John Knox sur le pouvoir au féminin

Article

John S. Knox
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 11 mars 2023
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Disponible dans ces autres langues: anglais

Le rôle des femmes dans le gouvernement et le ministère est depuis longtemps une source de controverse dans l'Église chrétienne. Depuis la période apostolique, d'innombrables personnes ont soit adopté le leadership féminin soit s'y sont opposées, le débat portant sur la question de savoir s'il est "naturel" qu'une femme domine un homme ou même si une femme a bel et bien la capacité de leadership.

Statue of John Knox
Statue de John Knox
Kim Traynor (CC BY-SA)

Dans l'Angleterre du XVIe siècle, le passage du pouvoir politique d'un régent masculin à un régent féminin, compliqué par la question de la religion, suscita de nombreuses critiques de la part des partis religieux et laïques. Le théologien écossais John Knox (1514-1572) passa une grande partie de sa vie à lutter contre ce qu'il appelait "cet empire monstrueux des femmes" (Premier coup de trompette contre le gouvernement monstrueux des femmes).

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Prédicateur ardent et intrépide, ses sermons et ses écrits condamnent fermement (et beaucoup diraient durement) l'establishment politique féminin existant à l'époque. Knox a souvent été qualifié de misogyne à l'extrême à cause d'ouvrages tels que The First Blast of the Trumpet Against the Monstrous Regiment of Women (Premier coup de trompette contre le gouvernement monstrueux des femmes), en raison de son portrait plutôt sinistre et négatif des femmes. D'autres, cependant, ont promu Knox au rang de quasi héros pour son courage et sa détermination pieuse à maintenir l'ordre naturel établi par Dieu, malgré les périls qui souvent l'entouraient.

John Knox

Knox vit le jour en 1513 à Haddington, en Écosse, et fit ses études à l'université de Glasgow. Il était à l'origine un prêtre catholique romain, ce qui lui permit sans doute de bien comprendre les principes du catholicisme. L'Écosse ne fut pas épargnée par la Réforme protestante, et un réformateur protestant écossais du nom de George Wishart commença à prêcher non loin de Knox.

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Knox apprit que pour survivre, sa volonté devait être inébranlable, inaltérable et inflexible.

Le parlementaire Henry Cowan explique que vers 1545, "Knox a subi l'influence puissante de Wishart" (Cowan, 58) et il commença à réévaluer sa théologie. Wishart lui enseigna la suprématie des Écritures, le sacerdoce universel des croyants, la justification par la foi et les activités ecclésiastiques mandatées par l'Église catholique non étayées par les Écritures. Finalement, Wishart fut martyrisé pour sa conspiration présumée dans l'assassinat du cardinal Beaton, et en tant que disciple de Wishart, Knox fut de plus en plus convaincu que l'Église catholique n'était pas ce qu'elle devrait être. Knox se convertit alors au protestantisme et commença à prêcher à St Andrews.

En 1547, lors d'une tentative de prise de St Andrews, Knox fut fait prisonnier par une flotte française et passa ensuite un an et demi en tant que galérien - endurant la mort vivante que les catholiques français (sous Catherine de Médicis) avaient créée pour traiter ceux qui refusaient de se convertir au catholicisme. Knox apprit que pour survivre, sa volonté devait être inébranlable, inaltérable et inflexible. Knox fut finalement libéré grâce à l'intervention du roi Édouard VI d'Angleterre, qui mourut en 1553. Knox retourna en Angleterre, rejoignit l'Église d'Angleterre et fut nommé aumônier royal.

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Lorsque Marie Ire Tudor devint reine d'Angleterre en 1553, Knox s'enfuit à Genève, en Suisse, où il entama une relation pieuse avec le réformateur protestant français Jean Calvin (1509-1564). Là, Knox fut très influencé par Calvin et impressionné par ses qualités de dirigeant et d'organisateur. Knox finit par rentrer en Écosse et soutint la révolte protestante contre Marie de Guise (1515-1560) avec l'aide d'Élisabeth Ire d'Angleterre (r. de 1558 à 1603).

