Fuite de l'esclavage de William "Box" Peel Jones

Récit de première main et reproches de Frederick Douglass

Article

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié sur
Disponible dans ces autres langues: anglais
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William "Box" Peel Jones était un Afro-Américain réduit en esclavage qui, en 1859, fut expédié dans une boîte depuis un lieu inconnu jusqu'à la maison de l'abolitionniste William Still (1819-1902) à Philadelphie, puis voyagea, avec l'aide du chemin de fer clandestin, jusqu'à la liberté au Canada.

Representation of the Box
Représentation de la boîte
Henry Box Brown & Charles Stearns (Public Domain)

Son histoire est intéressante en soi, mais elle a la particularité d'être l'une des nombreuses à contredire les critiques de l'abolitionniste Frederick Douglass (1818-1895) à l'encontre de Henry Box Brown (vers 1815 à 1897) pour avoir rendu publique sa propre évasion de 1849 dans une boîte qui, selon Douglass, empêcherait d'autres personnes de s'évader de la même manière.

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Henry Box Brown (vers 1815 à 1897) est célèbre pour avoir échappé à l'esclavage en se faisant envoyer par la poste de Richmond, en Virginie, à Philadelphie, en Pennsylvanie, en 1849. Une fois libéré, Brown écrivit son autobiographie, Narrative of the Life of Henry Box Brown, Written by Himself (1851), et entreprit une tournée de conférences, qui comprenait une reconstitution de son évasion.

William "Box" Peel demanda à son ami N. L. J. de l'envoyer au nord dans une boîte en 1859, au cours d'un voyage qui dura 17 heures, à l'adresse de William Still de Philadelphie.

Douglass condamna le livre et les conférences de Brown car il pensait que la publication de son évasion entraînerait un examen plus approfondi des colis en provenance des États esclavagistes du Sud vers le Nord, mais en fait, Douglass avait tort. En 1854, Clarissa Davis, esclave, se fit expédier dans une boîte à bord d'un navire reliant la Virginie à la Pennsylvanie et, en 1857, la femme sans nom qui s'échappa dans une boîte fit de même. En 1857 également, l'esclave Lear Green (vers 1839 à 1860) se fit expédier dans un coffre de Baltimore, dans le Maryland, vers la liberté à Philadelphie. William "Box" Peel Jones aurait peut-être été inspiré par ces autres personnes et demanda à son ami, connu uniquement sous les initiales N. L. J., de l'envoyer vers le nord dans une boîte en 1859, au cours d'un voyage qui dura 17 heures, à l'adresse de William Still de Philadelphie.

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William Still et ses archives

William Still était le fils d'un homme qui avait acheté sa liberté et d'une esclave fugitive du Maryland qui s'était échappée dans le New Jersey. Dans sa jeunesse, il avait aidé un fermier noir libre à échapper à des chasseurs d'esclaves qui affirmaient qu'il s'agissait d'un esclave fugitif. Cet événement, associé aux récits de ses parents sur la période où ils étaient esclaves, et le fait de savoir que, bien que né libre dans un État libre, il était techniquement asservi parce qu'il était le fils d'une esclave fugitive, attirèrent Still vers le mouvement abolitionniste.

En 1847, William Still commença à travailler comme employé de la Société de Pennsylvanie pour l'abolition de l'esclavage et, lorsque des aspirants à la liberté du Sud venaient chez lui, un refuge sur le chemin de fer clandestin, il les interrogeait et consignait les détails de leur fuite, leur lieu d'origine, ce qu'ils se rappelaient de leur famille et l'endroit où ils étaient envoyés dans le Nord. Il espérait que ces enregistrements permettraient un jour de réunir les familles.

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William Still
William Still
Unknown Photographer (Public Domain)

À un moment donné, craignant que ses registres ne soient découverts et utilisés par des chasseurs d'esclaves pour localiser les anciens esclaves, Still brûla au moins une partie de ces registres. Plus tard, après la guerre de Sécession et l'abolition de l'esclavage, ses enfants l'encouragèrent à écrire un livre sur son travail au sein du chemin de fer clandestin. Ce livre devint The Underground Railroad Records (1872), considéré comme l'un des documents de première main les plus importants de l'époque.

