Objets Funéraires dans l'Égypte Ancienne

Article

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 21 avril 2017
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Disponible dans ces autres langues: anglais

Le concept de l'au-delà changea à différentes époques de la très longue histoire de l'Égypte, mais la plupart du temps, il était imaginé comme un paradis où l'on vivait éternellement. Pour les Égyptiens, leur pays était l'endroit le plus parfait qui avait été créé par les dieux pour le bonheur des hommes.

La vie après la mort était donc le reflet de la vie que l'on avait vécue sur terre, jusque dans les moindres détails, la seule différence étant l'absence de tous les aspects de l'existence que l'on trouvait désagréables ou douloureux. Une inscription sur la vie après la mort dit que l'âme peut éternellement se promener le long de son ruisseau préféré et s'asseoir sous son sycomore préféré, d'autres montrent des maris et des femmes se retrouvant au paradis et faisant toutes les choses qu'ils faisaient sur terre, comme labourer les champs, récolter le grain, manger et boire.

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Antechamber of Tutankhamun's Tomb
Antichambre de la tombe de Toutânkhamon
Patty (CC BY-NC-ND)

Pour profiter de ce paradis, cependant, il faut disposer des mêmes objets que ceux dont on disposait de son vivant. Les tombes et même les plus simples tombes contenaient des objets personnels ainsi que de la nourriture et des boissons pour l'âme dans l'au-delà. Ces objets sont connus sous le nom d'"offrandes funéraires" et sont devenus une ressource importante pour les archéologues modernes qui peuvent ainsi identifier les propriétaires des tombes, les dater et comprendre l'histoire égyptienne. Bien que certaines personnes considèrent cette pratique comme un "pillage de tombe", les archéologues qui fouillent les tombes de manière professionnelle assurent aux défunts leur objectif premier : vivre pour toujours et voir leur nom commémoré éternellement. Selon les croyances des anciens Égyptiens, les objets funéraires placés dans la tombe auraient rempli leur fonction il y a plusieurs siècles.

Nourriture, boisson et chaouabtis

Des objets funéraires, en plus ou moins grand nombre et de valeur variable, ont été trouvés dans presque toutes les tombes égyptiennes qui ne furent pas pillées dans l'Antiquité. Les articles que l'on pouvait trouver dans la tombe d'une personne riche étaient similaires à ceux que l'on considère comme précieux aujourd'hui : des objets d'or et d'argent finement ouvragés, des jeux de société en bois fin et en pierre précieuse, des lits, des coffres, des chaises, des statues et des vêtements soigneusement ouvragés. Le plus bel exemple de tombe de pharaon est bien sûr celle du roi Toutankhamon, datant du 14e siècle av. J.-C., découverte par Howard Carter en 1922, mais de nombreuses tombes fouillées dans toute l'Égypte ancienne témoignent du statut social de la personne qui y est enterrée. Même les plus modeste incluaient des objets funéraires avec le défunt.

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Le but premier des objets funéraires n'était pas d'afficher le statut de la personne décédée, mais de fournir aux morts ce dont ils auraient besoin dans l'au-delà.

Le but premier des objets funéraires n'était pas d'afficher le statut du défunt, mais de fournir aux morts ce dont ils auraient besoin dans l'au-delà. Par conséquent, la tombe d'une personne riche contenait plus de biens funéraires - ou quoi que ce soite que cette personne ait apprécié dans sa vie - que celle d'une personne plus pauvre. Les aliments préférés étaient laissés dans la tombe, comme le pain et les gâteaux, mais les survivants étaient censés faire des offrandes quotidiennes de nourriture et de boisson.

Dans les tombes des nobles et des membres de la famille royale, une chapelle d'offrandes était incluse où se trouvait la table des offrandes. La famille du défunt apportait de la nourriture et des boissons dans la chapelle et les déposait sur la table. L'âme du défunt absorbait surnaturellement les nutriments des offrandes et retournait ensuite dans l'au-delà. Cela permettait aux vivants de se souvenir continuellement du défunt et de le rendre immortel dans sa prochaine vie.

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Si une famille était trop occupée pour se charger des offrandes quotidiennes et qu'elle en avait les moyens, un prêtre (connu sous le nom de Hem- ka ou porteur d'eau) était engagé pour accomplir les rituels. Mais quelle que soit la manière dont les offrandes étaient faites, il fallait s'en occuper quotidiennement. La célèbre histoire de Khonsemhab et du fantôme (datée du Nouvel Empire d'Égypte, vers 1570-1069 avant notre ère) traite de cette situation précise.

