Yang Zhu

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 19 juin 2020
Disponible dans ces autres langues: anglais, allemand
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1,000 Characters of Happiness (by Emily Mark, CC BY-NC-SA)
1 000 personnages du bonheur
Emily Mark (CC BY-NC-SA)

Yang Zhu (440-360 av. J.-C., également connu sous le nom de Yang Chou ou Yang Chu) était un philosophe hédoniste qui vécut et écrivit pendant la période des Royaumes combattants en Chine. On sait peu de choses sur sa vie, mais son œuvre a survécu grâce aux écrits du grand philosophe confucéen Mencius (372-289 av. J.-C.), qui condamna ses idées comme étant subversives et dangereuses, ainsi que celles du philosophe mohiste Mo Ti (470-391 av. J.-C.), qui prônait l'amour universel sans tenir compte du statut social, .

Yang Zhu était initialement un enseignant taoïste qui abandonna sa foi et sa position pour l'hédonisme, probablement parce qu'il estimait que le taoïsme ne faisait rien pour soulager la souffrance humaine qu'il voyait tout autour de lui. La période des Royaumes combattants (481-221 av. J.-C.) fut une période de conflits continus dans la Chine ancienne, les sept États s'affrontant pour la suprématie jusqu'à ce que l'État de Qin ne vainque les autres et n'établisse la dynastie Qin (221-206 av. J.-C.). Yang Zhu vécut au début de cette période, alors qu'aucun des États ne parvenait à prendre l'avantage sur les autres, mais semblait croire que l'assaut suivant, puis le suivant, changeraient cette dynamique, alors que ces campagnes ne faisaiet qu'augmenter le nombre déjà considérable de morts. La vie des peuples pour lesquels ces Royaumes distincts se battaient était considérée comme sacrifiable, et la vie d'un individu, déjà brève, pouvait être écourtée à n'importe quel moment et pour n'importe quelle raison.

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En conséquence, Yang Zhu refusa de participer plus longtemps à la folie et se consacra à l'hédonisme. Il développa sa philosophie sur la base de quatre vérités centrales qu'il considérait comme évidentes:

  • La vie est une souffrance pour laquelle il n'y a pas de remède
  • Il n'y a pas de Dieu, pas de vie après la mort et rien d'autre que le monde physique.
  • Les méchants et les justes vivent et meurent de la même manière, sans punition ni récompense.
  • La recherche du plaisir est la seule réponse appropriée à la vie et son but le plus élevé.
Yang Zhu s'efforça de s'occuper de ses propres affaires et de vivre sa vie selon ses quatre principes hédonistes.

Yang Zhu semble avoir eu connaissance du fait que Lao Tzu (circa 500 av. J.-C.), le fondateur légendaire du taoïsme, s'exila de Chine après avoir compris que ses efforts n'avaient pas changé le cœur des gens et que Mo Ti n'avait pas non plus réussi à atteindre ce même objectif. Il se consacra donc à s'occuper de ses propres affaires et à vivre sa vie selon ces quatre principes.

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Bien que la motivation et l'inspiration aient été différentes, la philosophie de Yang Zhu est comparable à d'autres systèmes hédonistes tels que celui de l'école de Charvaka en Inde et ceux d'Aristippe de Cyrène (circa 435-356 av. J.-C.) et d'Épicure (circa 341-270 av. J.-C.) en Grèce. Lorsque le premier empereur de la dynastie Qin, Shi Huangdi (règne de 221 à 210 av. J.-C.), arriva au pouvoir, il brûla tous les livres qui n'étaient pas conformes à son strict légalisme, et parmi ceux-ci se trouvaient les œuvres de Yang Zhu. Sa philosophie n'a été préservée qu'à travers les œuvres d'autres personnes qui ont cherché à réfuter ses quatre principes et à discréditer ses enseignements.

Croyances et arguments

L'événement qui poussa Yang Zhu à abandonner une position respectable d'enseignant taoïste pour embrasser l'hédonisme est inconnu mais, d'après les fragments de ses œuvres cités par Mencius, il en était venu à rejeter les valeurs de la culture chinoise comme des fantaisies absurdes dépourvues de toute signification finale. Il semble avoir conclu que la misère sans fin de la période des Royaumes combattants avait été encouragée par ces valeurs qui prétendaient à une légitimité qu'elles n'avaient pas et qui ne faisaient qu'enfermer les gens dans un cycle de guerre, de privation et de mort. La croyance en une soi-disant "bonne conduite" n'incite pas les gens à bien se comporter, note-t-il, et les prières et supplications adressées à une puissance supérieure n'apportent rien d'autre qu'une continuation de la souffrance et du chagrin. L'historien Will Durant résume la philosophie de base de Yang Zhu:

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La vie est pleine de souffrances [et donc] son but principal est le plaisir. Il n'y a pas de dieu... ni de vie après la mort; les hommes sont les marionnettes impuissantes des forces naturelles aveugles qui les ont créés et qui leur ont donné leur ascendance non choisie et leur caractère inaliénable. Le sage acceptera ce destin sans se plaindre, mais ne se laissera pas abuser par toutes les sornettes de Confucius et de Mo Ti sur la vertu inhérente, l'amour universel et la bonne réputation: la moralité est une tromperie pratiquée sur les simples par les intelligents; l'amour universel est l'illusion des enfants qui ne connaissent pas l'inimitié universelle qui forme la loi de la vie; et la bonne réputation est une babiole posthume dont les imbéciles qui l'ont payée si cher ne peuvent pas jouir. (679)

Citant quatre grands hommes et deux des plus mauvais, Yang Zhu soutient que la vie vertueuse n'a aucun profit, tandis que la vie de jouissance sensuelle, quelle que soit l'infamie de la réputation, est la seule qui ait un sens. Il examina la vie de Shun et de Yu le Grand, rois-héros remarquables de la dynastie chinoise préhistorique des Xia (vers 2070-1600 av. J.-C.) qui étaient des exemples de vertu, ainsi que la vie de deux autres sages, Chou Kung et Confucius, et les compara à deux des plus grands méchants de l'histoire chinoise, l'empereur Jie Gui (le dernier empereur de la dynastie des Xia) et l'empereur Zhou Xin, dernier empereur de la dynastie des Shang (alias Di Xin, 1600-1046 av. J.-C.).

Yu the Great
Yu le Grand
Ma Lin (Public Domain)

En comparant soigneusement la vie de ces six personnages, Yang Zhu conclut qu'il valait mieux vivre pour son propre plaisir plutôt que de se préoccuper des autres ou de la façon dont on se souviendrait de soi. Durant cite la conclusion de Yang Zhu:

Ces quatre sages, durant leur vie, n'ont pas eu un seul jour de joie. Depuis leur mort, ils ont acquis une renommée qui perdurera à travers des myriades d'âges. Mais cette célébrité, personne ne la choisirait s'il se souciait de ce qui est réel. Célébrez-les - ils ne le savent pas. Récompensez-les - ils ne le savent pas. Leur renommée ne leur appartient pas plus qu'au tronc d'un arbre ou à une motte de terre. En revanche, Jie Gui a hérité de la richesse accumulée par de nombreuses générations... Il s'est adonné aux plaisirs auxquels l'incitaient ses yeux et ses oreilles; il a réalisé tout ce qu'il lui venait à l'esprit de faire. De tous les mortels, il n'y en eut jamais un dont la vie fut aussi luxueuse et dissipée que la sienne. Zhou Xin possédait les richesses accumulées par de nombreuses générations... il se laissait aller à ses sentiments dans tous ses palais, il donnait des rênes à ses désirs pendant la longue nuit, il ne se rendait jamais amer en pensant aux convenances et à la droiture. Ces deux scélérats, durant leur vie, ont eu la joie d'assouvir leurs désirs. Depuis leur mort, ils ont la mauvaise réputation de la folie et de la tyrannie. Mais la réalité de la jouissance est ce qu'aucune renommée ne peut donner. Reprochez-leur - ils ne le savent pas. Louez-les, ils ne le savent pas. Leur mauvaise renommée n'est pas plus pour eux que le tronc d'un arbre ou une motte de terre. (680-681)

Malgré cela, Yang Zhu ne pensait pas qu'il fallait imiter Jie Gui et Zhou Xin dans leur méchanceté, mais seulement dans leur manque de considération pour ce que les autres pensaient d'eux et dans leur recherche du plaisir. Il aurait approuvé les hédonistes de la philosophie grecque, Aristippe de Cyrène et Épicure, dans la mesure où, comme eux, il pensait que le plaisir n'était pas nécessairement la seule recherche de la satisfaction physique, mais simplement la recherche de ce qui était bon pour soi et dans son propre intérêt.

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Tout comme Épicure, Yang Zhu dirait que lire un livre ou se promener dans les bois est aussi agréable que de boire trop de vin et que toutes les formes de plaisir sont dignes d'être recherchées. Comme les humains sont des animaux et que les animaux agissent en fonction de leur intérêt personnel, les humains devraient faire de même. Dans le même temps, cependant, il condamnait les personnes au pouvoir qui utilisaient leur position pour servir leurs propres intérêts, estimant qu'il fallait être prudent dans l'exercice de l'autorité sur autrui. Essentiellement, en acceptant une position de pouvoir, on a poursuivi son plaisir et on doit maintenant le "payer" en exerçant ce pouvoir de manière responsable. Il considérait comme méprisables les membres du gouvernement qui plaçaient leurs désirs personnels au-dessus de la juste règle du peuple.

