Tamahay

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 29 janvier 2025
Disponible dans ces autres langues: anglais
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Tamahay (by Unknown Photographer, Public Domain)
Tamahay
Unknown Photographer (Public Domain)

Tamahay (Tahama, Tamaha, "Pike", c. 1776-1864) était un guide et un éclaireur Dakota Sioux Mdewakanton qui se rangea du côté des Américains contre les Britanniques pendant la guerre de 1812. Il fut un célèbre défenseur de la cause américaine et un ami proche du soldat et explorateur américain Zebulon Pike (1779-1813), dont il fut le guide lors de l'expédition de 1805.

Tamahay est aujourd'hui mieux connu grâce au récit de sa vie par le médecin et auteur sioux Charles A. Eastman (également connu sous le nom d'Ohiyesa, 1858-1939) dans son ouvrage Indian Heroes and Great Chieftains (1916). Hormis les notes de Pike concernant l'expédition de 1805 et une partie de sa correspondance, il existe peu d'informations sur Tamahay en dehors du récit d'Eastman. Tahama Spring, située dans le parc de Monument Valley, à Colorado Springs (Colorado), porte son nom.

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Le récit d'Eastman

La biographie de Tamahay par Eastman fut publiée en 1916 et, comme il l'indique ci-dessous, elle s'appuie sur les récits de ceux qui l'avaient connu. De nombreuses histoires racontées par Eastman ne peuvent être corroborées de manière indépendante et ne sont conservées que dans cette biographie. D'après le récit de Pike, lors de sa première expédition en 1805, Tamahay, son guide pour localiser la source du fleuve Mississippi, et lui devinrent amis, malgré le fait que Tamahay parlait très peu l'anglais. Au cours de la seconde expédition, en 1806, Pike atteignit le point culminant des montagnes Rocheuses dans le Colorado, connu depuis sous le nom de Pike's Peak, pour lequel il est surtout connu aujourd'hui.

Pike's Peak, Colorado, USA
Pike's Peak, Colorado, États-Unis
David Shankbone (CC BY-SA)

L'amitié de Tamahay avec Pike l'encouragea à soutenir la cause américaine contre les Britanniques pendant la guerre de 1812.

L'amitié de Tamahay pour Pike l'encouragea à soutenir la cause américaine contre les Britanniques pendant la guerre de 1812, à une époque où de nombreux Sioux se rangeaient du côté des Britanniques. Il servit comme éclaireur pendant la guerre et, après la mort de Pike au combat en 1813, poursuivit ce service avec distinction. Comme le note Eastman, le gouverneur William Clark (1770-1838) de la célèbre expédition Lewis et Clark de 1804-1806, qui coïncida avec les expéditions de Pike, lui remit une médaille et un certificat pour ses services.

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Vers la fin de son récit, Eastman prononce un discours attribué à Tamahay sur la futilité de la résistance à l'expansion des États-Unis vers l'ouest, dans lequel le vieil éclaireur mentionne Pontiac (c. 1714-1769) et Black Hawk (c. 1767-1838), célèbres pour la guerre de Pontiac (ou Rébellion de Pontiac, 1763-1766) contre l'expansion britannique et la guerre de Black Hawk (1832) contre les États-Unis. Le "massacre du Minnesota" que Tamahay tentait d'empêcher est une référence à la guerre des Dakota de 1862, au cours de laquelle les Sioux Mdewakanton Dakota (Santee), menés par leur chef Little Crow (vers 1810-1863), attaquèrent les colonies blanches dans la vallée de la rivière Minnesota pour tenter de sauver leur peuple de la famine.

Quels qu'aient pu être les sentiments de ses compatriotes dakotas à l'égard de Tamahay pour son soutien notoire aux États-Unis, en 1862 - après les échecs répétés du gouvernement américain à honorer les traités et les promesses - les Dakotas rejetèrent son appel et Little Crow, bien qu'à contrecœur, approuva l'attaque. Comme Tamahay l'avait prédit, la guerre du Dakota (qui ne dura qu'un peu plus d'un mois, du 18 août au 26 septembre 1862) se solda par des centaines de morts dans les deux camps, y compris chez Little Crow, par la pendaison de 38 hommes dakotas à Mankato, dans le Minnesota, et par l'expulsion du peuple de Little Crow de ses terres ancestrales vers une réserve située dans le territoire du Dakota du Sud.

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Tamahay mourut de causes naturelles à l'âge de 80 ans (environ 85 ans), en 1864, à Fort Pierre, dans le Dakota du Sud.

Texte

Le texte qui suit est extrait de l'ouvrage d'Eastman Indian Heroes and Great Chieftains, édition 1939, réédité en 2016.