Dans cette histoire, le fantôme de Nebusemekh revient se plaindre à Khonsemhab, grand prêtre d'Amon, que sa tombe est tombée en ruine et qu'il a été oublié, de sorte que les offrandes ne sont plus apportées. Khonsemhab trouve et répare la tombe et promet également qu'il veillera à ce que des offrandes soient apportées à partir de maintenant. La fin du manuscrit est perdue, mais on suppose que l'histoire se termine bien pour le fantôme de Nebusemekh. Si une famille oubliait ses devoirs envers l'âme du défunt, elle pouvait s'attendre, comme Khonsemhab, à être hantée jusqu'à ce que ce tort soit réparé et que les offrandes régulières de nourriture et de boisson soient rétablies.

La bière était la boisson communément fournie avec les objets funéraires. En Égypte, la bière était la boisson la plus populaire - considérée comme la boisson des dieux et l'un de leurs plus grands dons - et constituait un élément de base du régime alimentaire égyptien. Une personne riche (comme Toutankhamon) était enterrée avec des cruches de bière fraîchement brassée, alors qu'une personne plus pauvre n'aurait pas pu se permettre ce genre de luxe. Les gens étaient souvent payés en bière, de sorte qu'enterrer une cruche de bière avec un être cher était comparable à l'enterrement d'un chèque de salaire aujourd'hui.

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La bière était parfois brassée spécialement pour les funérailles, car son processus complet de préparation serait terminé au moment où le cadavre avait subi le processus de momification. Après les funérailles, une fois la tombe fermée, les personnes en deuil organisaient un banquet en l'honneur du passage du défunt du temps à l'éternité, et la même bière qui avait été fabriquée pour le défunt était dégustée par les invités, assurant ainsi la communion entre les vivants et les morts.

Shabti Box
Coffret de chaouabtis
Osama Shukir Muhammed Amin (Copyright)

Parmi les objets funéraires les plus importants figurait les chaouabtis: la main d'œuvre de l'au-delà. Les chaouabtis étaient faites de bois, de pierre ou de faïence et étaient souvent sculptées à l'effigie du défunt. Dans la vie, les gens étaient souvent appelés à accomplir des tâches pour le roi, telles que la surveillance ou le travail sur les grands monuments, et ne pouvaient se soustraire à ce devoir que s'ils trouvaient quelqu'un prêt à prendre leur place. Même ainsi, on ne pouvait pas s'attendre à se soustraire à ses obligations année après année, et il fallait donc une bonne excuse ainsi qu'un travailleur de remplacement.

Puisque la vie après la mort n'était qu'une continuation de la vie présente, les gens s'attendaient à être appelés à travailler pour Osiris dans l'au-delà, tout comme ils avaient travaillé pour le roi. Les chaouabtis pouvaient être animées pour assumer les responsabilités de la personne passée dans le Champ des roseaux. L'âme du défunt pouvait continuer à lire un bon livre ou à aller à la pêche pendant que les chaouabtis s'occupaient de tout ce qui devait être fait. Cependant, de même que l'on ne pouvait pas se soustraire à ses obligations sur terre, les chaouabtis ne pouvaient pas être utilisées à perpétuité. Une chaouabti ne pouvait être utilisée qu'une fois par an. Les gens commandaient autant de chaouabtis qu'ils pouvaient se le permettre afin d'avoir plus de loisirs dans l'au-delà.

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Des poupées chaouabtis figurent dans des tombes tout au long de l'histoire de l'Égypte. À la première période intermédiaire (2181-2040 av. J.-C.), elles furent produites en masse, comme beaucoup d'autres objets, et on en trouve désormais dans les tombes de toutes les classes sociales. Les plus pauvres, bien sûr, ne pouvaient même pas s'offrir une poupée chaouabti générique, mais ceux qui le pouvaient payaient pour en avoir autant que possible. Une collection de chaouabtis, une pour chaque jour de l'année, était placée dans la tombe dans une boîte à chaouabtis spéciale, généralement peinte et parfois ornée.

Textes religieux et jugement d'Osiris

Les textes inscrits sur les murs des tombes et, plus tard, sur des rouleaux de papyrus, fournissaient des instructions sur la manière d'animer une poupée chaouabti dans l'au-delà et de naviguer dans le royaume qui attendait après la mort. Il s'agit des ouvrages connus aujourd'hui sous le nom de " Textes des pyramides " (c. 2400-2300 av. J.-C.), " Textes des sarcophages " (c. 2134-2040 av. J.-C.) et "Livre des morts " (c. 1550-1070 av. J.-C.). Les textes des pyramides sont les plus anciens textes religieux et étaient écrits sur les murs de la tombe pour rassurer et guider le défunt.