Si Still avait bel et bien brûlé ses archives, il devait avoir des copies, des notes ou une très bonne mémoire, puisqu'il put reproduire les récits de divers aspirants à la liberté en 1872. Parfois, cependant, la perte des documents originaux semble évidente, comme dans le cas de William "Box" Peel Jones, dont le point d'origine est inconnu, tout comme l'identité de l'ami qui l'avait mis en boîte, l'avait expédié vers le nord et l'avait fait livré à Still.

En même temps, la cause de ces omissions ne peut être que spéculative, et peut-être que Peel Jones n'avait tout simplement pas offert d'autres informations, ou que Still n'avait pas consigné les faits lors de leur première rencontre. En discutant le récit de La Femme qui s'échappa dans une boîte, 1857, dans ses Underground Railroad Records, Still écrit:

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Dans de nombreux cas, après avoir entendu les récits les plus douloureux, nous n'avons eu ni le temps ni l'envie de les écrire, si ce n'est de la manière la plus brève, en nous contentant d'identifier les parties.

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C'est peut-être le cas de Peel Jones, comme cela semble avoir été le cas pour beaucoup d'autres.

Expédition d'esclaves vers la liberté

Henry Box Brown eut l'idée de se faire expédier dans une boîte à Philadelphie en 1849, alors qu'il ne voyait pas d'autre moyen d'obtenir sa liberté. Brown fut enfermé à l'aide de clous dans une boîte en bois de 3 pieds x 2,67 pieds x 2 pieds (91 x 81 x 61 cm) et envoyé à l'abolitionniste quaker Passmore Williamson (1822-1895, ami et collaborateur de William Still) à Philadelphie.

New York Postmaster's Provisional Stamp, 1845
Timbre provisoire du maître de poste de New York, 1845
BFolkman (Public Domain)

Il voyagea dans la boîte pendant 27 heures jusqu'à ce que les abolitionnistes de Philadelphie ne l'en sortent et qu'il ne commence sa nouvelle vie d'homme libre. Brown se lança alors dans une tournée de conférences anti-esclavagistes, parrainée par les abolitionnistes du Nord, racontant son histoire, l'illustrant par des mises en scène élaborées et faisant la promotion de son livre dans le Nord des États-Unis et, plus tard, en Angleterre. Frederick Douglass condamna son spectacle car il pensait que le fait de rendre publique l'évasion de Brown par la boîte alerterait les propriétaires d'esclaves sur cette voie d'évasion et empêcherait d'autres personnes de faire de même.

Martha Cutter, professeur d'anglais et d'études africaines, l'a noté dans son travail sur Henry Box Brown. L'écrivain Christine Buckley, de l'université du Connecticut, commente les spectacles de Brown et la réaction de Douglass en discutant de l'ouvrage de Cutter:

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Les spectacles de ménestrels faisaient fureur en Grande-Bretagne, note Cutter, et Brown a commencé à développer son propre spectacle, mêlant panoramas, magie et pièces de théâtre, dans lequel il se faisait appeler "Prof. H. Box Brown" et "The African Prince". Plus tard, il expérimenta l'électrobiologie, une forme d'hypnotisme. Mais presque tous ses spectacles comprenaient une scène dramatique dans laquelle il reconstituait sa sortie de ce qu'il prétendait être la boîte originale dans laquelle il avait été expédié... L'image publique de Brown n'était pas bien perçue par les personnalités anti-esclavagistes de l'époque. Douglass dénonça publiquement le livre de Brown, Narrative of the Life of Henry Box Brown (Récit de la vie de Henry Box Brown), dans lequel il décrivait les moyens de son évasion, car Douglass aurait souhaité qu'il garde le secret afin que d'autres puissent être libérés de cette manière. Il méprisait également les spectacles élaborés de Brown, explique Cutter.

