Guerre des Saxons

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Yves Palisse
publié le 16 juin 2023
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Disponible dans ces autres langues: anglais, espagnol, Turc
Charlemagne at Paderborn (by Ary Scheffer, Public Domain)
Charlemagne à Paderborn
Ary Scheffer (Public Domain)

La guerre des Saxons fut une série de conflits ayant pris place entre les Francs de Charlemagne, qui cherchaient alors à soumettre la Saxe et à convertir sa population au christianisme, et les Saxons, qui leurs résistaient. Le conflit s'étendit sur plus de 30 années au travers de 18 campagnes et coûta des milliers de vies humaines avant la victoire finale de Charlemagne en l'an 804, suivie de la conversion/assimilation des Saxons à la population générale.

Les souverains francs Charles Martel (r. de 737 à 741) et Pépin le Bref (maire du palais de Neustrie de 741 à 751 et roi des Francs de 751 à 768) avaient tous deux tenté en vain de soumettre la Saxe. C'est donc Charlemagne (roi des Francs de 768 à 814, roi des Francs et des Lombards de 774 à 814 et empereur romain germanique de 800 à 814) qui releva le défi et fit de la campagne de Saxe une croisade visant à la christianiser par la force. La guerre se termina par la déportation de 10 000 Saxons en Neustrie en 804, qui furent à leur tour remplacés en Saxe par des Francs. Les Saxons continuèrent à exercer une influence culturelle en Saxe et ailleurs, mais leur assimilation au reste de la population contribua à l'affaiblissement des traditions religieuses et culturelles pour lesquelles ils s'étaient battus.

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Les Saxons

DANS LA MESURE OÙ LEURS CROYANCES RELIGIEUSES ÉTAIENT INTIMEMENT LIÉES À LEUR CULTURE ET À LEUR SOCIÉTÉ, LES SAXONS REJETAIENT VIOLEMMENT LES EFFORTS DÉPLOYÉS PAR LES MISSIONNAIRES CHRÉTIENS POUR LES CONVERTIR.

Les Saxons étaient un peuple germanique implanté dans la région de l'Allemagne du Nord avant le IVe siècle de notre ère. Ils finirent par établir leurs provinces d'Angrie, d'Ostphalie et de Westphalie dans la région que l'on appelle aujourd'hui la Saxe. Ils sont mentionnés pour la première fois dans les annales en 356 de notre ère, en tant que pirates attaquant régulièrement les ports des côtes de la Gaule et de l'île de Bretagne. Ils pratiquaient une forme de paganisme germanique, mais les détails de leur liturgie sont inconnus, car ils ne conservaient pas de documents écrits et n'avaient pas de textes liturgiques de référence. Pour la même raison, leur structure sociale est elle aussi peu claire - ils s'appuyaient sur la tradition orale pour préserver leur culture - mais il semble qu'elle ait reposé sur leurs croyances religieuses.

La société saxonne semble avoir été organisée selon une hiérarchie plaçant les nobles au sommet, puis les hommes libres, les classes inférieures et enfin les esclaves. Ils sacrifiaient aux dieux, parfois même des êtres humains, et leurs pratiques religieuses incluaient la vénération d'un pilier sacré connu sous le nom d'Irminsul, que des auteurs ultérieurs ont parfois décrit comme un arbre; on pense qu'il était peut-être porteur du même symbolisme que l'arbre-monde Yggdrasil, l'arbre de vie, bien connu dans la mythologie nordique. L'écrivain H. R. Ellis Davidson note :

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La description de l'Irminsul en tant que columna universalis (pilier du monde) fait écho à l'image de l'Arbre-Monde, Yggdrasil, l'un des symboles les plus puissants de la mythologie nordique, dont on dit qu'il se trouve au centre des mondes des dieux et des hommes. Chez les Scandinaves de l'ère viking, un arbre semble avoir été le principal symbole du pivot central de l'univers, mais les piliers de bois dits 'de haut siège', qui formaient le principal support au centre des demeures et des sanctuaires de l'époque, pourraient être considérés comme une version nordique des piliers germaniques érigés dans les lieux saints. Les sources littéraires associent ces piliers au dieu Thor. (23)