Lorsque le corps d'une personne s'éteignait, l'âme se sentait d'abord piégée et désorientée. Les rituels de momification préparaient l'âme au passage de la vie à la mort, mais elle ne pouvait pas partir tant qu'une cérémonie funéraire appropriée n'était pas observée. Lorsque l'âme se réveillait dans la tombe et se levait de son corps, elle n'avait aucune idée de l'endroit où elle se trouvait ni de ce qui s'était passé. Afin de rassurer et de guider le défunt, les textes des pyramides et, plus tard, les textes des sarcophages étaient inscrits et peints à l'intérieur des tombes afin que l'âme se réveille dans le corps du défunt et sache où elle se trouvait et où elle devait aller.

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Ces textes finirent par donner naissance au Livre des morts égyptien (dont le titre actuel est Le Livre pour Sortir au Jour), qui est une série de sorts dont la personne décédée avait besoin pour naviguer dans l'au-delà. Le sort 6 du Livre des morts est une reformulation du sort 472 des Textes des sarcophages qui explique à l'âme comment animer les chaouabtis. Une fois la personne décédée et l'âme réveillée dans la tombe, cette dernière était conduite - généralement par le dieu Anubis mais parfois par d'autres - dans la Salle de la Vérité (également connue sous le nom de Salle des Deux Vérités) où elle était jugée par le grand dieu Osiris.

L'âme prononçait alors la Confession négative (une liste de "péchés" dont elle pouvait honnêtement dire qu'ils n'avaient pas été commis, comme "je n'ai pas menti, je n'ai pas volé, je n'ai pas fait pleurer quelqu'un à dessein"), puis le cœur de l'âme était pesé sur une balance par rapport à la plume blanche de ma'at, le principe d'harmonie et d'équilibre.

Weighing the Heart, Book of the Dead
Pesée du cœur, Livre des morts
Jon Bodsworth (Public Domain)

Si le cœur était plus léger que la plume, l'âme était considérée comme justifiée ; si le cœur était plus lourd que la plume, il était jeté sur le sol où il était dévoré par le monstre Âmmout, et l'âme cessait alors d'exister. Dans l'Égypte ancienne, il n'y avait pas d'"enfer" pour la punition éternelle de l'âme ; leur plus grande crainte était la non-existence, et c'était le sort de quelqu'un qui avait fait le mal ou qui avait délibérément omis de faire le bien.

Si l'âme était justifiée par Osiris, elle poursuivait son chemin. À certaines époques de l'Égypte, on pensait que l'âme rencontrait alors divers pièges et difficultés qu'elle devait surmonter grâce aux sorts du Livre des Morts. À la plupart des époques, cependant, l'âme quittait le Temple de la Vérité et se rendait sur les rives du Lac des Lys (également connu sous le nom de Lac des Fleurs) où elle rencontrait le passeur perpétuellement désagréable connu sous le nom de Hraf-hef ("Celui qui regarde derrière lui") qui lui faisait traverser le lac à la rame jusqu'au paradis du Champ des Roseaux. Hraf-hef était le "test final" car l'âme devait trouver le moyen d'être polie, indulgente et agréable envers cette personne très désagréable afin de pouvoir traverser.

Une fois le lac traversé, l'âme se retrouvait dans un paradis qui était le reflet de la vie sur terre, à l'exception des déceptions, des maladies, des pertes et, bien sûr, de la mort. Dans le champ de roseaux, l'âme retrouvait les esprits de ceux qu'elle avait aimés et qui étaient morts avant elle, son animal de compagnie préféré, sa maison préférée, son arbre préféré, le ruisseau qu'elle avait l'habitude de longer - tout ce que l'on pensait avoir perdu était rendu et, de plus, on vivait éternellement en présence directe des dieux.

Les animaux domestiques et la vie après la mort

Retrouver les êtres chers et vivre éternellement avec les dieux était l'espoir de l'au-delà, mais il en était de même pour la rencontre avec les animaux domestiques préférés au paradis. Les animaux domestiques étaient parfois enterrés dans leurs propres tombes mais, généralement, avec leur maître ou leur maîtresse. Si l'on avait assez d'argent, on pouvait faire momifier son chat, son chien, sa gazelle, son oiseau, son poisson ou son babouin et l'enterrer à côté de son cadavre. Les deux meilleurs exemples sont la grande prêtresse Maatkare Mutemhat (C. 1077-943 av.J.-C.) qui fut enterrée avec son singe domestique momifié et la reine Isiemkheb (c. 1069-943 av. J.-C.) qui fut enterrée avec sa gazelle domestique.

La momification était cependant coûteuse, surtout celle pratiquée sur ces deux animaux. Ils recevaient un traitement de premier ordre lors de leur momification, ce qui, bien sûr, représentait la richesse de leurs propriétaires. Il existait trois niveaux de momification : le haut de gamme, où l'on était traité comme un roi (et où l'on recevait une sépulture à la gloire du dieu Osiris) ; le moyen de gamme, où l'on était bien traité mais pas tant que ça ; et le moins cher, où l'on recevait un service minimal en matière de momification et de sépulture. Cependant, tous, riches ou pauvres, préparaient d'une manière ou d'une autre le cadavre et les objets funéraires pour l'au-delà.