Il était une fois un brave Sioux qui déclara qu'il mourrait jeune, mais pas de sa propre main. Tamahay avait des proportions héroïques, une force herculéenne, était un coureur hors pair; en fait, il avait toutes les qualités physiques d'un athlète ou d'un Indien typique. Dans ses maigres vêtements, il était beau comme une statue antique en bronze vivant. Alors qu'il n'était qu'un jeune homme de dix-sept ans, il fut victime d'un accident qui détermina sa carrière. Il perdit un œil, blessure fatale pour cet Indien sensible et plein d'entrain. Il annonça son but en ces termes:

"Le 'Grand Mystère' a décrété que je devais être déshonoré. Il n'y aura plus de plaisir pour moi maintenant, et je serai ridiculisé même par mes ennemis. Il serait bon que j'entre bientôt au Paradis, car je serais heureux d'y passer ma jeunesse. Mais je vendrai chèrement ma vie. Par la suite, mon nom sera mentionné dans les traditions de notre race". C'est par ce discours que Tamahay commença sa carrière.

Il rechercha désormais la gloire et défia le danger avec une témérité encore plus grande que celle de l'Indien ordinaire. Il accepta un ami personnel, ce qui est une coutume chez les Sioux, où chaque homme choisit un compagnon pour la vie et la mort. Le lien était plus fort qu'un lien de sang, une amitié scellée par un vœu solennel et une alliance. Le compagnon de Tamahay était heureusement presque son égal en termes de puissance physique, et les deux hommes devinrent la terreur des tribus voisines, avec lesquelles les Dakotas étaient continuellement en guerre. Ils effectuaient de fréquents raids sur leurs ennemis et réussissaient généralement, non sans avoir vécu des expériences palpitantes et des évasions presque miraculeuses.

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À l'une de ces occasions, les deux amis se dirigèrent vers le nord, dans le pays des Ojibways. Après plusieurs jours de voyage, ils découvrirent un petit village de l'ennemi. Le malicieux Tamahay proposa à son associé de faire leur toilette à la manière des Ojibways et d'aller parmi eux; "et peut-être, ajouta-t-il, nous laisserons-nous aller à un petit flirt avec leurs jolies servantes, et quand nous aurons assez ri, nous pourrons prendre le scalp d'un ou deux braves et battre en retraite". Son ami interpréta sa proposition audacieuse comme une épreuve de courage, qu'il ne lui convenait pas, en tant que brave, de refuser; il y consentit donc avec une apparence de gaieté.

Les beaux étrangers furent bien accueillis par les filles ojibways, mais leur périlleux amusement fut interrompu prématurément. Une jeune fille découvrit prématurément leur véritable caractère, et son cri d'alarme attira instantanément à ses côtés un jeune jaloux qui les observait depuis sa cachette. Tamahay se battit seul avec lui et, avant que l'alarme générale ne soit donnée, il avait expédié l'ennemi et s'était enfui avec son scalp.

Le malheureux brave avait été un favori et un chef au sein de la tribu; c'est pourquoi les Ojibways, fous de rage, se lancèrent bientôt à sa poursuite. Les braves Sioux étaient de fins coureurs, mais ils furent finalement repoussés sur la péninsule d'un lac. Alors qu'ils se séparèrent dans leur retraite, Tamahay s'écria: "Je te retrouverai à l'embouchure de la rivière Sainte-Croix, ou dans le pays des esprits!" Tous deux réussirent à traverser le lac à la nage et à s'échapper.

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Les exploits de cet homme n'étaient pas tous de nature guerrière. C'était un grand voyageur et un éclaireur expert, et il eut quelques expériences merveilleuses avec des animaux sauvages. Un jour, il fut envoyé avec son ami intime à la recherche de gibier. Ils étaient sur des poneys.

Ils repérèrent un troupeau de bisons et, de retour au camp, aperçurent un bison solitaire. Tamahay proposa de le poursuivre pour prendre de la viande fraîche, comme la loi de la tribu le permettait dans le cas d'un seul animal. Après avoir blessé le bison, son poney trébucha et le désarçonna, et le bison attaqua méchamment l'homme à terre. Mais lui, comme d'habitude, était sur le qui-vive. Il "prit le taureau par les cornes", comme on dit, et le chevaucha habilement sur le cou. Le bison n'avait aucun moyen de blesser son ennemi, mais il donnait des coups de patte sur la terre et se débattit jusqu'à l'épuisement de ses forces, lorsque l'Indien utilisa son couteau sur la gorge de l'animal. Cet exploit lui valut le nom de "Prit-le-taureau-par-les-cornes".

