Esprits de la maison: Mânes, Panes et Lares

Article

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 28 octobre 2019
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Disponible dans ces autres langues: anglais, italien

Pour les Romains de l'Antiquité, toute chose était imprégnée d'un esprit divin (numen, pluriel: numina) qui lui donnait vie. Même les objets supposés inanimés comme les rochers et les arbres possédaient un numen, une croyance qui se développa sans doute à partir des premières pratiques religieuses de l'animisme. Il y avait des esprits d'un lieu, des rivières et des sources, des collines et des vallées, de la maison - et même des aspects de la maison - ainsi que ceux qui gardaient, ou pouvaient menacer, les personnes qui y vivaient.

Pompeii Fresco with Lares
Fresque de Pompéi avec des lares
Carole Raddato (CC BY-NC-SA)

Les esprits de la terre (connus sous le nom de forces chthoniennes) n'avaient jamais pris forme humaine, pas plus que les autres, mais il y avait aussi les esprits des morts - les ancêtres, les personnes récemment décédées et les morts en général - qui pouvaient influencer la vie quotidienne. Ces esprits, ainsi que ceux du monde naturel, veillaient sur la vie quotidienne des Romains, les guidant et les protégeant, à moins que l'on n'oublie de les honorer correctement et de les remercier pour leurs dons.

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La vie spirituelle de l'État et du foyer

Dans la Rome antique, la religion était parrainée par l'État. On pensait que les dieux avaient un intérêt direct dans la santé et la réussite de l'État romain, de sorte que les croyances et les pratiques religieuses n'étaient pas seulement suggérées, mais obligatoires. On attendait des gens qu'ils participent aux rituels et festivals religieux parrainés par l'État, mais aussi qu'ils apaisent et honorent les esprits de leurs maisons. Il semble, au vu du nombre de rituels et d'activités quotidiennes honorant ou apaisant divers esprits, qu'un tel mandat n'était pas nécessaire car les gens étaient déjà suffisamment motivés.

UNE MAISON DANS LAQUELLE LES RITUELS ÉTAIENT RESPECTÉS ET LES ESPRITS HONORÉS PROSPÉRERAIT TANDIS QUE CELLES QUI NÉGLIGEAIENT LES ESPRITS EN SOUFFRIRAIenT.

Bien qu'il y ait eu des fêtes régulières pour honorer les dieux de l'État tels que Jupiter et Junon, Mars et Saturne, les vies individuelles des Romains étaient davantage influencées par les esprits de la terre, de la maison et de ceux qui étaient décédés. Ces fêtes d'État et les honneurs dus aux dieux étaient facilement gérés par les pontifes (prêtres), le pontifex maximus (grand prêtre), le rex sacrorum (roi des choses sacrées), les augures (devins) et les prêtres mineurs des divinités individuelles connus sous le nom de flamines.

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Dans l'optique romaine individuelle, ces autorités avaient la tâche d'honorer les dieux bien en main, tandis qu'il appartenait à chaque foyer individuel (et plus particulièrement au chef de ce foyer) d'honorer ses propres esprits. Il semble donc probable que le peuple pensait qu'il était de loin préférable d'oublier de sacrifier au temple de Jupiter lors d'une fête que de prendre un repas ou de quitter la maison le matin sans remercier les esprits qui guidaient, entretenaient et protégeaient sa famille.

Cela ne veut pas dire que le fait d'oublier Jupiter n'avait aucune importance, mais que les esprits qui nous accompagnaient quotidiennement et gardaient le foyer et la maison avaient la priorité dans les rituels quotidiens, car ils faisaient connaître leur mécontentement immédiatement dans la vie d'une personne, alors que Jupiter pouvait attendre de punir l'État à plus grande échelle. La religion romaine était fondée sur le concept de quid pro quo ("ceci pour cela"), et il était entendu que, tant que l'on respectait les esprits de sa maison, on jouissait de bonne santé et de prospérité. Cela était vrai pour les dieux dans leur ensemble, mais plus un dieu ou un esprit était proche de l'existence quotidienne d'une personne, plus celle-ci devait accorder d'attention à ces forces divines. L'expert Antony Kamm commente:

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Pour les Romains, la foi religieuse était moins une expérience spirituelle qu'une relation contractuelle entre l'homme et les forces censées contrôler son existence et son bien-être. Le résultat était essentiellement double: un culte d'État dont l'influence significative sur les événements politiques et militaires survécut à la République, et une préoccupation privée, dans laquelle le chef de famille supervisait les rituels et les prières domestiques de la même manière que les représentants élus du peuple exécutaient les cérémonies publiques. (Nardo, 58)

Chaque foyer, croyait-on, fonctionnait en fonction de la façon dont les gens de la maison traitaient leurs esprits. Une maison dans laquelle les rituels étaient respectés et les esprits honorés prospérait - et un propriétaire prospère pouvait faire valoir sa prospérité comme preuve de sa dévotion et de sa piété - tandis que ceux qui négligeaient les esprits en souffraient.