(2)

Douglass avait certainement raison, mais cela n'empêcha pas d'autres personnes d'imiter Brown (ou de trouver l'idée par elles-mêmes) et de se faire expédier au nord par la poste. Même avant qu'il ne devienne officiellement illégal aux États-Unis d'ouvrir le courrier adressé à une autre personne (1920), cela ne se faisait tout simplement pas, et donc, quels que aient été les soupçons que les esclavagistes pouvaient avoir à l'égard d'un certain colis, ils ne pouvaient pas l'ouvrir pour confirmer leurs craintes. C'est ainsi que des esclaves comme Lear Green et William "Box" Peel Jones furent envoyées par la poste vers la liberté. Cette pratique d'envoi d'êtres humains par le biais du système postal américain fut déclarée illégale en juin 1920.

Texte

Le texte suivant est extrait de The Underground Railroad Records (1872) de William Still, réédité par Modern Library en 2019. William Peel Jones écrit à Still depuis Albany, New York, après avoir quitté Philadelphie pour le remercier et lui faire savoir qu'il travaille dans un magasin de cette ville pour 16 dollars par mois. Cette lettre apparaît sous le récit de Still ci-dessous.

Son ami, N. L. J., écrit également à Still pour lui demander quand "Israël est allé à Jéricho", ce qui signifie que Peel Jones a atteint le Canada. Bien que "Jéricho" n'ait pas été largement utilisé par les esclaves ou les abolitionnistes pour désigner le "Canada", il s'agit d'un mot de code que N. L. J. utilise peut-être ici de la même manière que le fleuve Ohio était régulièrement appelé "le Jourdain" et que les aspirants à la liberté étaient connus sous le nom de "cargos". Cette phrase peut également faire référence au canton de Sutton, au Canada-Est, une colonie noire qui accueillait les aspirants à la liberté. La lettre de N. L. J. suit celle de Jones. L'orthographe n'a pas été corrigée dans les deux cas.

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WILLIAM PEEL, ALIAS WILLIAM BOX PEEL JONES. ARRIVÉ PER LA COMPAGNIE DE PAQUEBOTS ERRICSON, EMBALLÉ DANS DE LA PAILLE À L'INTÉRIEUR D'UNE BOÎTE, APRIL 1859.

William est âgé de vingt-cinq ans, d'une couleur sans équivoque, d'une belle apparence, d'une taille plutôt inférieure à la moyenne et de manières agréables. William s'est fait mettre en boîte par un proche parent et a été transporté par la ligne de bateaux à vapeur Erricson.

Il a faussé compagnie à Robert H. Carr, son propriétaire (un épicier et un marchand de commissions), après avoir réfléchi, et pour les raisons suivantes: Depuis un certain temps, son maître vendait ses esclaves de temps en temps, entre autres épiceries, ce qui avertit William qu'il était susceptible d'être sur le marché à tout moment; par conséquent, il préféra la boîte à l'encan.

Il ne se plaignait pas d'avoir été très mal traité par Carr, mais estimait qu'aucun homme n'était en sécurité lorsqu'il était la propriété d'un autre. En fait, il "détestait le nom même d'esclavagiste". La limite de la boîte ne lui permettant pas de se redresser, il fut pris d'une crampe sur la route, souffrit d'une misère indescriptible et vit sa foi mise à rude épreuve, au point d'être sur le point de "crier à haute voix" avant que le soulagement ne vienne.

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Cependant, il se maîtrisa, mais seulement pour une courte période, car peu de temps après, il fut pris d'un malaise excessif. C'est là que la nature s'épuisa. Il pensa qu'il devait "mourir", mais son heure n'était pas encore venue. Après une lutte acharnée, il revint à la vie, mais seulement pour affronter une troisième épreuve non moins douloureuse que celle qu'il venait de traverser. Il fut ensuite saisi d'un "froid glacial" qui semblait presque geler le sang dans ses veines et lui causa une agonie intense, dont il ne fut soulagé qu'à son réveil, s'étant en fait endormi dans cet état.