Mary, Queen of Scots by Haillard
Marie Stuart, Reine d'Écosse par Haillard
Nicholas Hilliard (Public Domain)

Entre-temps, Marie, reine d'Écosse (r. de 1542 à 1567), retourna en Écosse. Elle et Knox eurent plusieurs entretiens personnels au cours desquels ils débattirent du protestantisme et du catholicisme. Knox aurait accepté de reconnaître son autorité à condition qu'elle respecte l'alliance avec Dieu telle qu'elle est décrite dans les Écritures, ce qu'elle ne fit pas. Pour cette raison, "Knox exigea alors que Marie soit déposée et exécutée" (Reid, 537), bien que cela ne se soit pas produit de son vivant. Impliquée dans plusieurs complots contre Élisabeth Ire, Marie fut finalement exécutée en 1587, soit une douzaine d'années après la mort de Knox en 1572.

Œuvres littéraires

Bien que John Knox soit connu en tant que fondateur de l'Église presbytérienne et auteur de l'Histoire de la Réforme en Écosse, il est également célèbre pour avoir écrit d'autres œuvres plus controversées, telles que The Appellation from the Sentence Pronounced by the Bishops and Clergy : Addressed to the Nobility and Estates of Scotland, A Faithful Admonition to the Professors of God's Truth in England, et Premier coup de trompette contre le gouvernement monstrueux des femmes. Dans chacun de ces écrits, il fait des remarques et des évaluations fracassantes (certains diraient répugnantes) quant au régime monarchique juste, afin de réformer et de purifier le gouvernement et la religion, avec lesquels il est si dramatiquement entrelacé. Ces traités furent extrêmement controversés à l'époque, car Knox n'adoucit en rien ses critiques lorsqu'il exposa ses admonestations, ses évaluations et ses jugements à l'égard de la royauté britannique et européenne.

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Appellation

Dans The Appellation, bien qu'il ne soit pas aussi ouvertement anti-femmes que dans The First Blast, Knox fait clairement savoir qu'il considère la monarchie et la papauté féminines comme dépourvues de caractère et de vertu. Ce traité est une réponse au fait que Knox avait été jugé, condamné et brûlé en effigie par les autorités papales après un voyage en Écosse en 1555 - autorités papales rétablies par Marie de Guise, la régente d'Écosse, qui était une catholique convaincue. Knox rédigea ce traité à l'intention de la noblesse écossaise et l'invita à se joindre à lui pour défendre cette cause contre la génération pestilentielle des papistes.

Mary of Guise
Marie de Guise
Google Cultural Institute (Public Domain)

Knox poursuit en étayant sa position théologique, mais surtout, il met en place un argument qui évoluera plus tard vers une notion plus radicale (bien qu'elle ait été plutôt radicale dès le départ). Désignant tous les papistes et leurs partisans comme des ennemis de Dieu, il déclare crûment et effrontément que "votre pouvoir est au-dessus de leur tyrannie" et qu'"aucun idolâtre ne peut être exempté du châtiment par la loi de Dieu". C'est pourquoi Knox appelle les Écossais à "éliminer d'entre eux les énormités qu'ils savent être abominables devant Dieu". Il s'agit là d'un défi direct à la reine Marie Ire d'Angleterre (r. de 1553 à 1558) et à l'autorité de l'Église catholique en Écosse. Dans sa croisade personnelle, Knox s'appuie sur de nombreux exemples de l'Ancien Testament pour confirmer sa position.

Admonition

Dans A Faithful Admonition, Knox poursuit sa position contre les femmes dirigeantes par plusieurs déclarations critiques et éhontées. Il déclare: "Ces tyrans sanglants du royaume d'Angleterre tuent, assassinent, détruisent et dévorent les hommes et les femmes". On peut supposer que le "tyran sanguinaire" dont parle Knox n'était autre que Marie Ire, surnommée Marie la Sanglante en raison de la persécution des protestants qui refusaient de se soumettre à ses rêves catholiques (et à ceux de l'évêque Pole) pour l'Angleterre.