L'origine de son nom "Tamahay" est racontée comme suit. Jeune homme, il accompagna le chef Wabashaw à Mackinaw, dans le Michigan, avec d'autres guerriers. Un jour qu'il se promenait avec son ami pour admirer les merveilles du "pays de l'homme blanc", ils tombèrent sur une truie et sa nombreuse progéniture rose. Très amusé, il prit l'un des jeunes cochons, mais dès qu'il couina, la mère se mit à courir furieusement après eux. Il garda le cochon et s'enfuit avec lui, toujours en riant; mais son ami fut bientôt contraint de courir le long du tronc incliné d'un arbre tombé, tandis que notre héros atteignait la rive d'un lac tout proche et plongeait dans l'eau. Il nagea et plongea aussi longtemps qu'il le put, mais la bête continua à le menacer de ses dents acérées, jusqu'à ce que, presque épuisé, il nagea de nouveau jusqu'au rivage, où son ami arriva et se débarassa du méchant animal avec un gourdin.

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En raison de cette aventure aquatique, il fut immédiatement appelé Tamahay, ce qui signifie brochet (Pike en anglais). Il reçut bien d'autres noms, mais préféra celui-ci, car c'était celui que portait également un de ses grands amis, le lieutenant Pike, le premier officier de l'armée américaine qui vint au Minnesota dans le but d'explorer les sources du fleuve Mississippi et de faire la paix avec les indigènes. Tamahay aida cet officier à obtenir des Sioux des terres sur lesquelles il construisit Fort Snelling. Il apparaît dans l'histoire sous le nom de "Tahamie" ou "Sioux borgne".

Toujours prêt à braver le danger et à l'impopularité, Tamahay fut le seul Sioux à se ranger du côté des États-Unis dans leur lutte contre la Grande-Bretagne en 1819. Pour avoir épousé la cause des Américains, il fut maltraité par les officiers et les commerçants britanniques qui contrôlèrent longtemps le Nord-Ouest, même après que la paix eut été conclue entre les deux nations. À un moment donné, il fut enfermé dans un fort appelé McKay, où se trouve aujourd'hui la ville de Prairie du Chien, dans le Wisconsin. Il revenait tout juste de Saint-Louis et était soupçonné d'inciter son peuple à se rebeller contre les sujets britanniques. Sa vie fut même menacée, mais Tamahay se contenta de répondre qu'il était prêt à mourir.

Quelques mois plus tard, ce fort fut restitué aux États-Unis et, en le quittant, les Britanniques mirent le feu aux bâtiments, bien que le drapeau des États-Unis flottât au-dessus d'eux. Des Indiens présents crièrent à Tamahay: "Le fort de tes amis, les Américains, est en feu!". Il répondit par un cri de guerre, se précipita dans le fort en flammes et en sortit le drapeau. Pour cet acte de bravoure, il fut récompensé par un cadeau composé d'un drapeau et d'une médaille. Il ne se lassait jamais d'exhiber cette médaille et ses documents de recommandation, et conserva même jusqu'à la fin de sa vie un vieux chapeau colonial en tuyau de poêle, qu'il portait lors des cérémonies d'État.

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Les Sioux ont longtemps appelé le président des États-Unis "le père de Tamahay".

L'histoire suivante est racontée à son sujet à la fin de sa vie. Il tenta un jour de traverser le premier pont sur le Mississippi, mais ne fut pas reconnu par la sentinelle, qui ne lui permit pas de passer tant qu'il n'aurait pas payé le péage. Tamahay, qui était un personnage privilégié, expliqua du mieux qu'il put, avec des gestes et un anglais approximatif, qu'il était toujours autorisé à passer gratuitement; mais comme la sentinelle refusait toujours, et le menaçait même de sa baïonnette, le vieil Indien saisit silencieusement le mousquet, le jeta dans les eaux du Mississippi et rentra chez lui.

Plus tard dans la journée, une compagnie de soldats apparut dans le village indien et escorta notre héros jusqu'à une sorte de cour martiale au fort. Lorsqu'il fut interrogé par le colonel, il répondit simplement: "Si vous étiez menacé par quelqu'un avec une arme, en cas de légitime défense, vous mettriez l'homme hors d'état de nuire ou vous vous débarrasseriez de l'arme. J'ai opté pour cette dernière solution, pensant que vous auriez plus besoin de l'homme que de l'arme".

Finalement, l'officier leur dit: "Je vois que vous avez tous les deux partiellement tort. Quelqu'un doit être responsable de la perte de l'arme; vous allez donc lutter tous les deux, et l'homme qui est à terre devra plonger pour retrouver l'arme au fond de la rivière."

A peine ce discours terminé, Tamahay était sur le soldat, qui fut surpris à la fois par l'ordre et par l'empressement inattendu du vieil Indien rusé, de sorte qu'il n'était pas préparé, et que le Sioux avait la position dominante. En un instant, le sergent bleu était à terre, au milieu des cris et des éclats de rire de ses camarades. Après avoir jeté son homme, l'autre fit demi-tour et rentra chez lui sans un mot.