Enfin, il arriva à Philadelphie, sur un bateau à vapeur, le matin du sabbat. Un de ses amis dévoués, qui l'attendait, engagea une voiture et se rendit au quai pour prendre la boîte. Il avait sur lui la lettre de transport et le reçu, et il savait également où se trouvait la boîte sur le bateau. Bien qu'il sût parfaitement que le fret n'était généralement pas livré le dimanche, sa profonde sollicitude pour la sécurité de son ami le détermina à faire tout ce qui était en son pouvoir pour le sauver de sa situation périlleuse.

Remettant la lettre de transport à l'officier compétent du bateau, il lui demanda s'il pouvait obtenir le fret prévu. L'officier regarda la lettre et dit: "Non, nous ne livrons pas de fret le dimanche"; mais, remarquant l'anxiété de l'homme, il lui demanda s'il la reconnaitrait s'il la voyait. Lentement, craignant qu'un intérêt trop marqué n'éveille les soupçons, il répondit: "Je pense que oui".

Regardant délibérément autour de lui parmi tout le "fret", il découvrit la boîte et dit: "Je crois que c'est là". L'officier s'en approcha, regarda les indications qui y figuraient, puis la lettre, et dit: "C'est ça, emmenez-la."...

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Mais la boîte était trop grande pour la voiture et le chauffeur refusa de la prendre. Il fallut près d'une heure et demie pour trouver un charette de meubles. Finalement, on en trouva une, et l'ami de l'occupant s'empara à nouveau de la boîte, quand, à son grand effroi, le pauvre homme qui s'y trouvait fut pris d'une toux soudaine.

A cette circonstance surprenante, il laissa tomber la boîte; tout aussi rapidement, bien que terriblement effrayé, et, comme s'il était aidé par une agence invisible, il commença à chanter "Hush, my babe, lie still and slumber," avec l'indifférence la plus apparente, tout en s'éloignant lentement de la boîte.

Bientôt ses craintes s'apaisèrent, et l'on supposa que personne ne s'était rendu compte de l'accident ni de la toux. Ainsi, après avoir pris son courage à deux mains, il s'empara une troisième fois de la boîte et le Rubicon fut franchi. Le conducteur, ignorant totalement le contenu de la boîte, se rendit au numéro où on lui avait demandé de l'apporter, la laissa et continua son travail.

C'était maintenant un moment d'intérêt intense, maintenant un moment de plaisir inexprimable. La boîte fut ouverte, la paille fut enlevée, le pauvre homme fut libéré et se réjouit, j'ose le dire, comme ne s'est jamais réjoui un mortel qui n'a pas été dans un péril semblable.

Cet ami en particulier n'était guère moins heureux, et leur joie n'a pas faibli pendant plusieurs heures; elle ne s'est pas non plus limitée à eux-mêmes, car deux membres invités du comité de vigilance en ont également profité pleinement. Cet homme de la boîte s'appelait Wm. Jones. Il avait été mis en boîte à Baltimore par l'ami qui l'avait reçu sur le quai et qui n'était pas monté dans le bateau avec lui, mais qui était venu en voiture et était venu à sa rencontre sur le quai.

L'épreuve dans la boîte n'avait duré que dix-sept heures avant que la victoire ne soit acquise. Jones fut bien soigné par le comité de vigilance et poursuivit sa route avec joie, estimant que la résolution, le chemin de fer clandestin et la liberté avaient une valeur inestimable.

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En route pour le Canada, il s'arrêta à Albany, et la lettre ci-jointe donne sa vision des choses de ce point de vue...