Nous ne savons pas comment les Saxons percevaient l'Irminsul, ni quels étaient les rituels qui lui étaient associés, mais il est clair que cette pièce de bois avait une grande importance religieuse, culturelle, politique et militaire. De plus, il semble que des conseils communautaires aient été réunis sous son égide. Les Saxons n'avaient ni roi ni cour, mais convoquaient des assemblées, dans lesquelles les membres des trois classes avaient voix au chapitre, pour statuer sur des questions juridiques, politiques, sociales et militaires. Les 'provinces' de Saxe n'étaient soumises à aucun gouvernement centralisé, mais étaient plus ou moins autonomes en fonction de valeurs culturelles communes.

Germanic Warriors with Captured Soldiers
Guerriers germaniques avec des ennemis capturés
Mohawk Games (Copyright)

Dans la mesure où leurs croyances religieuses étaient intimement liées à leur culture et à leur société, les Saxons rejetaient violemment les efforts déployés par les missionnaires chrétiens pour les convertir. Les Chroniques carolingiennes (Annales du royaume des Francs) rapportent que les Saxons interprétaient la conversion comme l'œuvre d'esprits maléfiques désireux de les détruire en tournant les membres fidèles de la communauté contre les coutumes traditionnelles établies de longue date et en les remplaçant par de nouveaux modèles de pensée. De même que les Saxons rejetaient le christianisme, ils résistaient aux pressions politiques et militaires visant à les soumettre à leurs voisins les Francs, qui avaient unifié leur royaume en le plaçant sous la bannière de la nouvelle foi.

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Charlemagne

Charlemagne accéda au pouvoir conjointement avec son frère cadet Carloman Ier (r. de 768 à 771) à la mort de leur père Pépin le Bref, à qui l'Église avait accordé le titre nouvellement créé de roi des Francs en 751. L'Église contrôlait le règne de Pépin au moyen d'un document connu sous le nom de Donation de Constantin, qui aurait été rédigé après la conversion de Constantin au christianisme et qui établissait l'Église comme le seul pouvoir politique sur terre auquel un monarque chrétien devait se soumettre de son plein gré, en échange de quoi l'Église lui accordait l'autorité de gouverner. Le document était une forgerie, mais Pépin n'avait aucun moyen de le savoir, et il poursuivit sa politique dans l'intérêt de l'Église médiévale autant que le sien propre.

Après sa mort, Charlemagne voulait poursuivre sa politique, notamment en ce qui concernait les campagnes militaires, tandis que Carloman Ier prônait la prudence et la diplomatie. Charlemagne ignora son frère et mena des campagnes couronnées de succès en Aquitaine, provoquant la colère de Carloman Ier et faisant peser la menace d'une guerre civile. Sur ces entrefaites, Carloman mourut en 771 et Charlemagne devint le seul roi des Francs. Il adopta rapidement le rôle de défenseur de l'Église - bien qu'il n'existe aucune preuve qu'il ait jamais accepté la Donation de Constantin comme un document de référence - et mena des campagnes militaires contre tous ceux qui s'opposaient à l'enseignement de l'Église.

