezuela) pendant quatre terribles semaines, rançonnant la ville pour 30 000 pièces d'argent de huit. En 1668, il attaqua la côte du Honduras mais trouva peu de butin, et ses malheurs ne firent qu'empirer lorsque, près de la côte du Nicaragua, il fit naufrage avec un galion espagnol dont il s'était emparé. La fin de L'Olonnais fut difficile. Pris par des cannibales au large de la côte des Moustiques, il fut cuit et probablement mangé.

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Jean-Paul de Saumeur (1597-1668)

Jean-Paul de Saumeur était un Chevalier Hospitalier, c'est pourquoi on l'appelait "Le Chevalier Paul". Ses débuts dans la vie furent un peu difficiles puisqu'il était le fils illégitime du gouverneur du célèbre château d'If dans le sud de la France, sa mère étant une lavandière locale. Il embrassa une carrière en mer, mais les choses ne s'arrangèrent guère lorsqu'il tua un officier en duel. Comme pour beaucoup d'individus fortunés, la guerre apporta son lot d'opportunités, et lorsque le capitaine du navire sur lequel il naviguait fut tué, Jean-Paul en reçut le commandement. Ses talents de combattant et de chef étaient incontestables ; il affronta et vainquit cinq navires turcs à lui tout seul lors d'un engagement notable.

Corsaire au service de la Couronne française, Jean-Paul était basé à Lesbos et s'en prenait aux navires dans la mer Égée. Les Chevaliers Hospitaliers de Malte, amateurs de piraterie lorsque l'occasion se présentaient, virent très vite le potentiel de Jean-Paul et l'invitèrent à rejoindre l'ordre en 1637. Il devint commandant d'un brigantin et ses succès attirèrent la marine française, qui le nomma capitaine de vaisseau en 1638. En 1647, il mena un raid célèbre contre Naples et battit une flotte cinq fois plus grande que la sienne. En 1649, il fut fait chevalier, et en 1652, fut nommé lieutenant général du Proche-Orient. Il mourut de la goutte en 1668.

The Spanish Main & the West Indies c.1720
Mer des Caraïbes et Indes Orientales, C. 1720
Simeon Netchev (CC BY-NC-SA)

Jacques de Sores (actif 1553-70)

Jacques de Sores était un corsaire normand, et son infamie est due à une attaque brutale de La Havane en juillet 1555. Espérant trouver un vrai trésor dans la ville, de Sores fut cruellement déçu. Le gouverneur, qui s'était enfui à l'approche des corsaires, lança une contre-attaque qui fut repoussée. De Sores exécuta alors 24 prisonniers. Une rançon de 1 000 pesos fut offerte, mais c'était là un chiffre très faible. De Sores répondit à ce qu'il considéra une insulte en mettant le feu à la ville, y compris aux églises. Ses hommes brûlèrent les champs environnants et pendirent tous les esclaves africains qui y travaillaient. Ils coulèrent ensuite tous les bateaux du port et repartirent avec pratiquement rien qui puisse justifier leur brutalité.

Jaques de Sores retourna en Europe et, en 1569, il fut nommé commandant d'une flotte navale française. L'ancien pirate ne montra aucun signe d'apaisement et, lors de la capture de navires marchands vénitiens, il continua à fusiller les prisonniers sans pitié. Son dernier acte, le plus notoire, est la capture d'un navire portugais aux Canaries en juillet 1570. Le navire transportait 40 missionnaires jésuites, qui furent jetés par-dessus bord avec leurs livres et leurs icônes. Les autres passagers ne furent pas mieux lotis, et seuls six sur 500 survécurent à cette attaque impitoyable.

Robert Surcouf
Robert Surcouf
Mark Cartwright (CC BY-NC-SA)

Robert Surcouf (actif de 1794 à 1810)

Originaire de Saint-Malo en Bretagne, Robert Surcouf devint le plus notoire des corsaires français qui traquaient les navires marchands dans l'océan Indien pendant les guerres de la Révolution française (1792-1802). Comme tant d'autres marins, Surcouf s'était enfui en mer alors qu'il n'était qu'un adolescent, mais il devint capitaine d'un petit navire négrier qui transportait des Africains d'Afrique de l'Est vers l'île Maurice, alors colonie française. En 1795, le gouvernement français interdit le commerce d'esclaves et Surcouf se fit donc corsaire. Il ajouta quelques canons à son brigantin, l'Émilie, et partit à la recherche de navires marchands transportant des richesses d'Asie vers le Cap de Bonne-Espérance et l'Europe.

Une capture importante en 1796 fut celle du Triton britannique dans le golfe du Bengale, qui était chargé de précieuses épices. Le problème de Surcouf, cependant, n'était pas les Britanniques mais le gouverneur de l'île Maurice qui refusa de lui délivrer une lettre de marque lui donnant le droit officiel d'agir en tant que corsaire. En conséquence, ses captures furent confisquées. Surcouf résolut le problème en se rendant en France et en y obtenant une lettre de marque. Il retourna à l'île Maurice et reçut son butin en bonne et due forme. Surcouf possédait désormais deux petits navires, le Confiance et le Clarisse, avec lesquels il fit une autre capture notable en 1800, à nouveau un navire marchand britannique en provenance des Indes, le Kent. Lorsque la paix fut conclue entre l'Angleterre et la France en 1802, Surcouf rentra en France, mais il ne tarda pas à reprendre ses activités de corsaire, utilisant cette fois sa ville natale de Saint-Malo comme base avant d'attaquer les Caraïbes avec succès en 1807. L'empereur français Napoléon Bonaparte (r. 1804-1814 et 1815) appréciait certainement Surcouf, lui accordant même, selon la légende, une baronnie; tout comme la marine française qui donna son nom à plusieurs navires importants et à un sous-marin, consolidant ainsi sa place parmi les plus célèbres voleurs des mers français.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Mark Cartwright
Mark est un auteur, chercheur, historien et éditeur à plein temps. Il s'intéresse particulièrement à l'art, à l'architecture et à la découverte des idées que toutes les civilisations peuvent nous offrir. Il est titulaire d'un Master en Philosophie politique et est le Directeur de Publication de WHE.

Citer cette ressource

Style APA

Cartwright, M. (2021, novembre 17). Dix Célèbres Pirates et Corsaires Français [Ten Notorious French Pirates]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1879/dix-celebres-pirates-et-corsaires-francais/

Style Chicago

Cartwright, Mark. "Dix Célèbres Pirates et Corsaires Français." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le novembre 17, 2021. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1879/dix-celebres-pirates-et-corsaires-francais/.

Style MLA

Cartwright, Mark. "Dix Célèbres Pirates et Corsaires Français." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 17 nov. 2021. Web. 19 avril 2024.

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