Il y avait de nombreux esprits différents dans la croyance religieuse romaine, mais ceux qui affectaient le plus directement le foyer et la vie quotidienne d'une famille étaient :

  • Panes et Penates
  • Lares
  • Parentes
  • Manes
  • Lemures
  • Genius
  • Genius Loci
  • Umbrae

En outre, il y avait le dieu Janus, dieu des commencements mais aussi des portes et des portails, et Vesta, déesse du foyer et de la maison, qui exigeait une attention particulière de la part du propriétaire. Janus avait également des divinités auxiliaires pour garder les portes d'une maison: Cardea (déesse des charnières), Forculus (dieu de la porte elle-même, en particulier des doubles portes) et Limentinus (dieu du seuil). En outre, les limites de la propriété d'un individu étaient protégées par un autre dieu, Terminus, qui habitait la pierre marquant la limite entre la propriété d'un individu et celle d'un voisin.

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Janus
Janus
Loudon dodd (CC BY-SA)

Toutes ces forces surnaturelles devaient être honorées ou apaisées, même si Janus et Vesta avaient des festivals organisés par l'État et que Vesta, bien sûr, avait ses vierges vestales qui maintenaient sa flamme éternellement allumée dans son temple. Les seuls êtres que l'on ne pouvait espérer influencer étaient les moires, connus à Rome sous le nom de Parcae (les Parques). Comme en Grèce, il y avait trois Parques, Nona (naissance à neuf mois), Decima (naissance à dix mois) et Morta (mort-né). La naissance à neuf mois était considérée comme prématurée et l'enfant pouvait mourir, tandis que la naissance à dix mois était considérée comme saine et normale. Les Parques évoluèrent à partir de déesses de la naissance qui décidaient du destin d'un individu à la naissance et il n'y avait rien que l'on puisse faire contre cela. Il existait cependant de nombreuses autres entités surnaturelles que l'on pouvait influencer directement et dont dépendait notre prospérité.

Les Esprits

Panes et Penates

Les panes et penates (ou Pénates) étaient les esprits du garde-manger et de la cuisine. Ce sont eux qui conservaient la nourriture dans la maison et assuraient une atmosphère agréable dans laquelle vivre. Ils protégeaient les aliments de la détérioration mais fournissaient également les moyens par lesquels une famille se procurait de la nourriture en premier lieu. Par conséquent, les statuettes des panes/penates étaient sorties de leur armoire, généralement située dans la cuisine, et posées sur la table pendant les repas. Les familles leur rendaient grâce avant de manger et une partie du repas était mise de côté en leur honneur, puis brûlée dans le feu de l'âtre en guise d'offrande rituelle. Les premiers fruits de la récolte leur étaient régulièrement offerts et ils étaient remerciés à chaque événement important de la vie d'une famille, comme une naissance, un anniversaire, une promotion ou le mariage de ses enfants. Il y avait une fête publique de remerciements et d'offrandes communautaires autour du 14 octobre de chaque année.

Penates
Pénates
The Trustees of the British Museum (CC BY-NC-SA)

Lares

Les lares ont pris différentes caractéristiques à différents moments de l'histoire de Rome et étaient considérés comme des esprits gardiens et des esprits des ancêtres morts à différentes époques. Il semble qu'à l'origine, ils aient été les enfants de la nymphe Lara (également connue sous le nom de Larunda), qui trahit la liaison de sa compagne, Juturna, avec Jupiter à sa femme Junon. Jupiter lui coupa alors la langue pour l'empêcher de raconter d'autres secrets et demanda à Mercure de l'escorter jusqu'aux enfers. En chemin, Mercure tomba amoureux d'elle et leur union donna naissance aux lares qui devinrent les esprits gardiens d'une famille et d'un foyer.

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LES LARES ÉTAIENT LES ESPRITS DES MORTS DE LA FAMILLE (ET NON DES MORTS EN GÉNÉRAL) QUI DEVAIENT ÊTRE RECONNUS ET HONORÉS QUOTIDIENNEMENT.

Selon une autre variante, les lares étaient les esprits des morts de la famille (et non des morts en général) qui devaient être reconnus et honorés quotidiennement. Il y avait une armoire-sanctuaire dans la maison (le lararium), généralement dans l'atrium, qui abritait leurs statuettes et d'où ils travaillaient pour assurer la prospérité de la famille. En cela, ils étaient étroitement associés aux panes/penates et les rituels destinés aux trois étaient souvent combinés. Ces esprits étaient connus sous le nom de Lares Familiares (esprits de la famille) ou Lares Domestici (esprits de la maison) mais les lares étaient également reconnus pour protéger la communauté (Lares Compitales) et étaient honorés lors du festival Compitalia le 22 décembre. Des prières et des offrandes quotidiennes étaient faites aux lares tout au long de l'année, mais des rituels élaborés étaient mis en place lors de journées spéciales telles que les anniversaires, les mariages, les départs et retours de voyage. Lorsqu'une famille déménageait définitivement d'une maison à une autre, les lares, panes et penates déménageaient avec elle.

