Contes de Coyote des Comanches

Article

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 24 février 2025
Disponible dans ces autres langues: anglais
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Les contes de Coyote des Comanches mettent en scène la même figure de filou que les contes de Coyote de la nation Shasta, les contes de Coyote des Apaches et ceux de nombreux autres peuples autochtones d'Amérique du Nord. Coyote, le personnage le plus célèbre de la tradition amérindienne, apparaît dans les contes de nombreuses nations, généralement en tant que personnage principal, encourageant la transformation.

A North American Coyote Howling
Un coyote d'Amérique du Nord en train de hurler
USFWS (CC BY)

Parfois, il joue un rôle secondaire dans les histoires, mais même dans ce cas, Coyote sert d'agent de changement. Ce changement peut être aussi simple que d'apprendre à l'homme blanc à quel point il est facile d'être trompé (comme dans A Trickster Tale ou Conte du filou, ci-dessous) ou aussi dramatique que d'essayer de diviser le soleil entre les animaux diurnes et les animaux nocturnes (Why the Bear Waddles When He Walks ou Pourquoi l'ours se dandine lorsqu'il marche) ou, parfois, c'est le filou qui est trompé, comme dans The Eye-Juggler (Le jongleur d'yeux). Même dans les histoires où Coyote perd - ou meurt - le récit met l'accent sur le concept de la vie en tant que changement. Comme pour les contes de Coyote d'autres nations, les contes de Coyote des Comanches sont parmi les plus populaires.

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Histoire et culture comanche

Les Comanches sont considérés comme les premiers Amérindiens à avoir maîtrisé et utilisé le cheval.

Comanche est la version espagnole d'un mot Ute signifiant "ennemi"(kimantsi ou kohmahts); les Comanches se désignent eux-mêmes sous le nom de Numunuh ("le peuple"). Ils étaient à l'origine associés à la nation des Shoshones de l'Est (Shoshoni) du Grand Bassin et formaient une société de chasseurs-cueilleurs, mais se distinguaient de beaucoup d'autres par le fait que les femmes, tout comme les hommes, chassaient. Les Comanches croient en un seul Être suprême, Pahah (Paha), créateur et soutien de la vie, qui est aidé par divers esprits, chacun ayant sa propre sphère de responsabilité. Comme d'autres nations amérindiennes, les Comanches pensent également que l'univers est habité par de nombreuses entités invisibles qui se manifestent parfois et se promènent parmi les gens, y compris Coyote.

Les Comanches ont fini par se séparer des Shoshones et ont migré vers le sud, dans les régions du Colorado, du Kansas, du Nouveau-Mexique, de l'Oklahoma et du Texas actuels, qui ont pris le nom de Comancheria ("Terre des Comanches") vers 1770. Les Comanches sont considérés comme les premiers Amérindiens à avoir maîtrisé et utilisé le cheval. Dès 1795, ils élevaient et vendaient des chevaux. Ils sont devenus aussi célèbres pour leurs chevaux que pour leurs guerriers et leur habileté à la guerre.

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Comanche Warrior Lancing an Osage
Guerrier Comanche attaquant un guerrier Osage
George Catlin (Public Domain)

Pendant les guerres comanches (1706-1875), les Comanches luttèrent contre les incursions des forces espagnoles, mexicaines et euro-américaines tout en menant des raids contre leurs colonies. Les Comanches gagnèrent en richesse et en puissance grâce à la guerre et au commerce d'esclaves et de chevaux. Ils auraient probablement continué à résister à l'expansion euro-américaine du XIXe siècle sans les épidémies de variole, de rougeole et de choléra de 1817 et 1848 qui tuèrent plus de la moitié de la population.

Leur résistance, déjà affaiblie par ces pertes, fut brisée en 1874 après leur défaite (avec leurs alliés Arapaho, Cheyenne et Kiowa) à la bataille de Palo Duro Canyon et la destruction d'au moins 1 500 chevaux comanches sur ordre du colonel Ranald Mackenzie de l'armée américaine. Les Comanches se rendirent en 1875 et furent transférés en Territoire indien (l'actuel Oklahoma).