Statue of Charlemagne
Statue de Charlemagne
Mark Kaswan (CC BY-NC-SA)

Le conseiller de Charlemagne, l'homme d'église et érudit Alcuin d'York (735-804), était opposé à cette politique, faisant remarquer qu'une conversion forcée n'avait aucune valeur puisqu'il était nécessaire de venir au Christ de son plein gré. Charlemagne passa outre ce conseil et entreprit sa première tentative de conversion par l'épée contre les Saxons en 772 - même s'il n'est pas certain que ce soit là sa principale motivation pour le début de la guerre des Saxons. L'écrivain Roger Collins commente :

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Les campagnes ponctuelles de Charles Martel et de Pépin avaient permis de soulager la pression qu'exerçaient les Saxons le long de la Lippe, mais n'avaient pas fait de la domination franque une réalité dans la région, et encore moins en Saxe de manière plus générale. En 772, Charlemagne était déterminé à soumettre le groupe des Saxons du sud. Il ne s'agissait pas seulement d'un projet de conquête militaire, mais aussi d'une intégration dans l'orbite culturelle franque au moyen d'une conversion forcée au christianisme. Il n'est pas certain que cela ait été son intention dès le départ, mais c'est en tout cas ce qui se passa en 775. (281)

L'objectif initial de la première campagne de 772 était la prise d'Eresburg et la destruction de son centre religieux qui abritait l'Irminsul et le trésor considérable qu'abritait son sanctuaire.

Premières campagnes et destruction de l'Irminsul

Charlemagne justifia le lancement de cette campagne contre les Saxons en la présentant comme une action de représailles consécutive à la destruction de l'église de Deventer en 772. Il semble toutefois évident - comme le note Collins - qu'il aurait initié une action militaire contre la Saxe en conformité avec l'héritage politique de Charles Martel, de Pépin le Bref et les efforts de conversion de l'Église - même si l'église de Deventer n'avait jamais été touchée.

Charlemagne and the Carolingian Empire c. 814
Charlemagne et l'empire carolingien c. 814
Simeon Netchev (CC BY-NC-SA)

Il attaqua Eresburg, détruisant l'Irminsul sacré, pillant le sanctuaire et massacrant la population avant de retourner dans son propre royaume avec de nombreux otages pour garantir le respect des conditions qu'il avait imposées. Collins commente ainsi la destruction de l'Irminsul :

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La nature exacte de cet objet est incertaine, mais son emplacement dans un territoire récemment acquis sur une frontière sud en expansion du territoire saxon suggère qu'il était plus qu'un objet de vénération traditionnelle et qu'il était directement associé à la victoire militaire et à la conquête. Sa destruction n'était donc pas seulement lucrative sur le plan financier, en raison de la capture du trésor d'offrandes conservé dans le sanctuaire, mais aussi destinée à porter un coup au moral des Saxons. (281)

Persuadé que les Saxons respecteraient ses conditions, il abandonna la région et marcha contre les Lombards, qu'il vainquit en 774, se parant du titre de roi des Francs et des Lombards. La même année, les Saxons, peut-être dirigés à cette époque par Widukind (cité comme chef saxon entre 777 et 785), violèrent les accords conclus avec Charlemagne. Ils lancèrent des raids en territoire franc, détruisirent Eresburg et saccagèrent un monastère en représailles à la destruction de l'Irminsul. En 775, Charlemagne se tourna à nouveau vers la région et défit les Saxons lors d'une nouvelle bataille. Il établit des fortifications et des campements en vue de faire respecter sa volonté avant de poursuivre ses campagnes militaires dans la région de l'Italie actuelle.

Widukind, le massacre de Verden et la loi des Saxons

CHARLEMAGNE PUBLIa À PADERBORN LES ORDONNANCES CONCERNANT LA SAXE, QUI PUNISSaiENT DE MORT LA PRATIQUE DU PAGANISME GERMANIQUE.

Les Saxons se soulevèrent à nouveau en 776 et furent à nouveau réprimés par Charlemagne qui ordonna à ses troupes de punir les responsables de la rébellion. Widukind s'échappa et se réfugia au Danemark où il négocia un accord avec le roi Siegfried pour permettre aux Saxons de se réfugier dans son royaume. Ce pacte ouvrit une voie de passage entre la Saxe et le Danemark, dont de nombreux Saxons profitèrent pour fuir les croisades de Charlemagne. En 777, il convoqua une assemblée dans sa nouvelle colonie de Paderborn pour recevoir la soumission des chefs saxons et présider à leur baptême.