Hédonisme grec et Charvaka indien

Aristippe de Cyrène, un ancien élève de Socrate, partageait le même point de vue que Yang Zhu. Il est possible qu'Aristippe ait développé sa vision hédoniste après l'exécution de Socrate par les Athéniens en 399 avant notre ère, mais cela n'est pas certain. Ce qu'il apprit de son maître concernant les vérités ultimes et la moralité fut toutefois abandonné au moment où il alla vivre à la cour de Denys l'Ancien (vers 432-367 av. J.-C.), où il occupait le poste de conseiller mais passait le plus clair de son temps à s'adonner à divers plaisirs sensuels aux dépens de Denys Ier. Pour Aristippe, il semble que l'on ne puisse rien faire contre le comportement irresponsable d'un monarque et que le mieux que l'on puisse faire soit de tirer profit d'un poste à la cour en obtenant ce que l'on peut pendant qu'il est possible de l'obtenir.

Aristippe est surtout connu pour sa phrase "Je possède, je ne suis pas possédé", qui signifiait qu'il pouvait s'adonner à des activités agréables sans que ces plaisirs ne le définissent par leur attachement. Les objets du plaisir n'ont pas de signification finale; ce qui compte, c'est leur poursuite et leur jouissance, même si elles sont éphémères. En parlant d'une courtisane avec laquelle il couchait, il aurait soi-disant dit qu'il l'avait eu, mais qu'elle, elle ne l'avait pas eu. Le plaisir pour lui-même, sans aucune finalité, était le but le plus élevé que l'on pouvait atteindre dans la vie, et les autres personnes n'étaient que des obstacles ou des aides pour atteindre ce but.

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Aristippus of Cyrene
Aristippe de Cyrène
Pasicles (Public Domain)

Ce point de vue correspond étroitement à celui de Yang Zhu dans la mesure où Mencius caractérise sa philosophie comme n'étant rien d'autre que de l'égoïsme déguisé en "philosophie" par laquelle Yang Zhu cherche à transformer les gens en bêtes sauvages sans se soucier des convenances ou des autres. L'hédonisme d'Épicure ne correspond pas tout à fait à celui de Yang Zhu car, contrairement à la croyance populaire, Épicure n'encourageait pas une vie menée à la recherche du plaisir, sans se soucier des conséquences ou des sentiments d'autrui. Épicure estimait que le plaisir était le bien suprême, mais qu'il devait être recherché de manière réfléchie et avec modération afin de préserver sa santé et de profiter de la vie le plus longtemps possible.

Un parallèle très proche de la pensée de Yang Zhu nous vient toutefois de l'Inde, sous la forme de l'école philosophique connue sous le nom de Charvaka, qui aurait été créée par un certain Brihaspati vers 600 avant J.-C. On ne sait rien de Brihaspati. On ne sait rien de la vie de Brihaspati, mais sa philosophie était une réaction contre ce qu'il considérait comme la tyrannie de la religion organisée, qui permettait à la classe sacerdotale de s'enrichir aux dépens et à l'appauvrissement des classes inférieures. Brihaspati, comme Yang Zhu, affirmait qu'il n'y avait pas de Dieu, que la religion était une invention des forts pour exploiter les faibles et que le bien suprême dans la vie était la recherche du plaisir.

Le Charvaka, comme la philosophie de Yang Zhu, rejetait toute affirmation concernant l'existence d'entités surnaturelles, l'efficacité de la pensée et de la pratique religieuses, et toute affirmation concernant la vérité qui ne proviendrait pas de la perception directe par un individu d'un phénomène donné. La vie est courte, affirmait le Charvaka, et en l'absence de toute puissance supérieure, la seule obligation d'un individu est de s'occuper de lui-même et de son propre plaisir. Yang Zhu aurait été tout à fait d'accord avec cette vision.

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Réponse à la souffrance et à l'égoïsme

La philosophie de Brihaspati s'est très probablement développée en réponse à la souffrance dont il était témoin, causée par une classe supérieure qui s'enrichissait aux dépens de ceux qui souffraient déjà, et les opinions de Yang Zhu ont presque certainement été formées par ce même type d'observation. Il a justifié son abandon des principes taoïstes au profit d'une philosophie chinoise axée sur l'intérêt personnel en soulignant à quel point les "vertus" supposées de sa société étaient dénuées de sens et que, quels que soient les efforts déployés, rien ne changerait jamais l'égoïsme fondamental de la nature humaine.

Yang Zhu essayait peut-être de confronter les gens à ce qu'ils faisaient en réalité mais ne voulaient pas admettre: vivre entièrement pour leur propre plaisir.