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Leur chef le plus connu, Quanah Parker (c. 1845-1911), fils de Cynthia Ann Parker, une Euro-Américaine capturée par les Comanches alors qu'elle n'était qu'une jeune fille, s'efforça de maintenir la culture traditionnelle tout en tenant compte des exigences du gouvernement américain. Il défendit la liberté de religion de son peuple en maintenant l'Église amérindienne et son utilisation du peyotl dans les rituels, ainsi que le maintien de la langue et de la culture comanche. Ses efforts ont été poursuivis par d'autres et, aujourd'hui, la culture, la langue et la religion comanche restent intactes, y compris leurs histoires comme les trois ci-dessous.

Quanah Parker, Comanche Chief
Quanah Parker, chef comanche
National Archives and Records Administration (Public Domain)

Les contes de coyotes des Comanches sont similaires aux contes de coyotes d'autres nations, et les emprunts entre leurs contes et ceux des Apaches en particulier sont considérables. Il en va de même pour de nombreux personnages de trompeurs amérindiens, et un lecteur connaissant les contes Manabozho des Ojibwés, les contes Glouscap de la Confédération Abénaki, les contes Iktomi des Sioux ou les contes Wihio des Cheyennes reconnaîtra les mêmes thèmes de transformation, d'illusion par rapport à la réalité, et les rôles changeants du personnage central dans les contes Coyote des Comanches.

Texte

Clair, édité par R. H. Lowie (A Trickster Tale et The Eye-Juggler) et réédité en 2025, et de American Indian Mythology (1970) par Alice Marriott et Carol K. Rachlin (Why the Bear Waddles When He Walks).

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Un conte de Filou

Un homme blanc avait beaucoup entendu parler des ruses de Coyote. Il dit: "Oh, je veux le voir! As-tu déjà entendu parler d'une personne qui s'est fait tromper sous ses yeux? Allez, amenez-le ici. Je vais voir s'il peut me battre de cette façon."

Coyote se promenait un peu plus loin. L'un d'eux l'aperçut. "Voilà Coyote, qui trompe toujours tout le monde."

L'homme blanc sortit de sa voiture pour le regarder. Il mit de beaux vêtements, monta un bon cheval et se lança à la poursuite de Coyote jusqu'à ce qu'il ne le rattrape.

"Attends, mon ami. J'ai entendu dire que tu trompais toujours les gens."

Coyote répondit: "Oh, tu me prends pour quelqu'un d'autre."

"Oh, non. Vas-y. Trompe-moi sur quelque chose".

Coyote dit : "Mon matériel pour la manigance n'est pas ici."

"Où est-il alors, celui avec lequel tu trompes les gens?"

"Je l'ai chez moi."

"Alors, va le chercher et trompe-moi!"

Coyote dit: "Prête-moi ton cheval."

"Où est ta maison?"

"Juste après la colline."

L'homme blanc descendit de cheval et lui en prêta un. Le cheval avait peur de Coyote. Coyote dit: "Donne-moi tous tes vêtements ou il aura peur de moi."

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L'homme blanc donna donc tous ses vêtements à Coyote. Coyote les mit, monta sur son cheval et partit en disant: "Je t'ai déjà trompé, tu es vraiment facile à tromper.."

L'homme blanc resta là, lui faisant signe de revenir, mais Coyote n'y prêta pas attention et partit au galop.

Pourquoi l'ours se dandine quand il marche

Dans les premiers temps, personne ne savait que faire du soleil. Il se levait et brillait pendant longtemps. Puis il disparaissait pendant un long moment et tout était sombre.

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Les animaux diurnes voulaient naturellement que le soleil brille tout le temps, afin de pouvoir vivre leur vie sans être interrompus par l'obscurité. Les animaux nocturnes voulaient que le soleil disparaisse pour toujours, afin de pouvoir vivre comme ils l'entendaient.