Les documents relatant cet événement indiquent que Widukind ne figurait pas parmi les participants et, bien qu'il n'y ait pas de preuve solide, il est probable qu'il soit revenu du Danemark pour organiser la résistance qui finit par faire revenir Charlemagne en Saxe en 779. Collins commente les difficultés éprouvées par Charlemagne pour vaincre les Saxons, contrairement à ses autres adversaires, tels que les Lombards :

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La difficulté éprouvée par Charlemagne pour soumettre les Saxons tient en partie à la difficulté du terrain marécageux à l'intérieur et aux abords des zones où se déroulaient les combats. Cette région avait déjà contrarié les efforts de conquête des Romains à l'époque d'Auguste. Mais ce qui est peut-être encore plus important, c'est la nature de l'organisation sociétale et politique des Saxons. Ils n'avaient pas de rois ni d'institutions centrales permanentes. En outre, à l'exception de forts tels qu'Eresburg, ils n'avaient pas de zones urbaines importantes. Les unités sociales saxonnes de base étaient les familles étendues, qui occupaient des fermes fortifiées, un peu comme de petits villages... Ainsi, la défaite d'un seul chef ne pouvait pas mettre les Saxons hors d'état de nuire, et la prise ou la destruction d'établissements clés ne pouvait pas non plus conduire à une conquête rapide. (282)

En 782, Widukind conduisit à nouveau les Saxons à la révolte, détruisant les églises et massacrant les colonies franques. Charlemagne réagit par une nouvelle campagne et le tristement célèbre massacre de Verden au cours duquel 4 500 Saxons furent exécutés. Il publia ensuite à Paderborn les Ordonnances concernant la Saxe (également connues sous le nom de Capitulaires saxons), qui interdisaient la pratique du paganisme germanique sous peine de mort. Ces ordonnances, ainsi que d'autres décrets, furent utilisés pour la publication de la Lex Saxonum (loi des Saxons) en 802/803, vers la fin du conflit, bien que ces dernières lois aient été beaucoup plus conciliantes que les édits précédents.

Widukind
Widukind
Corradox (CC BY-SA)

En 785, Widukind se présenta devant Charlemagne pour jurer fidélité et recevoir le baptême des chrétiens. Par la suite, Widukind disparaît des annales historiques et Charlemagne semble avoir considéré la guerre des Saxons comme terminée et en avoir été le vainqueur. Malgré quelques traces de rébellions sporadiques et de troubles civils, il n'y eut pas d'autres soulèvements de grande ampleur pendant les sept années qui suivirent.

Rébellion et déportation

Les Saxons se soulevèrent à nouveau en 792, en commençant par la Westphalie, mais cette révolte fut rapidement réprimée. La paix ne dura cependant pas longtemps, puisqu'une nouvelle rébellion éclata en 796, à laquelle Charlemagne s'attaqua une nouvelle fois en personne à la tête de ses troupes. Comme le note Collins, en ce qui concerne les capitulations saxonnes et les promesses de féauté, 'ces humiliantes soumissions ne pouvaient être efficaces que tant que Charlemagne et le gros de l'armée franque étaient présents pour les faire respecter' (282). Malgré cela, et en dépit du fait que Charlemagne dirigeait personnellement ses forces, la révolte se poursuivit (ou reprit) jusqu'en 798.

Pour empêcher les Saxons de recevoir de l'aide ou d'échapper à ses campagnes, Charlemagne coupa la route migratoire vers le Danemark en 798 et augmenta la pression sur les Saxons pour qu'ils se soumettent et se convertissent au christianisme. Peut-être sur les conseils d'Alcuin, Charlemagne assouplit sa position sur la conversion forcée et les pratiques païennes et supprima la peine de mort en 797 avant de promulguer les lois des Saxons en 802/803. Devant la continuité de la résistance, il ordonna la déportation de 10 000 Saxons en Neustrie et les remplaça par des Francs, mettant ainsi fin à la guerre des Saxons.