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Knox poursuit dans The Admonition en la mettant en corrélation avec le pharaon biblique maléfique de l'époque de Moïse, l'ennemie jurée du prophète Élie, Jézabel, et Athalieh de l'Ancien Testament, ainsi qu'avec Judas dans le Nouveau Testament. Non seulement Knox considère Marie comme aussi mauvaise que Jézabel, mais elle est présentée comme bien pire, car "Elle [Jézabel] n'a jamais érigé la moitié du nombre de potences dans tout Israël que l'espiègle Marie l'a fait dans la seule ville de Londres". Il est clair que Knox trouvait Marie Tudor détestable en tant que souveraine, car à bien des égards, il la considérait comme une idolâtre et traîtresse à la vraie foi de la Bible.

Mary I of England by Antonis Mor
Marie Ire d'Angleterre par Antonis Mor
Antonis Mor (Public Domain)

Knox continua d'avertir ses lecteurs anglais que s'ils ne s'amendaient pas et "contractent mariage, de confédération ou d'alliance avec des princes qui maintiennent et promeuvent l'idolâtrie [...] vous serez tourmentés et menés à la désolation". Selon Knox, ils devaient revenir à l'Église protestante réformée établie par Dieu, que Marie Ire et Marie de Guise tentaient de détruire. En outre, ils devaient "veiller et prier, résister au diable et ramer contre cette tempête véhémente", puis Dieu les récompenserait pour leur fidélité.

First Blast

Avec la mort de Marie Ire en 1558, Knox pensait probablement que leur récompense était imminente avec un retour au régime patriarcal, mais il allait être confronté à d'autres déceptions et difficultés avec l'accession au trône d'Élisabeth Ire d'Angleterre (r. de 1558 à 1603). Un tract écrit par Knox en 1556, intitulé The First Blast of the Trumpet Against the Monstrous Regiment of Women (Premier coup de trompette contre le gouvernement monstrueux des femmes), vint compliquer cette relation. Knox l'avait écrit en pensant à trois femmes: La reine mère et régente Catherine de Médicis de France, Marie Ire d'Angleterre et Marie de Guise, régente d'Écosse. Ces trois femmes, toutes catholiques et soutenant la papauté, avaient été à l'origine de souffrances et de persécutions dans une grande partie de l'Europe. Dans l'esprit de Knox, elles étaient terriblement inaptes à devenir des dirigeants, et dans ce traité, il entreprit de le prouver.

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Portrait of Catherine de' Medici
Portrait de Catherine de Médicis
Germain Le Mannier (Public Domain)

À la lecture de The First Blast, il est facile de comprendre pourquoi de nombreuses personnes considèrent qu'il s'agit simplement des délires d'un homme qui déteste les femmes. Knox utilise un langage brutal dans sa présentation et n'offre aucun équilibre positif aux critiques négatives concernant la féminité. Ainsi, il commence son traité par "Combien est abominable devant Dieu l'empire ou la domination d'une femme méchante". Il affirme ensuite que le pouvoir féminin est "détestable et damnable" et "répugne à la nature" parce que les femmes sont "faibles, frêles, impatientes, chétives et stupides; et l'expérience les a déclarées inconstantes, variables, cruelles, dépourvues de l'esprit de conseil et de régiment".

Selon Knox, le seul but de sa rédaction de The First Blast était d'aider à ramener l'Angleterre dans une juste relation avec Dieu, où la vraie foi chrétienne pourrait s'exercer et où la paix pourrait régner. À cette époque, le sang coulait à flots, la corruption était omniprésente et la situation en Angleterre se détériorait rapidement. Knox déclare à propos de cette situation: "Nous voyons notre pays présenté comme une proie aux nations étrangères; nous entendons parler du sang de nos frères, les membres du Christ Jésus, qui va être versé de la manière la plus cruelle ; et le monstrueux empire [gouvernement] d'une femme cruelle [...] est, nous le savons, la seule cause de tous ces malheurs. Knox voit une corrélation directe, et en tant que prédicateur de Dieu, messager ordonné pour aider à rendre le chemin droit pour le Seigneur, il ressent l'obligation de présenter la vérité, même si elle est douloureuse à entendre.