Parentes

Les parentes étaient associées aux lares en tant qu'esprits des ancêtres, mais aussi des membres de la famille proche - une mère ou un père - qui étaient décédés, mais aussi des esprits de la famille vivante. Si un Romain se rendait à Athènes, par exemple, il emportait les statuettes de sa femme et de ses enfants, ainsi qu'un peu de feu provenant de son foyer, de sorte que partout où il allait, ils y allaient aussi. Dans le film populaire Gladiator (2000), les statuettes de sa femme et de son fils que Maximus prie seraient des parentes et le "père béni" qu'il invoque dans ses prières serait son propre père, la "mère bénite" sa propre mère, et non une divinité comme Jupiter ou Junon. Les parentes étaient honorés lors de la fête de Parentalia, une fête de neuf jours qui commençait le 13 février en l'honneur des lares et des penates et se terminait par la fête de Feralia, le 21 février, au cours de laquelle on se rendait sur les tombes des morts pour leur laisser des cadeaux. Le lendemain, le 22 février, c'était la fête personnelle et familiale de la Caristia, au cours de laquelle on honorait sa famille vivante et on faisait amende honorable auprès des membres de la famille avec lesquels on pouvait être en désaccord. Parentalia et Feralia rendaient hommage à ceux qui étaient décédés mais qui étaient toujours présents et influents dans la vie d'une personne, tandis que Caristia se concentrait sur l'appréciation des membres vivants de sa famille.

Atrium of Villa San Marco in Stabiae
Atrium de la Villa San Marco à Stabiae
Carole Raddato (CC BY-NC-SA)

Manes

Les manes (Mânes) étaient les morts collectifs (dii manes = les morts divins) qui habitaient l'au-delà. Toute personne qui mourait devenait un mane et était ensuite spécifiée comme un lare ou un parentes par sa famille. Le mane était l'étincelle de vie divine qui se trouvait dans chaque personne et qui était censée résider dans la tête. Les bustes du père, de la mère ou d'ancêtres plus lointains étaient réalisés non seulement pour les honorer et se souvenir d'eux à travers une œuvre d'art, mais aussi, et de manière tout aussi significative, pour permettre à leur mane d'habiter le buste quand il le souhaitait. Ces bustes étaient généralement placés dans l'atrium d'une maison, la pièce publique de la maison où l'on organisait des fêtes ou des discussions politiques ou civiques sérieuses. Les manes pouvaient donc participer à ces rassemblements par l'intermédiaire de leurs bustes. Les manes participaient à la fête de Parentalia ainsi qu'à celles de Feralia et de Lemuria, bien que cette dernière fête soit beaucoup plus axée sur les lemures.

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AUJOURD'HUI, UN LÉMURE SERAIT CONNU COMME UN POLTERGEIST, UN ESPRIT EN COLÈRE QUI PERTURBE LA MAISON JUSQU'À CE QUE SES BESOINS SOIENT SATISFAITS.

Lemures

Les lemures (lémures) étaient les morts inquiets, courroucés ou malicieux. Aujourd'hui, une lémure serait connu comme un poltergeist, un esprit en colère qui perturberait la maison jusqu'à ce que ses besoins soient satisfaits ou qu'il soit exorcisé par une autorité spirituelle. Ces esprits étaient collectivement des manes - esprits divins de ceux qui avaient vécu autrefois - mais étaient ceux qui, pour une raison ou une autre, étaient malheureux dans l'au-delà. La raison la plus courante pour qu'un esprit revienne sous la forme d'un lémure était la mauvaise observance des rites funéraires ou de l'enterrement, ou le non-respect des souhaits du défunt tels qu'ils étaient inscrits dans son testament. Cependant, un mane pouvait également revenir en tant que lemure s'il estimait que la famille ne l'honorait pas correctement et ne se souvenait pas de lui. Un lare, des parentes ou les manes pouvaient devenir des lemures si les offrandes et les prières appropriées n'étaient pas faites à leur satisfaction. Le poète romain Ovide (43 av. JC - 17 apr. JC), dans son œuvre Fasti, livre V (8 apr. JC), décrit comment les lemures semèrent le chaos à Rome lorsque le peuple oublia de les honorer correctement lors de la fête des Lémuries (Lemuria). Cette fête se tenait les 9, 11 et 13 mai et deviendrait plus tard la Toussaint dans l'Église, en l'honneur des saints morts, avant d'être déplacée au 1er novembre au 9e siècle de notre ère.