Conclusion

Bien que Charlemagne semble avoir rejeté la donation de Constantin, il modela clairement son image personnelle sur celle du premier empereur romain à avoir accepté et validé le christianisme, au point de donner son nom à une ville - Karlsburg - tout comme Constantin l'avait fait pour Constantinople. Les textes chrétiens médiévaux favorables à Charlemagne insistent sur ce lien, affirmant qu'il était, comme Constantin avant lui, un champion de la foi et que les Saxons étaient des 'démons' qui avaient très justement payé de leur vie et de leur liberté le fait de s'être érigés en ennemis du Christ.

Toutefois, même les sources chrétiennes font état de la brutalité des campagnes menées par Charlemagne contre les Saxons, affirmant qu'il leur 'prêchait' avec une 'langue de fer'. L'écrivain Philippe Contamine note que 'la crainte d'un châtiment surnaturel et le désir d'obtenir la protection de Dieu ou de ses saints ont parfois conduit les chefs [de cette période] à restreindre ou à interdire la dévastation totale' (262). Aucun des récits des guerres de Saxe ne suggère que Charlemagne ait adhéré le moins du monde à ce modèle car, dans son esprit, il était le champion du bien ultime luttant contre les forces envoyées contre lui par des forces obscures et démoniaques.

Le bilan des guerres des Saxons est inconnu mais, du côté saxon, selon les annales franques, au moins 10 000 personnes furent tuées entre 772 et 782, avec une estimation d'au moins 4 000 personnes de plus en 800 dans le meilleur des cas. Les Saxons continuèrent à honorer leurs traditions même après leur conversion officielle au christianisme. En outre, un certain nombre d'entre elles - dont la célébration annuelle de Yule autour du 25 décembre - finirent par être intégrées aux pratiques de la nouvelle religion. Cependant, leur structure sociale, fondée sur le système de croyances que Charlemagne avait proscrit, prit effectivement fin en 804, et les soulèvements sporadiques qui suivirent ne purent rien faire pour la ressusciter.

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Questions & Réponses

Qu'est-ce que la Guerre des Saxons ?

La guerre des Saxons fut une série de conflits ayant pris place entre les Francs de Charlemagne, qui cherchaient alors à forcer les Saxons et les autres peuples germaniques de Saxe à se convertir au christianisme.

Qu'est-ce qui a déclenché la guerre des Saxons ?

La cause la plus directe de la Guerre des Saxons fut la destruction de l'église de Deventer, Hollande moderne, mais il est admis que Charlemagne se serait de toute façon mis en campagne contre les Saxons sans cet incident.

Combien y eut-il de guerres des Saxons ?

Charlemagne lança 18 campagnes militaires contre les Saxons entre 722 et l'am 804.

Qui a gagné la guerre des Saxons ?

Charlemagne, roi des Francs a gagné la guerre des Saxons après avoir déporté 10 000 Saxons et les avoir remplacés par des francs christianisés.

Traducteur

Yves Palisse
Linguiste passionné d'Histoire, Yves P Palisse est un traducteur indépendant possédant des années d’expérience dans les domaines de la traduction, de l’analyse des médias et du service à la clientèle. Après avoir beaucoup voyagé dans toute l'Europe, Il a fini par poser ses bagages à londres en 1999. Il a une passion pour les sciences humaines, le droit et la justice sociale.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2023, juin 16). Guerre des Saxons [Saxon Wars]. (Y. Palisse, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-21990/guerre-des-saxons/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Guerre des Saxons." Traduit par Yves Palisse. World History Encyclopedia. modifié le juin 16, 2023. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-21990/guerre-des-saxons/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Guerre des Saxons." Traduit par Yves Palisse. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 16 juin 2023. Web. 27 avril 2024.

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