Au sens large, Knox considère qu'une femme sur le trône gouvernemental est une rébellion directe contre Dieu.

Knox commence par étayer son argumentation en citant tous les grands penseurs de l'histoire qui partagent son point de vue sur le rôle des femmes. Il fait référence aux écrits d'Aristote, de Tertullien, d'Augustin, de Saint Jérôme, d'Ambroise, de Chrysostome et de Magnus, qui affirment tous que "dans sa plus grande perfection, la femme a été créée pour être soumise à l'homme" et que tout autre état est une condition contre nature qui conduirait à des conflits sociaux inutiles.

Knox signale ensuite dans The First Blast des documents bibliques tels que la Genèse, les Corinthiens, Timothée, les Éphésiens et les Romains qui, au moins superficiellement, semblent soutenir sa position. Dans son esprit, tout comportement contredisant cette compréhension ne consiste pas seulement à "inverser l'ordre que Dieu a établi, mais aussi à souiller, polluer et profaner ... le trône et le siège de Dieu". Dans un sens large, Knox considère donc qu'une femme sur le trône gouvernemental est une rébellion directe contre Dieu.

Knox suggère en outre que même dans la nature et la société, une femme au pouvoir est un événement déviant. Il déclare : "Car la nature a imprimé à toutes les bêtes une certaine marque de domination chez le mâle, et une certaine sujétion chez la femelle." Knox ajoute à cela l'idée que, que l'on soit juif ou païen (ou même païen), un ordre a été établi il y a longtemps avec l'homme comme leader naturel. La plupart des nations avaient des hommes au sommet de la hiérarchie. Ainsi, aller à l'encontre de l'ordre naturel, ordonné par Dieu, est répugnant pour la nature et la justice, car cela donne aux femmes ce qui ne leur revient pas de droit - le rôle de chef.

Conclusion

On peut raisonnablement affirmer que Knox avait beaucoup souffert tout au long de sa vie aux mains des femmes monarques au pouvoir, que ce soit chez lui en Écosse, sur l'île anglaise ou de l'autre côté de la Manche en France. Il avait souvent vu ses compatriotes persécutés et assassinés pour leurs croyances chrétiennes réformées, et il avait établi une corrélation directe entre les monarques féminins et les difficultés personnelles ou nationales. Il voyait les problèmes de la culture écossaise/anglaise, il voyait ce qui, selon lui, les causait, et il cherchait à les faire disparaître.

Les détracteurs de Knox condamnent sa position comme "une insistance excessive sur l'Ancien Testament et une littéralité prononcée" (Kyle, 66), qui place "les formes littérales de l'Écriture au-dessus de son contenu substantiel" (Kyle, 66). Cela peut être discuté, mais l'approche de Knox à l'égard de l'Écriture est loin d'être unique. De nombreux groupes fondamentalistes modernes s'en tiennent encore à l'inerrance de la Bible et s'efforcent de suivre ses commandements à la lettre. En raison de la croyance de Knox en l'immuabilité de Dieu, une ordonnance de Dieu doit toujours être suivie, même si cela signifie aller à l'encontre de l'évolution de l'ordre social.

Knox se mettait souvent sous le feu des projecteurs en prononçant des paroles peu recommandables et controversées dans ses sermons ou ses tracts. En fait, "beaucoup de ses disciples, ainsi que Calvin et Beza, étaient très agacés par ses coups de gueule" (Reid, 535). Knox écrivait crûment alors qu'il aurait dû être plus tempéré et diplomatique. Le révérend Halliday affirme que trop souvent, "l'hostilité de Knox à l'égard de ses adversaires était sans réserve, alors que sa dénonciation de ceux-ci était tempérée et sauvage" (Halliday, 170). Knox ne fut pas toujours un homme de paix et fut même considéré comme "une gêne dans les couloirs du pouvoir" (Halliday, 170). Il vivait dans l'extrême et parlait dans l'extrême, mais grâce à son courage obstiné et à sa volonté inébranlable, on lui attribue toujours le mérite d'avoir provoqué la Réforme écossaise (vers 1525-1560).