M. STILL : -Je profite de l'occasion pour vous écrire quelques lignes en espérant vous trouver en bonne santé et votre famille. Je me porte bien et je me débrouille bien, je suis maintenant dans un magasin et je gagne seize dollars par mois. Je me sens très reconnaissant envers vous et votre famille pour la gentillesse dont vous avez fait preuve à mon égard pendant que j'étais avec vous. Je suis maintenant à Albany City. Salutations à M. et Mme Miller, dites-leur que je suis vraiment reconnaissant pour leur gentillesse. Salutations à mon Frère Jones, dites-lui que j'aimerais avoir de ses nouvelles et qu'il doit écrire. Dites-lui de donner le bonjour à tous mes amis et dites-leur que j'aimerais tant les voir. Dites-lui qu'il doit venir me voir car je veux le voir au sujet d'une chose très précise. Veuillez transmettre cette lettre le plus vite possible et pardonnez-moi de ne pas avoir écrit plus tôt mais je n'écris plus moi-même à présent.

WILLIAM JONES.

envoyé au cent 125 lydus. stt

Son bon ami revint à Baltimore le jour même du départ de l'homme de la boîte pour le Nord, et envoya immédiatement par la poste la brève lettre suivante, rédigée en paraboles du chemin de fer souterrain:

BALTIMO AVRIL 16, 1859.

W. STILL:- Cher frère, j'ai saisi l'occasion de vous écrire ces quelques lignes pour vous informer que je me porte bien et j'espère que ces quelques lignes vous permettront de jouir de la même grâce. Veuillez m'écrire à quelle heure Israël s'est rendu à Jéricho, j'ai très hâte de le savoir, car un hôte de marque traversera et vous et moi, mon frère, nous chanterons Halle Luja. Je vous ferez savoir quand la grande catastrophe n'arrivera plus... je reste votre frère

N.L.J.

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Questions & Réponses

Qui était William "Box" Peel Jones?

William "Box" Peel Jones était un esclave Afro-Américain qui s'est fait expédier par la poste d'un État esclavagiste du Sud vers la liberté à Philadelphie, en Pennsylvanie, en 1859, et qui a ensuite gagné le Canada.

Comment William "Box" Peel Jones a-t-il été transporté vers la liberté?

William "Box" Peel Jones a été transporté vers la liberté par un ami identifié uniquement par ses initiales, N. L. J., qui l'a accompagné au cours de son voyage de 17 heures entre l'esclavage et la liberté. On ne sait pas d'où venait Peel Jones ni qui était N. L. J.

Pourquoi William "Box" Peel Jones est-il célèbre?

William "Box" Peel Jones est célèbre pour avoir été l'un des nombreux esclaves à avoir fui l'esclavage dans une boîte envoyée par la poste d'un État esclavagiste à un État libre. L'abolitionniste et ancien esclave Frederick Douglass avait condamné la publication de ce moyen d'évasion en 1849 parce qu'il pensait que cela empêcherait d'autres personnes de faire de même, mais comme Peel Jones l'a démontré dix ans plus tard, Douglass avait tort.

Comment est décédé William "Box" Peel Jones?

Après une lettre que William "Box" Peel Jones a envoyée à William Still depuis Albany, New York, en 1859, on ne sait plus rien de lui. On suppose qu'il est parti vers la liberté au Canada.

Bibliographie

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Joshua J. Mark est cofondateur et Directeur de Contenu de la World History Encyclopedia. Il était auparavant professeur au Marist College (NY) où il a enseigné l'histoire, la philosophie, la littérature et l'écriture. Il a beaucoup voyagé et a vécu en Grèce et en Allemagne.

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Style APA

Mark, J. J. (2025, mai 20). Fuite de l'esclavage de William "Box" Peel Jones [William "Box" Peel Jones' Escape From Slavery]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2727/fuite-de-lesclavage-de-william-box-peel-jones/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Fuite de l'esclavage de William "Box" Peel Jones." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le mai 20, 2025. https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-2727/fuite-de-lesclavage-de-william-box-peel-jones/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Fuite de l'esclavage de William "Box" Peel Jones." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 20 mai 2025, https://www.worldhistory.org/article/2727/william-box-peel-jones-escape-from-slavery/. Web. 29 juin 2025.

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