Enfin, ils se réunirent tous pour discuter.

Le vieux Coyote dit: "Voyons ce que nous pouvons faire à propos de ce soleil. L'un de nous doit l'avoir ou l'autre doit s'en débarrasser."

"Comment allons-nous faire?" demanda le tyran à longue queue. "Personne ne peut dire au soleil ce qu'il doit faire. Il est plus puissant que n'importe qui d'autre dans le monde."

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"Pourquoi ne pas jouer au jeu de main?" demanda l'ours. "Le gagnant peut garder le soleil ou le jeter, selon le gagnant et ce qu'il veut en faire.

Ils sortirent donc les os devinettes qu'ils cachèrent dans leurs mains, les baguettes à plumes de corbeau avec lesquelles les devineurs pointaient et les vingt bâtons de cornouiller peints avec lesquels les arbitres comptaient les points. Le coyote était l'arbitre de jour et la chouette l'arbitre de nuit.

Les arbitres ont pris un rocher plat, comme table, et y ont posé leurs bâtons de comptage. Ensuite, les deux équipes apportèrent des rondins et les alignèrent face à face, avec les arbitres et leur pierre plate à une extrémité, entre les deux équipes.

Ce fut un long jeu de main. Le camp du jour tenait les os en premier, et ils étaient si rapides et habiles à les faire passer d'une main à l'autre dans leur dos et à les agiter au visage des devineurs qu'il semblait qu'ils devaient certainement gagner. C'est alors que Taupe, qui devinait pour le camp de la nuit, attrapa en même temps Tyran à longue queue et Faucon, et les os allèrent au camp de la nuit, tandis que les gens du jour commençaient à deviner.

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A plusieurs reprises, la chance tourna, chaque équipe semblant sur le point de battre l'autre. A chaque fois, la chance tournait et l'équipe gagnante devenait l'équipe perdante.

Le jeu se poursuivit encore et encore. Finalement, le soleil, qui attendait de l'autre côté du monde de savoir ce qui allait lui arriver, en eut assez.

Le jeu dura si longtemps que l'ours se fatigua lui aussi. Il jouait du côté de la nuit. Assis sur le tronc, il avait des crampes et ses jambes commençaient à lui faire mal. Ours enleva ses mocassins pour reposer ses pieds, et le jeu continua encore et encore.

Finalement, le soleil s'ennuya tellement qu'il décida d'aller voir par lui-même ce qui se passait. Il bâilla, s'étira et sortit de son lit du côté inférieur du monde. Il commença à grimper sur son échelle crantée jusqu'à la partie supérieure, pour découvrir ce qui se passait.

Au fur et à mesure que le soleil montait, la lumière devenait plus forte et les gens de la nuit commençaient à avoir peur. La partie était toujours égale; personne n'avait gagné. Mais le soleil s'approchait de plus en plus, et les animaux de la nuit durent s'enfuir. Ours se leva si vite qu'il mit son pied droit dans son mocassin gauche et son pied gauche dans son mocassin droit.

Le soleil était à son zénith et tous les autres animaux nocturnes étaient partis. L'ours les poursuivit aussi vite qu'il le put dans ses mauvais mocassins, se balançant et se dandinant d'un côté à l'autre, et criant: "Attendez-moi! Attendez-moi!"

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Mais personne ne s'arrêta ni n'attendit, et Ours dut continuer à se dandiner, comme il le fait depuis.

Et comme personne ne gagna la partie, le jour et la nuit se relayèrent à partir de ce moment-là. Tout le monde a eu le même temps pour sortir et vivre sa vie comme il l'entendait, comme tout le monde.

Le jongleur d'yeux

Le coyote se promenait à la recherche de quelque chose. Il arriva à un ruisseau où il n'y avait que des saules verts. Deux petits oiseaux jaunes y jouaient. Il s'approcha d'eux. En riant, ils s'arrachèrent les yeux et les jetèrent sur les arbres qui se trouvaient en contrebas.