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Malheureusement, il avait acquis un grand appétit pour le "minne-wakan", ou "eau mystérieuse", comme l'appellent les Sioux, ce qui lui causa des ennuis dans sa vieillesse. On raconte qu'un jour d'hiver, il fut invité à boire un verre de whisky dans le magasin d'un commerçant. Il rentra ensuite chez lui, mais même le violent blizzard qui se leva bientôt ne l'empêcha pas de retourner dans la nuit chez l'aimable commerçant. Il réveilla ce digne homme de son sommeil vers midi en chantant son chant funèbre sur le toit de la cabane en rondins. Un instant plus tard, il avait sauté dans la cheminée et s'était retrouvé dans les braises ardentes d'un feu.

Le négociant dut lui verser du whisky dans un seau en fer-blanc, après quoi il pria le vieil homme "d'être bon et de rentrer chez lui". À la veille du "massacre du Minnesota" par les Sioux en 1862, Tamahay, bien que très âgé et ayant presque perdu l'usage de son œil restant, prononça un discours célèbre lors de la réunion des conspirateurs. Voici quelques-unes de ses paroles, telles qu'elles m'ont été rapportées par des personnes présentes.

"Quoi! Quoi! Est-ce Little Crow? Est-ce Little Six? Toi aussi, White Dog, es-tu là? Je ne vois pas bien maintenant, mais je vois de mes yeux le flot de sang que tu t'apprêtes à déverser sur le sein de notre mère" (c'est-à-dire la terre). "Je me tiens devant vous sur trois jambes, mais la troisième m'a apporté la sagesse" [en référence au bâton avec lequel il se soutenait]. J'ai beaucoup voyagé, j'ai visité les peuples que vous pensez défier". Cela signifie la cession totale de notre beau pays, le pays aux mille lacs et ruisseaux. Il me semble que vous êtes sur le point de commettre un acte semblable à celui du porc-épic, qui grimpe à un arbre, se tient en équilibre sur une branche élastique, puis ronge la branche même sur laquelle il est assis; ainsi, lorsqu'elle cède, il tombe sur les rochers aigus qui se trouvent en dessous. Voyez le grand Pontiac, dont j'ai vu la tombe près de Saint-Louis; il a été assassiné alors qu'il était exilé de son pays! Pensez au brave Black Hawk! Je crois que son esprit gémit encore dans le Wisconsin et l'Illinois pour son peuple perdu! Je ne dis pas que vous n'avez pas à vous plaindre, mais résister, c'est se détruire. J'en ai fini".

On suppose que ce discours fut son dernier et qu'il fut prononcé, bien qu'en vain, pour défendre les Américains qu'il avait aimés. Il mourut à Fort Pierre, dans le Dakota du Sud, en 1864. Son peuple dit qu'il est mort d'une mort naturelle, de vieillesse. Pourtant, ses exploits ne sont pas oubliés. Ainsi vécut et disparut un Sioux très actif et intrépide, Tamahay, qui souhaitait mourir jeune!

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Questions & Réponses

Qui était Tamahay?

Tamahay (également appelé Tamaha, vers 1776-1864) était un guide et un éclaireur Dakota Sioux. Il servit de guide lors de la première expédition de Zebulon Pike en 1805 et d'éclaireur pour les forces américaines pendant la guerre de 1812.

Pour quoi Tamahay est-il surtout connu?

Tamahay est surtout connu pour sa biographie incluse dans Indian Heroes and Great Chieftains de Charles A. Eastman (1916). En dehors de cet ouvrage, on sait peu de choses sur Tamahay.

Pourquoi Tamahay était-il un si fervent partisan des États-Unis?

On pense que l'attachement de Tamahay aux États-Unis était dû à son amitié avec l'explorateur et soldat américain Zebulon Pike (célèbre pour le Pike's Peak dans le Colorado).

Comment est mort Tamahay?

Tamahay est mort de causes naturelles à Fort Pierre, dans le Dakota du Sud, en 1864.

Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Joshua J. Mark est cofondateur et Directeur de Contenu de la World History Encyclopedia. Il était auparavant professeur au Marist College (NY) où il a enseigné l'histoire, la philosophie, la littérature et l'écriture. Il a beaucoup voyagé et a vécu en Grèce et en Allemagne.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2025, janvier 29). Tamahay [Tamahay (Eastman's Biography)]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-23958/tamahay/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Tamahay." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le janvier 29, 2025. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-23958/tamahay/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Tamahay." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 29 janv. 2025, https://www.worldhistory.org/Tamahay/. Web. 05 mai 2025.

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