D'une certaine manière, la philosophie de Yang Zhu pourrait être caractérisée par la vieille phrase "Si vous ne pouvez pas les battre, joignez-vous à eux" en ce sens que son égoïsme très apparent n'était que l'expression honnête de ce que d'autres faisaient tout le temps mais cachaient derrière la "bonne conduite" et le vernis de ce que l'on appelle la "bonne société". Plutôt que de continuer à jouer un rôle dans ce qu'il considérait comme la mascarade de la société civilisée, Yang Zhu a peut-être essayé de confronter les gens autour de lui à la vérité de ce qu'ils étaient en leur montrant ce qu'ils faisaient eux-mêmes tous les jours mais n'admettaient pas: vivre entièrement pour leur propre plaisir sans penser aux autres.

À l'inverse, son abandon du taoïsme au profit de l'hédonisme pourrait avoir été simplement inspiré par la prise de conscience qu'il n'accomplissait rien en enseignant parce que les gens ne changeaient jamais, n'avaient jamais changé et ne changeraient jamais. Il n'a pas été le premier philosophe, ni le dernier, à abandonner le service aux autres au profit de l'intérêt personnel. Pour ne citer que quelques philosophes de l'histoire chinoise, Lao-Tseu s'est exilé parce qu'il ne pouvait plus supporter la mendicité et l'ineptie du gouvernement chinois et les souffrances qu'elles causaient au peuple; Yang Zhu semble avoir simplement choisi sa propre méthode pour faire face au même niveau de stupidité et de misère humaines. Le contemporain de Yang Zhu, le poète Qu Yuan (vers 340-278 av. J.-C.), après une vie passée à créer de la beauté pour le bénéfice des autres dans le contexte des horreurs de la période des Royaumes comnattants, choisit de se noyer plutôt que d'endurer davantage la cruauté de l'humanité. Mo Ti et Mencius, après avoir consacré leur vie à changer les cœurs et les esprits, finirent par abandonner leurs efforts pour transformer les tyrans en philosophes et les pécheurs en saints.

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Conclusion

Plutôt que de poursuivre la tradition de l'homme sage essayant d'élever le cœur et l'esprit d'imbéciles égoïstes, Yang Zhu tourna le dos à l'éducation pour se consacrer entièrement à ses propres intérêts. Il avait compris que la vie était courte, que la mort pouvait survenir rapidement à tout moment et qu'il fallait vivre aussi pleinement que possible chaque jour. Comme les stoïciens de Grèce et de Rome, Yang Zhu considérait la mort comme un élément naturel de la vie, qu'il ne fallait pas craindre puisqu'on ne vivrait plus rien après. Cette quête de la bonne vie était cependant en contradiction avec le comportement acceptable dicté par les principes confucéens et pratiqué par la majorité. Mencius critiqua sévèrement la philosophie de Yang Zhu, ainsi que celle de Mo Ti, au motif qu'elle sapait la société en introduisant une pensée radicale. Mencius a écrit:

Le principe de Yang est "chacun pour soi" - ce qui ne reconnaît pas les revendications du souverain. Le principe de Mo est "Aimer tous également" - ce qui ne reconnaît pas l'affection particulière due au père. Ne reconnaître ni roi ni père, c'est être à l'état de bête. Si l'on ne met pas un terme à leurs principes et si l'on n'énonce pas les principes de Confucius, leurs propos pervers tromperont le peuple et bloqueront le chemin de la bienveillance et de la droiture. (Durant, 682)

Mencius et ses disciples réussirent à discréditer la philosophie de Yang Zhu de son vivant. Avec l'avènement de la dynastie Qin, l'empereur Shi Huangdi ordonna de brûler tous les livres qui n'étaient pas d'accord avec sa philosophie personnelle et sa vision de l'histoire, et les œuvres de Yang Zhu en faisaient partie. On ignore donc où il est né et comment il est mort, et seuls des fragments de sa philosophie ont survécu, mais il a manifestement laissé une marque assez profonde pour qu'un personnage de l'envergure de Mencius le considère comme un danger à réprimer. Ironiquement, c'est presque entièrement grâce à la censure par Mencius de la philosophie hédoniste de Yang Zhu qu'elle a été préservée pour inspirer plus tard d'autres personnes à suivre la même voie.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Joshua J. Mark est cofondateur et Directeur de Contenu de la World History Encyclopedia. Il était auparavant professeur au Marist College (NY) où il a enseigné l'histoire, la philosophie, la littérature et l'écriture. Il a beaucoup voyagé et a vécu en Grèce et en Allemagne.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2020, juin 19). Yang Zhu [Yang Zhu]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-11667/yang-zhu/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Yang Zhu." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le juin 19, 2020. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-11667/yang-zhu/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Yang Zhu." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 19 juin 2020, https://www.worldhistory.org/Yang_Zhu/. Web. 29 avril 2025.

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