"Les yeux, tombez!" disaient-ils. Puis leurs yeux retombèrent dans leurs orbites.

Coyote alla vers eux. Il admirait beaucoup leur tour.

"O, mes frères! J'aimerais aussi jouer de cette façon."

"Oh, nous ne vous montrerons pas. Tu es trop méchant. Tu jetterais tes yeux dans n'importe quel arbre et tu les perdrais."

"Oh, non! Je ferais tout comme vous."

Finalement, les oiseaux acceptèrent de lui montrer. Ils lui arrachèrent les yeux, les jetèrent en l'air et dirent: "Les yeux, tombez!". Puis ses yeux retombèrent. Coyote était bien content. Il s'arracha les yeux, les jeta en l'air et dit: "Les yeux, tombez !" Ils retournèrent à leur place.

"Les oiseaux dirent: "Allons tous le long de ce ruisseau. "D'autres personnes nous verront et se prendront d'affection pour nous.

Ils s'en allèrent en jouant. Coyote dit: "Je vais là-bas. Je connais bien le truc maintenant."

Il les quitta. Il arriva à un autre ruisseau. Un saule commun s'y trouvait.

"Il ne faut pas avoir peur de cet arbre. Je vais d'abord l'essayer." Il sortit ses yeux et les lança sur l'arbre. "Les yeux, tombez!" cria-t-il. Ses yeux ne tombèrent pas. Il devint donc aveugle. Il s'attacha quelque chose autour des yeux et partit.

En marchant le long du ruisseau, il rencontra deux jeunes filles.

"Quel genre de filles êtes-vous?"

"Nous sommes des filles Ya'yaru."

"Nous appartenons tous au même peuple, alors; je suis un jeune homme Ya`yaru."

Les deux filles ne savaient pas qu'il était aveugle.

Il leur demanda: "Où allez-vous?"

"Nous allons là-bas."

"Eh bien, nous irons tous ensemble."

Ils en discutèrent, puis partirent tous ensemble.

Une fille dit: "Regardez les bisons là-bas!"

Coyote rit et dit: "Je me demandais quand vous alliez les voir, c'est pourquoi je ne vous en ai pas parlé."

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Quand ils furent partis, l'une des filles demanda à l'autre: "Pourquoi ne tue-t-il pas un de ces bisons pour nous?"

Coyote rit: "Je me demandais combien de temps il te faudrait pour y penser. C'est pour cela que je ne vous l'ai pas dit avant. Passe par là, de l'autre côté des bisons, et ils ne te verront pas. Ils courront alors jusqu'ici et j'en tuerai un pour nous."

Ils suivirent ses instructions. Les bisons, en les voyant, coururent vers Coyote. Quand ils s'approchèrent, il tira sur eux et en tua un par hasard.

Quand les filles accoururent, elles dirent: "Il en a vraiment tué un!" Ils étaient en train de découper le bison. L'une des filles s'exclama: "Oh, qu'il est gros!". Et Coyote répondit: "Bien sûr. Je cherchais un gros bison. Mes yeux se sont fortement écarquillés à la recherche d'un gros."

Les deux filles dirent: "Comme il sait bien trouver les plus gros!"

Coyote dit: "Vous deux, coupez-le. Je vais nous construire une maison près du ruisseau."

Il s'en alla leur faire une hutte. Il y avait de gros trous partout parce qu'il était aveugle. Il la fit avec des broussailles. Les deux filles arrivèrent avec la viande. Elles dirent: "Ce doit être une maison construite par un aveugle. Il y a des trous partout."

Coyote rit. "Oh, vous ne comprenez pas. Je l'ai construite de cette façon pour que, si beaucoup d'ennemis nous attaquent, nous puissions sortir dans n'importe quelle direction. Nous ne risquons pas d'être enfermés ici."