Genius

Le genius (génie) était l'esprit masculin de la maison et était symbolisé par le serpent. Le génie domestique était honoré le jour de l'anniversaire du chef de famille et était défini comme "un esprit viril" ayant une influence particulière sur le lit conjugal. On pensait également que le génie permettait au chef de famille de faire ce qui devait être fait. Le génie de la maison, qui se manifestait dans le paterfamilias - le père et le chef de famille - travaillait idéalement de concert avec le Genius Loci - l'esprit du sol sur lequel la maison était construite. Ces deux esprits étaient des entités complètement différentes mais si le genius loci était honoré et apaisé, alors le genius de la maison le serait aussi et la famille vivrait dans la paix et la prospérité.

Umbrae

Les umbrae (ombres) étaient des fantômes qui revenaient de l'au-delà et étaient également appelés imagines, species et immanes (sans forme). Les Umbrae n'étaient ni bonnes ni mauvaises, mais pouvaient être interprétées comme l'un ou l'autre selon la façon dont elles apparaissaient à une personne. Si un fantôme apparaissait à une personne dans un rêve, cela était généralement considéré comme une bonne chose, mais seulement s'il s'agissait de l'esprit d'un être cher et surtout si le fantôme transmettait des informations importantes, comme l'endroit où ils avaient mis leur testament ou un objet de valeur que la famille pensait perdu. À l'inverse, si l'esprit d'un étranger apparaissait dans un rêve, c'était un mauvais présage et, pire encore, si un fantôme apparaissait à une personne éveillée. Cela voulait dire que la personne en vie été hantée pour quelque méfait de sa part. Il fallait alors examiner ce que l'on avait pu faire (par exemple, lésiner sur le festin funéraire) et s'amender. Les umbrae étaient honorées avec les autres esprits lors des Feralia et Lemuria mais, par précaution, des amulettes et des charmes étaient portés ou placés sur les poteaux des portes ou dans les pièces et des rituels étaient observés pour les apaiser et les éloigner.

Mummy Portrait of a Girl
Portrait funéraire, une jeune fille
Carole Raddato (CC BY-SA)

Conclusion

Tout le monde, tout au long de sa vie, était surveillé ou influencé par une combinaison des esprits mentionnés ci-dessus. Cependant, aucun esprit n'est mentionné dans la littérature religieuse ou profane romaine comme assistant spécifiquement à la mort d'une personne. Antony Kamm note:

Si un esprit quelconque veillait sur une personne à la plupart des moments et dans la plupart des occasions, de la conception à la mort, il n'y en avait pas au moment de la mort proprement dite. L'élément religieux des rites funéraires était orienté vers une purification symbolique des survivants. (Nardo, 65)

Les funérailles étaient donc destinées aux vivants, et non à honorer spécifiquement les morts. La famille sacrifiait un cochon, procédait à une purification rituelle de la maison, puis organisait un festin avec des invités, symbole de la poursuite de la vie dans la maison. Une fois que les morts étaient passés à l'état d'esprits, c'était le moment de les vénérer et de prier pour honorer ce qu'ils avaient été dans la vie et ce qu'ils restaient dans l'au-delà. La croyance commune était que les morts continuaient à vivre et avaient simplement été transformés par la mort en un autre royaume. Il n'était pas nécessaire qu'un esprit veille sur eux ou les protège au moment de leur mort ou lors de leurs funérailles, car ils faisaient désormais partie des morts divins et pouvaient prendre soin d'eux-mêmes.

Seuls les vivants, qui vivaient quotidiennement dans l'incertitude de leur avenir, avaient besoin d'une protection et d'une assurance spirituelles. Les esprits des morts, ainsi que les esprits éternels de la terre, guidaient et protégeaient les Romains dans leurs efforts quotidiens mais, lorsqu'ils étaient oubliés, ou lorsqu'un sacrifice ou une prière semblait être plus un acte de coutume qu'une attention réelle, les esprits retiraient leur faveur et l'on souffrait de malheurs petits ou grands. C'est pour cette raison, comme nous l'avons déjà dit, qu'une famille romaine typique, même si elle assistait avec dévotion aux rituels et aux fêtes d'État en l'honneur des dieux, veillait toujours à honorer les esprits de son foyer, de sa maison et de ceux qui l'avaient précédée.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2019, octobre 28). Esprits de la maison: Mânes, Panes et Lares [Roman Household Spirits: Manes, Panes and Lares]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-34/esprits-de-la-maison-manes-panes-et-lares/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Esprits de la maison: Mânes, Panes et Lares." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le octobre 28, 2019. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-34/esprits-de-la-maison-manes-panes-et-lares/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Esprits de la maison: Mânes, Panes et Lares." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 28 oct. 2019. Web. 24 avril 2024.

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