Reformation Wall
Mur des réformateurs, Genève
Henri Bouchard and Paul Landowski  (CC BY-SA)

Le fait que Knox ait eu des préjugés contre les régents féminins est difficilement contestable; cependant, si l'on définit la misogynie comme une haine universelle des femmes, alors Knox, dont la seule condamnation des femmes concerne leur rôle et leur autorité politique, ne mérite peut-être pas ce qualificatif. Il est vrai qu'il avait une vision chauvine des femmes dans l'ordre hiérarchique, mais cela ne signifie pas nécessairement qu'il les haïssait. En outre, la croyance en l'inerrance littérale de la Bible n'est pas nécessairement synonyme de sexisme. Knox suivait les préceptes de la Bible parce qu'il y croyait de tout cœur. Sa sincérité lui permit sans doute de converser avec les femmes monarques au pouvoir (et il réussit même à se marier à deux reprises). L'approche de Knox était peut-être extrême, mais elle était aussi sincère.

En gardant cela à l'esprit, la question pertinente semble être de savoir si une personne - quel que soit son sexe - a quelque chose à offrir à la communauté et si cette personne, en occupant cette position de leader, nuit aux personnes dont elle a la charge et qu'elle se devrait d'encourager. En gardant cela à l'esprit (et en essayant de ne pas céder aux préjugés postmodernes à l'égard des cultures antérieures), les structures sociales qui convenaient à l'époque de Moïse ou du révérend John Knox ne conviennent peut-être pas à la nôtre. Les étudiants en histoire doivent donc veiller à ne pas condamner catégoriquement toutes les femmes - ou tous les hommes - pour des actes commis par des personnages historiques dans un milieu socialement moins progressiste.

Bien que les paroles de condamnation de Knox soient répugnantes pour des oreilles postmodernes égalitaires, John Knox était probablement moins chauvin que ce que beaucoup de gens pensent de lui. Tout au long de sa vie, et c'est tout à son honneur, Knox continua à dialoguer avec les femmes. Il était peut-être un misogyne mal compris, mais il n'en était pas moins dévoué à la cause de la vérité et de la justice telle qu'il la voyait, la lisait et la vivait personnellement. Le révérend Halliday résume l'importance de John Knox en disant: "C'était un prédicateur et un écrivain d'une capacité exceptionnelle, qui fit avancer les choses à l'échelle nationale par la seule force de sa personnalité, en s'adressant à tout un peuple. De manière moins évidente, mais néanmoins réelle, il était un pasteur" (Halliday, 171). Knox se sentait mandaté par la Bible et, en raison de ce qu'il était et de ce qu'il avait vécu dans la vie, il se sentait obligé d'aider (ou de forcer) les autres à voir ce qu'il considérait comme la vérité - quel qu'en ait été le prix.

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Bibliographie

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

John S. Knox
Le Dr John S. Knox a enseigné la sociologie, l'histoire et la religion pendant près de 20 ans dans des universités chrétiennes du nord-ouest du Pacifique et de la côte est. Il est l'auteur de 10 livres à ce jour, ainsi que de nombreux articles scientifiques sur la sociologie, l'histoire et la religion.

Citer cette ressource

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Knox, J. S. (2023, mars 11). John Knox sur le pouvoir au féminin [John Knox on Female Leadership]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2188/john-knox-sur-le-pouvoir-au-feminin/

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Knox, John S.. "John Knox sur le pouvoir au féminin." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le mars 11, 2023. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2188/john-knox-sur-le-pouvoir-au-feminin/.

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Knox, John S.. "John Knox sur le pouvoir au féminin." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 11 mars 2023. Web. 18 avril 2024.

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