Les filles répondirent : "Nous n'y avons pas pensé."

Elles s'y installèrent et devinrent toutes deux les épouses de Coyote.

Un jour, Coyote leur dit: "Épouillez-moi" [parce qu'il voulait qu'elles lui enlèvent ses poux].

Les filles s'assirent, et Coyote plaça sa tête sur l'une et ses pieds sur l'autre. Elles l'épouillèrent pendant un moment, puis il s'endormit.

L'une des filles dit : "Enlevons ce chiffon de sa tête. Il n'en saura rien, il est endormi. Regardons ses yeux."

Elle souleva la couverture. "Mais il est aveugle! Il y a plein de vers dans ses yeux."

Celle qui avait sa tête sur les genoux demanda à sa compagne d'apporter une souche sur laquelle il y avait beaucoup de fourmis.

Elle lui dit: "Mets-la sous sa tête et va en chercher une autre sans fourmis pour ses pieds."

Après avoir arrangé les souches, l'une d'elles dit: "Allons-y maintenant."

La soeur aînée dit: "Tiens ces cloches !"

Elles s'éloignèrent un peu de Coyote. Peu après leur départ, les fourmis commencèrent à le mordre. Il se mit à donner des coups de tête.

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"Oh, du calme, vous deux, épouillez-moi c'est tout!" Il essaya de les frapper mais ne fit que heurter le sol. Il se réveilla et chercha leur trace.

En se retournant, les filles le virent arriver. Elles se mirent à courir.

"C'est sûrement Coyote. Allons le battre près de cette grande falaise rouge."

La soeur aînée dit: "Enlève tes clochettes." Elle les enleva. "Il ne peut pas nous voir, il suit les cloches. Quand nous arriverons à la falaise rouge, laissez tomber tes cloches et il tombera dessus."

Le coyote les poursuivait. Les clochettes des filles tintaient pendant qu'elles couraient. Quand elles arrivèrent à la falaise, elles les laissèrent tomber. Coyote, entendant les clochettes, les suivit et tomba dans le précipice, où il fut réduit en miettes. Les filles rentrèrent alors chez elles.

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Questions & Réponses

Que sont les contes de Coyote des Comanches?

Les contes de Coyote des Comanches sont des histoires mettant en scène le personnage de Coyote. Ils sont similaires aux histoires de Coyote d'autres nations amérindiennes, encourageant le concept de transformation et de changement personnel.

Que signifie "Comanche"?

Le mot Comanche est une version espagnole du mot Ute qui signifie "ennemi", mais les Comanches se désignent eux-mêmes sous le nom de "Numumuh", ce qui signifie "le peuple".

Quelles étaient les terres ancestrales des Comanches?

Les terres ancestrales des Comanches - connues sous le nom de Comancheria ("Terre des Comanches") - étaient la région du Colorado, du Kansas, du Nouveau-Mexique, de l'Oklahoma et du Texas actuels, aux États-Unis.

Quelle est la date de composition des contes de Coyote des Comanches?

La date de composition des contes comanches de Coyote est inconnue car les histoires ont été transmises par la tradition orale pendant des siècles jusqu'à ce qu'elles soient enregistrées au XIXe siècle.

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Joshua J. Mark est cofondateur et Directeur de Contenu de la World History Encyclopedia. Il était auparavant professeur au Marist College (NY) où il a enseigné l'histoire, la philosophie, la littérature et l'écriture. Il a beaucoup voyagé et a vécu en Grèce et en Allemagne.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2025, février 24). Contes de Coyote des Comanches [Coyote Tales of the Comanche]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2647/contes-de-coyote-des-comanches/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Contes de Coyote des Comanches." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le février 24, 2025. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2647/contes-de-coyote-des-comanches/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Contes de Coyote des Comanches." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 24 févr. 2025, https://www.worldhistory.org/article/2647/coyote-tales-of-the-comanche/. Web. 29 avril 2025.

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