Cat Mummy
Momie de chat
Mary Harrsch (Photographed at the Rosicrucian Egyptian Museum, Calif.) (CC BY-NC-SA)

Les animaux domestiques étaient très bien traités dans l'Égypte ancienne et étaient représentés dans les peintures des tombes et les objets funéraires tels que les colliers de chiens. La tombe de Toutankhamon contenait des colliers de chiens en or et des peintures de ses chiens de chasse. Bien que les auteurs modernes affirment souvent que le chien préféré de Toutânkhamon s'appelait Abuwtiyuw et qu'il fut enterré avec lui, ce n'est pas exact. Abuwtiyuw est le nom d'un chien de l'Ancien Empire d'Égypte qui plaisait tellement au roi qu'il bénéficia d'une sépulture privée et de tous les rites dus à une personne de noble naissance. L'identité du roi qui aimait ce chien est inconnue, mais le chien du roi Khoufou (ou Khéops 2589-2566 av. J.-C.), Akbaru, était très admiré par son maître et enterré avec lui.

Les colliers des chiens, qui indiquaient souvent leur nom, étaient souvent inclus dans les biens funéraires. La tombe du noble Maiherpri, un guerrier qui vécut sous le règne de Thoutmôsis III (1458-1425 av. J.-C.), contenait deux colliers de chien en cuir ornés. Ils étaient teints en rose et décorés d'images. L'un d'eux comporte des chevaux et des fleurs de lotus ponctués de clous en laiton, tandis que l'autre représente des scènes de chasse et porte le nom du chien, Tantanuit, gravé dessus. Il s'agit de deux des meilleurs exemples du type d'ornementation des colliers de chiens dans l'Égypte ancienne. À l'époque du Nouvel Empire, en fait, le collier de chien était un objet d'art à part entière, digne d'être porté dans l'au-delà en présence des dieux.

La vie et l'au-delà en Égypte

Au cours de la période du Moyen Empire d'Égypte (2040-1782 av. J.-C.), un changement philosophique important se produisit: les gens remirent en question la réalité de ce paradis et mirent l'accent sur la nécessité de profiter au maximum de la vie, car rien n'existait après la mort. Certains chercheurs ont émis l'hypothèse que cette croyance apparut à cause de l'agitation de la première période intermédiaire qui précéda le Moyen Empire, mais il n'existe aucune preuve convaincante de cette hypothèse.

Ces théories reposent toujours sur l'affirmation que la première période intermédiaire en Égypte était une période sombre de chaos et de confusion, ce qui n'était certainement pas le cas. Les Égyptiens ont toujours mis l'accent sur le fait de vivre pleinement leur vie - leur culture entière était basée sur la gratitude envers la vie, le fait de profiter de la vie, d'aimer chaque moment de la vie - l'accent mis sur ce point n'était donc pas nouveau. Ce qui rend la croyance du Moyen Empire si intéressante, cependant, c'est son refus de l'immortalité dans le but de rendre la vie présente encore plus précieuse.

La littérature du Moyen Empire exprime un manque de croyance dans la vision traditionnelle du paradis, car les personnes du Moyen Empire étaient plus "cosmopolites" qu'à l'époque précédente et tentaient très probablement de se distancer de ce qu'ils considéraient comme une "superstition". La première période intermédiaire avait élevé les différents districts d'Égypte et rendu leurs expressions artistiques individuelles aussi précieuses que l'art et la littérature imposés par l'État dans l'Ancien Empire d'Égypte, et les gens se sentaient plus libres d'exprimer leurs opinions personnelles plutôt que de répéter ce qu'on leur avait dit. Ce scepticisme disparut à l'époque du Nouvel Empire, et - pour l'essentiel - la croyance au paradis du Champ des roseaux resta constante tout au long de l'histoire de l'Égypte. L'une des composantes de cette croyance était l'importance des objets funéraires qui devaient servir le défunt dans l'au-delà aussi bien qu'ils l'avaient fait sur le plan terrestre.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2017, avril 21). Objets Funéraires dans l'Égypte Ancienne [Grave Goods in Ancient Egypt]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1049/objets-funeraires-dans-legypte-ancienne/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Objets Funéraires dans l'Égypte Ancienne." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le avril 21, 2017. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1049/objets-funeraires-dans-legypte-ancienne/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Objets Funéraires dans l'Égypte Ancienne." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 21 avril 2017. Web. 24 avril 2024.

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